Tout bouffi d’orgueil, notre petit marquis se gonflait comme un bœuf voici quelques mois en déclarant que notre église de Bihorel "Notre Dame des Anges" avait retrouvé "une nouvelle jeunesse".
L'opération de maquillage, mes chers Compatriotes, n'aura même pas attendu les municipales de mars 2020 pour faire pschitt ou plutôt plouf comme l'indique l'affichette punaisée sur l'entrée principale de notre l'église.
Notons et amusons nous au passage que l’orthographe du message porte la griffe de notre petit marquis dont nous savons maintenant depuis trois mandats que l'orthographe et la grammaire ne sont pas son fort... En effet, si l'on écrit "Suite aux dégâts des eaux " on poursuit par "qui ont touché " et non pas "qui a touché " ou alors, on commence sa phrase par "Suite au dégât des eaux".
Notre église Notre Dame des Anges est victime comme le reste de la commune du "j'm'enfoutisme" de notre freluquet de maire qui a toujours considéré Bihorel comme un marche pied vers d'autres mandats électifs.
Déjà, en avril 2018, sur ce blog voici ce que j'écrivais au sujet du délabrement de l'édifice:
- " S'il ne s'agissait que de l'état crasseux des murs, la solution serait simple; un bon lessivage, un coup de peinture et notre église retrouverait son lustre d'antan. Mais la négligence du maire est telle qu'au fur et à mesure du temps, c'est toute la structure de l'édifice qui s'est dégradée.
Nul besoin de monter dans les combles ou sur le toit. Il suffit à l'intérieur de l'église de lever les yeux vers le ciel (en s'arrêtant au plafond) pour mesurer l'effet des affres du temps et surtout du "je m'en foutisme" du maire. Les marques d'infiltrations d'eau sont nombreuses, le plâtre et le lattis sont pourris à de multiples endroits et menaceront bientôt de tomber sur la tête des fidèles !
Et ce n'est là que la face cachée car bien évidemment si le plafond et les murs sont à ce point détériorés, on imaginera aisément de ce qu'il en est de la charpente, elle aussi touchée par les fuites de la toiture. Une toiture négligée tout comme l'entretien des chenaux durant les années "Houbron", c'est à dire depuis 2001... "
Nul besoin de monter dans les combles ou sur le toit. Il suffit à l'intérieur de l'église de lever les yeux vers le ciel (en s'arrêtant au plafond) pour mesurer l'effet des affres du temps et surtout du "je m'en foutisme" du maire. Les marques d'infiltrations d'eau sont nombreuses, le plâtre et le lattis sont pourris à de multiples endroits et menaceront bientôt de tomber sur la tête des fidèles !
Et ce n'est là que la face cachée car bien évidemment si le plafond et les murs sont à ce point détériorés, on imaginera aisément de ce qu'il en est de la charpente, elle aussi touchée par les fuites de la toiture. Une toiture négligée tout comme l'entretien des chenaux durant les années "Houbron", c'est à dire depuis 2001... "
Ah, mes chers Compatriotes, comme j'aime à me citer, surtout lorsque j'ai raison même si en cette en l'occasion j'eus préféré avoir tort.
Et ce sont bien effectivement des chenaux bouchés qui sont montés en charge lors des pluies automnales, l'eau se rependant alors à l'intérieur du bâtiment provoquant des dégâts dans le clocher puis l'effondrement en partie de la tribune.
Heureusement , l'Esprit Saint veille sur les fidèles, rendant ainsi service au petit marquis. L'effondrement ne s'est pas produit lors d'un office, messe d’inhumation, de mariage ou de baptême. La responsabilité d'Houbron eut été pleine et entière vis à vis de probables victimes.
Pas ou peu d'entretien depuis 2001, quelques opérations de maquillage (la deuxième moitié de N.D.A n'a toujours pas été repeinte et reste dans un état de crasse indigne d'une église) et cette fois-ci encore, on va poser des étais, ripoliner à la marge mais le petit marquis n'engagera pas les travaux de fond que nécessiterait la pérennité de notre église.
Le maire nous fait honte, mes chers Compatriotes, et fait honte à Bihorel en se comportant en individu hors sol, sans racine ni attache, négligeant le patrimoine dont il a la charge, se fichant comme d'une guigne de l'héritage que les Bihorellais se transmettent de génération en génération.
L'âme de Bihorel disparait petit à petit entre l'effondrement de Notre Dame des Anges, le bétonnage des espaces naturels et la destruction des vieilles demeures qui faisaient son charme et son exception.
Si Houbron n'aime pas Bihorel et bien alors, qu'il dégage !
C.Dragasès
pour aller plus loin sur le sujet:
http://constantindragases.blogspot.com/2018/04/notre-dame-des-anges-150-ans-et-cela-se.html
http://constantindragases.blogspot.com/2019/05/du-trompe-couillon-sur-notre-dame-des.html
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