"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

vendredi 22 mars 2019

Municipales anticipées à Bihorel ?



petite chose



"Ce soir, je suis fier de donner le coup d’envoi « officiel » du match RMB contre Orléans..." twittait notre vaniteux petit marquis.

Le ridicule ne tue pas, sinon nous aurions eu des municipales anticipées depuis longtemps à Bihorel...

Personne ne maitrise mieux que lui l'art d'être ridicule !




C.Dragasès



dimanche 17 mars 2019

Eloge du vin vieux


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" Il est loin le temps où l'on buvait la cave de ses parents tout en constituant celle de ses enfants"








vendredi 15 mars 2019

Piscine municipale de Bihorel "Transat"



Devant le scandale de la fermeture de la piscine municipale de Bihorel, les élus du groupe d'opposition "Vive Bihorel", Françoise Jérôme et Jean Claude Ravenel, ont décidé de demander des explications au maire de Bihorel.

Voici le courrier qu'ils lui ont adressé :


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Mes chers Compatriotes, nous vous tiendrons informés et nous vous communiquerons la réponse que le destinataire de ce courrier y donnera


C.Dragasès








vendredi 8 mars 2019

Journée de la Femme





"IKEA est le meilleur prénom pour une femme : suédoise, bon marché, à emmener aussitôt chez soi et facile à monter."

Pierre Desproges







mercredi 6 mars 2019

Carême 2019



Cela leur écorcherait la gueule aux médias collabos, toujours prompts à rouler dans la boue selon les jours, un prêtre ou l’Église, d'annoncer que nous sommes aujourd'hui plus de deux milliards de chrétiens en ce bas monde à entrer en Carême !


Bon Carême à tous mes frères chrétiens !


C.Dragasès







 

mardi 5 mars 2019

«Bouteflika, symbole du mal-être de l'Algérie»



par Eric Zemmour, Le Figaro 1er mars 2019

CHRONIQUE - Le président algérien incarne aujourd'hui le chantage exercé par une camarilla d'affairistes et de militaires: Bouteflika ou la guerre, version algérienne du très gaullien «Moi ou le chaos».

Dans les traditions du Maghreb, le chiffre 5 est censé porter bonheur. Les mères bénissent leurs enfants les doigts grands ouverts au-dessus de leurs têtes, ou leur accrochent autour du cou des pendentifs en forme de main. En Algérie pourtant, depuis quelques jours, des manifestations vouent aux gémonies ce chiffre 5. Le porte-bonheur est devenu symbole du malheur algérien. Du mal-vivre de tout un pays gangrené par une démographie exubérante, la corruption endémique, l'aliénation à une économie de rente, fondée sur les deux seules richesses du pays, le pétrole et le gaz. Le chiffre 5, comme le 5e  mandat présidentiel que s'apprête à solliciter un Bouteflika moribond, momie mutique, passant sa vie de pantin désarticulé entre Alger et Grenoble, où réside son médecin traitant.

Bouteflika a symbolisé à son avènement la fin de la guerre civile des années 1990 et la défaite improbable des islamistes. Bouteflika incarne aujourd'hui le chantage exercé par une camarilla d'affairistes et de militaires: Bouteflika ou la guerre, version algérienne du très gaullien «Moi ou le chaos».

Quand on parle de l'Algérie, le spectre du général de Gaulle n'est jamais loin. Bouteflika fut ministre du gouvernement Ben Bella en 1962 à l'indépendance algérienne. Il avait 25 ans et était une des vedettes de la dolce vita algéroise de l'époque!
Bouteflika incarne ce FLN à qui le Général a livré l'Algérie, alors même que l'armée française avait gagné la guerre sur le terrain. Des adversaires impitoyables qui exécutèrent par milliers opposants politiques et harkis fidèles à la France, et chassèrent violemment les pieds-noirs («la valise ou le cercueil»), alors qu'ils auraient pu stabiliser l'État et l'économie du nouveau pays, à l'instar de ce que fit Mandela avec les Blancs d'Afrique du Sud. Un FLN qui, dès les années 1960, au temps de Boumediene, refusa de prendre des mesures de répression démographique à la manière chinoise, au nom d'une politique de puissance qui a étouffé tout développement économique. Un FLN enfin qui engagea l'arabisation de l'éducation pour extirper les traces de la colonisation française, et fit ainsi le lit des enseignants islamistes.

Après que l'armée eut gagné la guerre civile, Bouteflika, au nom de la réconciliation nationale, a ouvert les prisons et donné les clés de la société aux islamistes, préparant leur victoire politique future. Il ne faut jamais oublier que la bataille du FLN contre le colonisateur français se fit au nom de l'islam contre «les infidèles». Des infidèles chez qui toute l'Algérie a pris l'habitude de se faire soigner et de déverser son trop-plein démographique depuis cinquante ans - alors que de Gaulle avait accordé l'indépendance à l'Algérie pour que son village ne devienne pas Colombey-les-deux-Mosquées. Des infidèles assez fous pour avoir multiplié les lois (dans la lignée des accords d'Évian, jamais abrogés) qui permettront demain à des millions d'Algériens de venir retrouver un frère, un père, un cousin résidant déjà en France. Une invasion légale qu'avait prophétisée il y a des décennies le lointain prédécesseur de Bouteflika, Houari Boumediene…