"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

lundi 28 août 2023

Piscine sans fond ? Le piège tendu par notre petit marquis

 



   Ce n'est plus seulement une rumeur. La piscine de Bihorel pourrait rouvrir un jour, peut être et seulement si les Bihorellais sont d'accord pour mettre encore la main à la poche. Dans la presse, j'ai lu beaucoup de choses différentes et parfois contradictoires, comme sur le montant de la redevance à payer pour la faire fonctionner (différent selon les communes), les villes participantes, le mode de financement (les propriétaires seront ils les seuls à payer ou les locataires  participeront ils également ? ), alors il va falloir ouvrir l'œil et le bon. Notre petit marquis semble être à la manœuvre, il propose une "consultation" et l'histoire nous a appris ce qu'il faisait des résultats, bref, le temps des enfumeurs pourrait bien être de retour. 

Avant tout, mes chers Compatriotes, ne tombons pas dans le piège qui nous est tendu. Si le vote est positif, c'est une nouvelle taxe qui va encore venir alourdir la pression fiscale locale et notre petit marquis aura beau jeu de dire, comme c'est son habitude, qu'il n'y est pour rien puisque ce seront les Bihorellais qui en auront décidé ainsi. Si le vote est négatif, notre joueur de flûte pourra arguer du fait que les Bihorellais se sont opposés à la réouverture de leur piscine et qu'en tant que maire, il n'est pas responsable de sa fermeture définitive. Dans les deux cas d'hypothèses, c'est le Bihorellais qui est le perdant et le maire qui se défile. Ce genre de consultation me rappelle un jeu pratiqué, jadis, dans les cours de récréation, le pile ou face. Pile, je gagne, face, tu perds.

Notre piscine doit-elle rouvrir, ma réponse est oui. Doit-on augmenter la fiscalité locale pour financer son fonctionnement, ma réponse est non. Certains vont dire que je veux le beurre et l'argent du beurre et bien non et je prouve qu'il est possible de suivre une autre voie, juste avec un peu de réflexion et de courage politique !

En préambule, je voudrais soumettre à votre réflexion ces quelques observations tirées du site "les contribuables associés".

" La France est la championne du monde de la dépense publique parmi les pays développés : 58,13 % des richesses créées par les Français en 2022 ont été absorbées par la sphère publique.

Jusqu’à hier, lundi 31 juillet 2023, vous avez travaillé pour l’État. Sur chaque euro que vous avez gagné, 58,13 centimes sont partis pour les administrations centrales, les collectivités locales, les administrations de sécurité sociale…

Gaspillages, inefficacité, connivences et corporatisme… Autant de ressources mal employées par la classe politique et l’administration. "

Et bien mes chers Compatriotes, malgré ce "pognon de dingue" comme disait l'autre, pompé à tous les Français, ni l'état, ni la région, ni le département, ni la métropole, pas plus que les maires des trois communes (Bihorel, Bois Guillaume, Isneauville réunis) ne sont fichus de faire fonctionner une piscine, sans ressusciter la taxe d'habitation sous le séduisant pseudonyme de "redevance", cédant ainsi à la facilité en puisant encore un peu plus profondément dans les poches des contribuables. Quelle imagination et surtout quel scandale !

Et pourtant, de l'argent, lorsqu'il faut en trouver, les politiques en trouvent, même encore aujourd'hui dans une France surendettée. C'est actuellement la course à la "reconstruction" des bâtiments publics (écoles, mairies, bureaux de Poste, centres de loisirs, maisons de l'emploi etc...) que les racailles/pilleurs ont détruits en cinq nuits du mois de juin 2023 et qu'ils redétruiront au premier regard de travers que leur lancera un policier...Là du financement public, nos soi-disant "élites" en trouvent à foison. 

"Gaspillages, inefficacité, connivences et corporatisme… Autant de ressources mal employées par la classe politique et l’administration." constatent les "contribuables associés". Chacun connait la gabegie d'argent public qui est faite à tous les niveaux (constructions de ronds-points, panorama XXL, commissions bidules, train de vie des collectivités et des administrations, "frais" des élus etc...). 

A titre d'exemple, je citerai le voyage d'un adjoint au maire de la ville de Rouen en juillet 2022 à Santos (Brésil) au forum de l'Unesco pour présenter lors de celui-ci une vidéo (1) de la ville de Rouen au cours d'une intervention qui dura, montre en main, cinq minutes chrono ! Voyage et séjour aux frais des généreux contribuables que nous sommes.

Alors plutôt que de ressortir des tiroirs la taxe d'habitation, il serait judicieux de se pencher sur les budgets de fonctionnement des communes (entre autres), de leur masse salariale, bref de pister les économies réalisables et ne pas, par paresse intellectuelle, avoir recours à la sempiternelle méthode du toujours plus d'impôts.

Ne trouvez-vous pas, mes chers Compatriotes, que nous en payons déjà suffisamment pour avoir une piscine municipale qui fonctionne ? Une piscine inaugurée en 1972 et fermée en 2016 par un Pascal Houbron qui se coucha, sans résistance aucune, devant le diktat de Renard le revanchard, maire de Bois Guillaume ? Une fermeture qui d'ailleurs ne donna pas lieu à une baisse d’impôt, alors pourquoi faudrait-il remettre la main à la poche pour sa réouverture ?

Aujourd’hui, on nous annonce la somme de 9 millions d’euros pour réhabiliter notre piscine, un prévisionnel qui sera comme toujours largement dépassé. En 2016, au moment de sa fermeture, il fallait 3 millions pour la mettre aux normes.

"7 ans de réflexion" pour Pascal Houbron qui vont couter très cher aux contribuables que nous sommes. Voilà encore, un autre exemple de dilapidation d'argent public. Et avec tout cela il faudrait accepter le retour de la taxe d’habitation. De qui se moque-t-on ?

Ainsi, pouvons-nous constater que de très nombreuses questions restent en suspend dont : le financement, son évolution dans le temps, quel contrôle du citoyen dans l'utilisation d'une hypothétique "redevance" et pour quel type de piscine ? 

Bihorel n'a pas besoin d'un "Aqualand" au rabais comme l'était la Transat, mais d'un équipement sportif pour les clubs, les scolaires, l'apprentissage de la natation et la pratique thérapeutique.  

Il conviendra également de nous montrer très vigilants quant à la formulation de la question qui nous sera soumise et refuser l'alternative du "tu paies ou je ferme" et pouvoir exprimer le choix du "on rouvre et l'on finance le fonctionnement en faisant des économies par ailleurs".  

En attendant, mes chers Compatriotes, méditons cette citation de Colbert:

 "L’art de l’imposition consiste à plumer l’oie pour obtenir le plus possible de plumes avec le moins possible de cris."

Comme en organisant une consultation.


C.Dragasès


ps: les terrains attenants à la piscine, ont récemment, à la demande de notre petit marquis, changé de classification et sont désormais constructibles.

Un projet immobilier en vue, autour de notre piscine, ou qui sait, à sa place ?


(1)  vidéo de l'intervention disponible ici   (commencez la lecture à 02:52.00)




 


samedi 26 août 2023

Nîmes

 


Décomposition française

 

« Chaque jour est répété en boucle que la France doit devenir une société ouverte sur le monde et à toutes les identités, manifestement pas à l’identité française. Il ne fait décidément pas bon être français de culture française. Les Français le perçoivent avec une très grande acuité, et c’est la raison pour laquelle ils sont de plus en plus nombreux à se sentir apatrides sur la terre que leurs ancêtres ont façonnée après de longues batailles et de grandes souffrances.

En France, tout le monde a le droit d’être fier de son identité et d’en exprimer publiquement la traduction au quotidien, sauf les Français de culture française. Chaque fois qu’ils en viennent ne serait-ce qu’à exiger le respect de leur identité, ils peuvent se voir accusés de racisme, de xénophobie et à présent d’islamophobie. Pour un peuple, la négation constante de son identité est une frustration sans borne et représente une véritable humiliation. Cette humiliation se mue peu à peu en colère sourde. Comme toujours en pareille situation, il y aura un retour de balancier. »


Malika Sorel, Décomposition française.





lundi 21 août 2023

Interrogation socialiste

 





ancienne ou nouvelle gauche socialiste, ça transpire toujours la bêtise, le mépris et la haine du peuple.








samedi 19 août 2023

Samedi soir (souvenirs d'un européen)

 



 Dans le grand effondrement général actuel, subsistent quelques ilots de civilisation,  de beauté et de poésie, témoins de ce que fut la grandeur de la culture européenne. Les concerts de musique savante un peu partout en France et particulièrement ceux de "La Maison Illuminée" font partie de ces rares et éphémères instants rappelant un temps qui s'éloigne, comme le décrivait Stephan Zweig dans "le Monde d'hier".

Nous avons la chance que sous la direction d'Oswald Sallaberger,  les musiciens de "La Maison Illuminée"  se produisent régulièrement en l'église Saint Maclou ou en celle de Saint Ouen.

Le prochain rendez-vous, pour un concert, est fixé au jeudi 24 août à 18h 30 en l'Abbatiale de Saint Ouen à Rouen. Au programme, les "incontournables" de Bach. 

N'hésitez pas à venir vous immerger dans votre A.D.N culturel et civilisationnel européen.


C.D



https://lamaisonilluminee.com/






si c'est lui qui le dit...

 

"L'antifascisme n'est rien, c'est un concept vide qui sert à couvrir les canailleries du stalinisme." 


Léon Trotsky, Lettre à H. Sneevliet, 1936





jeudi 17 août 2023

mardi 15 août 2023

Assomption

 




Profitons de cette fête de l'Assomption 2023 pour nous rappeler que ce fut  Louis XIII qui consacra en 1638, le Royaume de France à la Vierge Marie:

  «prenant la très sainte et très glorieuse Vierge pour protectrice spéciale de notre royaume, nous lui consacrons particulièrement notre personne, notre État, notre couronne et nos sujets, la suppliant de nous vouloir inspirer une sainte conduite et de défendre avec tant de soin ce royaume contre l'effort de tous ses ennemis».  

Que Macron en prenne de la graine !

Mes chers Compatriotes, en ce 15 août 2023, prions pour la France et plus particulièrement pour l'une de ses filles  âgée de 18 ans, Cherbourgeoise d'origine, victime d'un barbare venu d'outre méditerranée et de la soumission de républicains qui trahissent la France.


C.D







vendredi 11 août 2023

Histoire corse

 





Cela me rappelle une histoire corse que je vous livre :


" Info 16h08 : une maison squattée à Solenzara.

Info 16h18 : fin du squat " 











mercredi 9 août 2023

 




"Si vous « campez » en famille, vous découvrirez ce sentiment admirable : être le camarade de vos enfants. Coude à coude avec vous dans la grande égalité des sports, ils auront vite pour vous un sentiment de déférence si vous êtes plus fort, de protection si vous êtes plus faible. Croyez-moi, il vaut mieux être le plus vieux des « jeunes » que le plus jeune des « vieux ». 

Emmenez votre femme vers la forêt où il y a quelques générations elle tremblait en votre absence aux cris des bêtes fauves. Apprenez-lui qu’elle vous plaît sans poudre et sans rimmel, quand elle est toute parfumée de l’odeur des foins ou fraîche de sa nage en rivière. Dans les pièces fermées les mots méchants résonnent et se conservent dans les murs. Le vent, votre ami, emporte votre impatience et la disperse au loin, tandis qu’il murmure votre tendresse à tous les échos.

Si vous ne savez où passer vos vacances en famille, emportez une tente dans votre voiture, ou bien accrochez derrière elle une de ces remorques confortables. Avant de partir, chargez chacun des vôtres d’une mission pleine de responsabilité… Et puis… Pensez à tout vous-même. Que chacun ait son lit, sache le dresser, emporte sa propre vaisselle. Peu de boîtes de conserves : les fermes vous fourniront œufs, poulets, légumes et même vin. Si vous « campez » loin des villages, qu’est-ce qu’une promenade de quelques kilomètres pour se rendre aux provisions, sinon le meilleur des apéritifs ?"


TITAYNA, Paris Soir – 14 juillet 1935

(alias, Elisabeth Sauvy, l'une des rares femmes françaises qui accéda au titre de grand reporter dans les années 1920/30)






mardi 8 août 2023

 

" En l’espace de quelques années (…) : la seconde mort de Dieu dont l’enterrement religieux, comme il se doit, a pris devant l’histoire le nom de “concile Vatican II”, la destruction programmée du catholicisme rituel et festif des petits et des humbles – celui des Rogations et de la Fête-Dieu, celui des saints intercesseurs et du rosaire -, le krach de la foi, l’offensive libertaire contre la verticalité et le “nom du père” en tant que principe et source d’autorité, la destitution biologique, juridique et sociale de la paternité avec la pilule et la déchéance du pater familias, la dissolution de la famille au nom du droit au bonheur individuel, le sexe comme ersatz de l’amour, le remplacement des traditions populaires par une culture de masse importée de l’étranger, l’ethnocide des campagnes, la fin des paysans et la déconstruction des paysages, soit, dans la novlangue techno, le remembrement qui a saccagé la France à la fin des années cinquante. "


Patrick Buissonla Fin d'un monde





dimanche 6 août 2023

JDD: le retour !

 



Le JDD est de retour plus tôt que prévu avec une nouvelle équipe, dans laquelle  on  retrouve les signatures de Charlotte d'Ornellas et Raphaël Stainville (anciens de Valeurs Actuelles, comme Geoffroy Lejeune), de Pascal Praud, journaliste à Europe 1 et CNews, Jacques Vendroux, pour le sport, ou encore Éric Naulleau qui s'exclame sur twitter :

 " Aux kiosques citoyens !"











vendredi 4 août 2023

Chronique de la peur ordinaire

 




Bihorel, parc de l'Argilière, juillet 2023 

billet invitée *



La petite main de ma petite fille dans la mienne par un après-midi de juillet qui ressemble à octobre. Nous ramassons de ci de là du petit bois « pour papi » Et nous rencontrons une dame de ma connaissance qui promène comme chaque jour son chien. La conversation s’engage

Ça commence comme souvent par le temps qu’il fait et la santé des gens. Et puis les vacances, le calme de la montagne qui contraste et qui fait du bien après la période que nous venons de traverser.
La petite court vers une balançoire, et au fil des mots je sens bien que la dame avec qui je bavarde a peur. Elle aimerait vivre à la campagne, elle y a longtemps vécu mais elle craint d’y être isolée.
Il lui arrive de ne pas se sentir tranquille quand elle promène son chien sur l’hippodrome où on croise de plus en plus souvent des types dont le regard n’est pas franchement amical. Elle n’oublie jamais de fermer sa maison et la grille de son jardin.
Et tandis qu’elle me livre ses impressions et ses craintes, nous voyons arriver un groupe d’une dizaine de jeunes gens entre peut-être 14 ,15 et 20,25 ans. L’un d’eux porte une tenue islamique,  le pantalon bouffant, la tunique et le calot sur la tête (type Afghan). Ils passent tout près de nous et véritablement nous toisent du regard et la dame au chien me dit tout bas « Il ne faut pas les regarder ».

Je les regarde tout de même et je regarde aussi ma petite fille sur la balançoire parce qu’en cet instant, c’est plus fort que nous et je dis nous parce que toutes les deux, nous pensons à Annecy.
La bande s’éloigne un peu jusque sous les arbres. Là ils semblent se concerter.
Il commence à pleuvoir dru et alors que je voudrais repartir vers l’hippodrome pour rentrer chez moi, la dame me suggère d’attendre qu’ils soient partis pour passer. Nous nous abritons sous un saule, ma petite fille s’amuse de ce grand parapluie. Je sens sa petite main dans la mienne.
Le groupe fait demi tour, revient un peu vers nous et sort du parc. Nous quittons enfin notre abri. Pendant qu’ils passent près de nous, l’atmosphère se refroidit, on sait, on sent, on voit que ces gens nous détestent et qu’en effet pour un regard une parole, ils n’hésiteront pas, qu’ils n’ont aucune limite et qu’ils ne craignent rien, ni personne.

J’ai déjà eu cette impression récemment devant le Carrefour market du coin avec une bande de jeunes africains s'exprimant dans une langue inconnue et qui se comportaient comme des sauvages. Moi, qui jusqu’ici, n’ai jamais laissé une caissière se faire insulter sans réagir, qui me suis toujours opposée, qui ne baissait pas les yeux, je me suis surprise pour la première fois à hésiter, à avoir peur.

On a passé un cap.

Ces jeunes hommes par trop différents sont effrayants, immaitrisables. Au nom de quelle lâcheté de ceux qui font semblant de ne pas voir, cette dame doit elle avoir peur ?

Depuis de longs mois déjà, je ne fréquentais presque plus l’argilière, les jours de beau temps parce que je ne m’y sentais plus la bienvenue, habillée à l’européenne au milieu de femmes au minimum voilées ou en Burka avec des sauvageons dont la seule loi est celle du plus fort et qui vous imposent leur musique à fond, crachent par terre et parlent très fort.




* l'invitée est une ancienne conseillère municipale d'opposition citoyenne de la précédente mandature.




jeudi 3 août 2023

Première Dame de France

 


Geneviève de Fontenay
1932 - 2023 



« On peut juger une race sur l'allure de ses femmes. »

Jean Raspail








Encore un coup de Matteo et Kevin

 

source P.N et Actu76



Il se trouve qu'une de mes filles est aussi infirmière à domicile, qu'avant de changer de secteur, elle a exercé plusieurs années sur les hauts de Rouen, que parfois, elle a eu peur.

Ce qui est arrivé à sa collègue de Saint Etienne du Rouvray, pourrait lui arriver à elle aussi. 

J'ai déjà cité ici,  Laurent Obertone, mais je vous le répète "la foudre de la violence gratuite peut tomber sur n'importe qui".

Même sur les "belles âmes" pro-migrants, complices et responsables de nos malheurs.


C.D




mardi 1 août 2023

1er août 14

 



Voici 109 ans, vers 16h, les clochers de France faisaient sonner leurs tocsins pour annoncer la mobilisation générale.


"Un  film fantomatique à l’Abel Gance devrait montrer des poilus de 14  errant dans la France d’aujourd'hui, qu’ils voient pour quoi ils ont tant  souffert" (Renaud Camus, juillet 2016)







"La France en a marre. Pourquoi ne parle-t-on pas de mon fils ?"

 

source le Figaro 31 juillet 2023


ENTRETIEN EXCLUSIF - La mère de l’adolescent de 15 ans, récemment tué à coups de couteau à La Haye-Malherbe (Eure), s’est confiée au Figaro.

«Je suis une maman en colère. Il n'y a pas d'appel à la vengeance mais je veux que la justice fasse quelque chose», explique Sophie, la mère d’Enzo. Son fils de 15 ans a été tué à coups de couteau par un adolescent du même âge, samedi 22 juillet, à La Haye-Malherbe, une petite commune de l’Eure.


Le silence du monde politico-médiatique

La mère d’Enzo déplore par ailleurs le silence des politiciens, des sportifs et des stars. «La France en a marre. Pourquoi ne parle-t-on pas de mon fils ? Parce qu'il ne vient pas d'une cité mais d'une petite commune de 1400 habitants ? Parce que nous sommes restés dans le respect, le silence et le calme ? Pourquoi notre chef de l'État ne vient pas nous rendre hommage», s’interroge la mère de famille.