"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

vendredi 29 janvier 2021

Et pendant ce temps là... (2)

  Confinera ? Confinera pas ? Quand l'un  avance, l'autre recule. Quand l'un dit blanc, l'autre dit noir, d'ailleurs c'est parfois le même. Leurs contradictions et revirements sont finalement les seules sources d'amusement dans l'actualité de ce début d'année. Vaccinera ? Vaccinera pas ? Aujourd'hui peut-être ou alors demain ? Si le ridicule tuait, nous n'aurions plus ni président, ni gouvernement, ni république ni union européenne non plus d'ailleurs. Il parait que les marchés de vaccins passés avec les laboratoires pharmaceutiques, l'ont été n'importe comment par des fonctionnaires européens incompétents puisque c'était là pour eux une première. Pas de pénalités prévues en cas de retard et pas de délais de livraison inscrits dans ces marchés. La technocratie européenne nous apporte là une énième preuve de son impéritie et de son inutilité. Les Anglais, eux, grâce au Brexit, ont commandé seuls de leur coté et continuent à être livrés et à vacciner normalement... 



Et pendant ce temps là, mes chers Compatriotes, la terre continue de tourner. L'affaire de la semaine dernière fut l'entrée à la maison blanche de Joe Robinette Biden et le départ de Trump. Ce 20 janvier fut un jour d'exultation que dis-je, d'orgasme collectif pour tout ce que la planète compte de vigilants, de justes, de moralisateurs de gauche, bref ce jour-là, le camp du bien et du progrès a pris son pied. 

Normal, pour les bien pensants, Donald Trump était devenu président par effraction et son entrée à la maison blanche fut vécue comme celle d'un Johnny Rotten en plein festival de Bayreuth au moment  de la mort d'Iseult. En ce 20 janvier, ce fut le temps de la revanche et les choses enfin rentraient dans l'ordre, la première démocratie et puissance du monde ne pouvant avoir qu'un président certes de tous genres mais forcément démocrate. 

L'épisode de la "prise" du congrès, je dois le confesser, m'a plutôt amusé. Voir cette foule de gugusses visitant le congrès américain comme jadis le peuple parisien visita Versailles avant d'emmener Louis Capet vers son funeste destin, était plutôt rafraichissant. Bien entendu, les médias français en ont fait des tonnes. On hésitait entre l'incendie du Reichstag par les copains du ténébreux Adolf et la prise de la Moneda par ceux de ce vieux fripon d'Augusto. Etonnant d'ailleurs de constater que ce sont les mêmes qui au quotidien célèbrent comme on égrène des chapelets, la prise de la bastille et une république née dans un bain de sang. 

Le jour de l'investiture, pas de putsch. Entre deux "Castafiore", on s'est ennuyé ferme et tout le petit monde transgenre et démocrate de la secte Biden est rentré bien vite dans le bureau ovale s'envoyer un MacDo arrosé d'une "Bud" (sans alcool, on est chez les hygiénistes du "care").

Maintenant et pour quatre années, il va falloir nous habituer à ces conseillers en "tutu" avec le braquemart dissimulé en dessous, qui vont peupler une "White House" dont le nom ne saurait tarder à être changé (trop raciste) et à une administration "Biden" où toutes les minorités qui sembleront sorties tout droit du musée d'Histoire Naturelle, seront représentées...Les Pékinois et autres barbus de tout l'univers s'en tapent déjà de rire sur leurs cuisses en regardant Washington se transformer en "village people"... Il faut bien admettre qu'un pays où un pasteur termine son oraison par "awomen" en supplément du traditionnel "Amen" trop genré (un pasteur qui doit plaire au pape François) et où l'on n'emploie plus uniquement le terme "history" mais aussi  "herstory" pour les mêmes raisons, est un pays qui laisse entrevoir le pire quant à son avenir et donne l'image d'un Occident en voie de putréfaction.       





Ils sont jeunes et sans doute incarnent-il la vraie jeunesse de France, en tous cas en vrais patriotes, ils défendent notre nation et ne veulent pas voir disparaitre sa chair, sa culture et sa civilisation. Ils veulent vivre dans une France française telle que quinze siècles d'histoire l'ont façonnée et non pas dans une annexe de l'Afrique. C'est l'histoire de jeunes qui refusent la perte de leur identité et celle de leur patrie.
Je vais vous faire une confidence mes chers Compatriotes, si j'avais vingt ans aujourd'hui, je serais vraisemblablement des leurs et cela sous le regard approbatif de mes deux grands-pères qui par deux fois combattirent pour défendre la France et son sol.



Génération identitaire de 14-18, morte pour la France



Bien sûr, ils fâchent tous les vigilants qui voient depuis cinquante ans le fascisme à tous les coins de rues tout en ignorant les véritables périls qui nous menacent et cela par idéologie et par haine des catholiques et de la France. 
Pourtant ces militants de Génération Identitaire n'ont rien de crânes rasés, chaussés de Doc Martins qui ne se séparent jamais de leurs battes de baseball. Ils n'ont pas l'apparence de milice paramilitaire comme les blackblocks d'extrême gauche ou les antifas. Pas le moindre insigne nazi, non plus, pas la moindre ratonade à leur actif, pas de casse de vitrines, de voiture brûlée, pas de cocktail molotov lancé sur les policiers ni de traquenard organisé contre les pompiers.

Et pourtant voilà que ce caramel mou de ministre de l'intérieur dépêche ses services afin d'enquêter et trouver la petite bête qui permettra de dissoudre cette organisation patriotique. Le véritable tort de Génération Identitaire, c'est de mettre en évidence aux yeux de la population par des coups d'éclat médiatique que nos frontières sont  toujours des passoires et que Darmanin ne fait que dans le baratin. 
Notons que le Kéké Castaner, l'ex-rantanplan de l'intérieur, a déclaré que "Génération Identitaire se dissimulait derrière la loi". Pour Kéké respecter la loi, c'est se dissimuler derrière elle.
Il est vrai que Castaner est un être sensible qui trouve que l'émotion et les sentiments  peuvent dépasser les règles et les lois de la république, surtout si ce sont des émotions de gauche.

Voilà un siècle, l'état décorait les soldats morts pour la France, aujourd'hui il veut effacer du paysage leurs héritiers spirituels. Pire encore, plusieurs collectivités locales comme le conseil général de Loire-Atlantique ou la mairie de Paris financent des associations du type "sos-mediterannée" pour un montant de 800.000 euros annuels. Dites-nous chers édiles, cela représente combien de lits de réanimation, 800.000 euros ? 

Comme l'écrit Renaud Camus, nous vivons un fait unique dans l'histoire de l'humanité; une civilisation finance elle-même sa propre disparition... 

C.Dragasès 









jeudi 21 janvier 2021

21 janvier 1793


 







 


 Serait-ce autorisé de filmer au volant en conduisant avec son téléphone ? Un passe droit pour les élus, peut-être ? Bravo Madame pour votre civisme et l'exemple que vous donnez. On se croit au dessus des lois à ce que je vois. Nos chers Compatriotes apprécieront...


https://twitter.com/Lecordiernathal/status/1352195883367075840


Sur la vidéo, on voit clairement le voyant vert du clignotant gauche activé, ce qui signifie que Mme Lecordier conduit d'une main et filme de l'autre au moment où elle insère son véhicule (regardez la signalisation au sol) dans le flot de circulation d'une autoroute !  



mardi 19 janvier 2021

Bacri...

 



Jean-Pierre Bacri se dit « content de ne pas être mort en 2020, comme tous ces cons-là ! »

Le Gorafi 19 janvier 2021





dimanche 17 janvier 2021

Dimanche intelligent avec "La Belle Histoire de France"

Nouvelle émission de Christine Kelly sur Cnews le dimanche à 14 heures réunissant autour d'elle Marc Menant et Franck Ferrand, qui propose un retour chronologique sur l'Histoire de notre grand et beau pays.

Notez également à 13 heures, sur cette même chaine, l'excellent rendez-vous "en quête d'esprit" chaque dimanche. Le thème d'aujourd'hui "liberté, égalité fraternité, des valeurs chrétiennes ? ". 

Enfin, toujours sur Cnews le dimanche, la diffusion d'un condensé du meilleur des éditoriaux, analyses et réflexions d'Eric Zemmour.


Le cerveau n'a rien contre un peu d'exercice ! 


samedi 16 janvier 2021

Samedi soir (marin avec Georges et les pécheurs de Saint Vaast)

 




Le Breiz, chalutier de Saint-Vaast-la-Hougue qui a chaviré vers 23H30 ce vendredi 15 janvier. Ils étaient trois à bord âgés de 19 à 26 ans dont deux frères. Tous ont péri. 


                           "Homme libre, toujours tu chériras la mer"







mercredi 13 janvier 2021

Et pendant ce temps là...

 Covid par-ci, covid par là, il est passé par ici, il repassera par là. Depuis quelques mois, je vous sens mes chers Compatriotes (et je ne m'exclus par forcement) comme des lapins pris dans les phares d'une voiture, complétement paralysés par la crainte de ce virus et par cette terreur molle orchestrée par le gouvernement et les médias.

Oh, loin de moi l'idée de sous estimer la dangerosité de l'épidémie, ni ses conséquences sociales, mentales et économiques mais pendant ce temps là, la terre ne s'arrête pas de tourner et les politiques de commettre leurs méfaits.



Oui, pendant ce temps là, les accidents industriels continuent et ne sont pas traités avec l'importance que l'on devrait leur accorder dans les médias. Lorsque début janvier, il est ressenti dans l'agglomération rouennaise des odeurs d'hydrocarbures, la préfecture communique que cela serait dû aux "feux de bois dans les cheminées".

C'est terrible à dire, mais de nos jours, les menteurs professionnels ne savent même plus mentir correctement lorsqu'il s'agit de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Le cabinet du préfet s'est couvert de ridicule en proférant ce mensonge de "feux de bois" qu'un enfant de quatre ans n'aurait pas osé inventer.

L'industriel ,lui, mettra près de dix jours à reconnaitre après l'avoir nié, que les odeurs venait bien d'un "incident" sur son site et sans les dénonciations des syndicalistes de l'entreprise, nous aurions ignoré qu'une fois encore, nous avions échappé de justesse à une nouvelle catastrophe industrielle chimique. Cela montre bien que dix-huit mois après "Lubrizol", rien n'a changé dans la prévention et les contrôles, que la population n'est pas plus en sécurité qu'à l'époque. Là encore, où sont les politiques ?
Qu'ont-ils mis en place depuis tout ce temps en matière de prévention et d'information des populations ? A Bihorel, quelles avancées en la matière ? Aucune ! On attend passivement la prochaine catastrophe. Aucune anticipation, rien. Demain les autorités seront encore dans la réaction et comme en septembre 2019, nous serons livrés à nous mêmes...




L'épidémie du Covid 19 a mis en lumière le "grand déclassement" de la France au niveau mondial et son incapacité à gérer la crise sanitaire (masques, tests, vaccination) est indigne d'un grand pays développé mais pendant ce temps là, le grand remplacement, lui aussi, se poursuit.

Impulsée par un Gérard Caseneuve alors ministre de François Hollande et collègue d'Emmanuel Macron, la politique de répartition des migrants dans nos belles provinces et de peuplement par celle-ci,  se poursuit. Le principe est de repeupler des campagnes qui furent vidées de leurs habitants pendant soixante ans pour les envoyer se faire exploiter dans les usines et se faire vider les poches dans les supermarchés des grandes villes.

Le but final de cette politique, est d'installer partout sur le territoire des migrants appartenant à d'autres civilisations que la nôtre afin que les générations de nos enfants et plus particulièrement celle de nos petits enfants aient le sentiment demain en les voyant que les grenouilles de minarets et autres barbus font partie intégrante de nos paysages et qu'ils ont toujours été là. La boucle du grand remplacement sera alors bouclée et Colombey-les-Deux-Eglises devenu Colombey-les-Deux-Mosquées.  

Si les frontières n'arrêtent pas les virus (surtout si on ne les ferme pas), les virus eux, ne stoppent pas la politique de remplacement des peuples européens sur leurs terres ancestrales par d'autres peuples venus d'Afrique et d'Orient. 




Et pendant ce temps là, mes chers Compatriotes, quid de nos libertés et de la démocratie ?
A coups d'ordonnances et de procédures accélérées, elles ressemblent de plus en plus à la peau de chagrin, chère à Balzac. La chaine avec laquelle les pouvoirs nous tiennent, semble se raccourcir de mois en mois. 
Mais qui s'en émeut ? Pas la somme de "déambulants approbatifs" (1) que semble constituer aujourd'hui le peuple français.


C.Dragasès



(1) Philippe Muray







samedi 9 janvier 2021

Samedi soir (l'année des cons)

 











Tonton

 


Voilà vingt cinq ans, disparaissait François Mitterrand, dernier monarque de la république qui sut incarner la France et porter haut ses couleurs au delà de nos frontières. 

Mais la Mitterrandie fut aussi le terreau dans lequel crurent les maux qui depuis cette époque n'ont cessé de ronger la France et dont aujourd'hui on constate les ravages . 

Aucun regret, aucune nostalgie. 





mercredi 6 janvier 2021

Le vaccin arrive en Normandie


 

Le vaccin anti-covid est arrivé aujourd'hui à Rouen par porteur spécial (notre photo). Ainsi les dizaines de milliers de Rouennais qui souhaitent se faire vacciner vont pouvoir le faire dès les prochaines heures. Le ministre de la santé a indiqué dans un communiqué que le porteur spécial allait augmenter de manière significative le nombre de rotations dans les prochains jours.





lundi 4 janvier 2021

Cocoricouac (de taille)

 



  L'année démarre mal pour celui qui fut surnommé un temps "Jupiter" et qui finalement n'est qu'un amateur tout comme sa bande qui dirige, et c'est beaucoup dire, notre pays.

Tout d'abord cinq soldats français tués en moins d'une semaine au Mali dans le cadre de l'opération Barkhane menée contre les organisations de musulmans extrémistes dans cette région du monde. Rappelons qu'il y a moins de trois mois, la république française par l'intermédiaire de son président décidait pour obtenir la libération d'une otage française un peu "toc-toc" et convertie à l'islam, de payer une rançon de plusieurs millions d'euros (certains avancent le nombre de dix) et de libérer deux cents djihadistes, ces mêmes djihadistes que nos soldats combattent au Mali et qui aujourd'hui continuent de les trucider...On appréciera la manœuvre et la république faux cul peut bien aujourd'hui rendre hommage à ses soldats morts au combat, nos jeunes soldats sont avant tout, les victimes des conséquences de la bêtise de nos dirigeants. On ajoutera que bon nombre de jeunes Maliens de sexe masculin seraient bien inspirés, au lieu de faire la queue aux guichets des prestations sociales en France, de retourner dans leur pays, y remplacer nos soldats et y défendre leur patrie. Mais il semblerait qu'ils se sentent mieux dans un pays "raciste" comme le nôtre plutôt qu'en Afrique à défendre et à développer leur nation indépendante depuis plus de 60 ans.

Cela fait deux jours, que l'on ne parle plus que de cela. Notre gouvernement et l'administration française se montrent aussi nuls dans l'organisation de la vaccination contre la covid 19, qu'ils le furent depuis le début de la crise sanitaire dans le domaine des masques,  du contrôle de nos frontières, du confinement tardif, du déconfinement à la bonne franquette, des tests de la population, liste non exhaustive. Les chiffres parlent d'eux mêmes: le Royaume-Uni en est à 1,39 dose pour 100 000 habitants, l’Allemagne à 0,3 et la France à 0,0008 dose pour 100 000 habitants. Et pourtant, parait-il que nous sommes les meilleurs et que nous allons réussir car ce coup là, nous sommes prêts ! En réalité, c'est la débâcle et l'on a l'impression d'avoir un Général Gamelin à tous les leviers de l'état français (ou de ce qu'il en reste). Dans un coup de "com" minable, Macron a fait hier volte face en se défaussant de son impéritie sur ceux qu'il a lui même nommés et sur une administration qu'il n'a pas su réformer. Ca veut jouer les chefs de guerre et ça finit en péteux des bacs à sable.

Enfin, je passerai rapidement sur la rave-party bretonne qui s'est déroulée tranquillement, si je puis dire, trois jours durant,  devant des forces de gendarmerie qui attendirent des ordres d'intervention qui ne vinrent jamais de la part d'un pouvoir en culotte courte qui ne rate jamais l'honnête citoyen mais montre son visage de poltron face aux antifa, black bloc et autres racailles des banlieues.

Et dire que nous ne sommes que le 4 janvier. Pauvre France et pauvre de nous...


C.Dragasès 



ps: voici quelques semaines, les médias nous ont rebattu les oreilles avec les tests "massifs" programmés dans trois grandes villes dont celle du Havre de notre regretté premier ministre. Sur 200.000 Havrais, seuls 30.000 ont effectué le test. Autant dire que cela n'a servi à rien. Les mêmes médias n'en ont pas beaucoup fait écho. Cout de l'opération 800.000 euros de nos impôts. Ca fait combien de lits de réanimation et/ou de poste de soignants, 800.000 euros ?









vendredi 1 janvier 2021

2021

 




Mes chers Compatriotes, j'aurais aimé vous souhaiter une bonne année 2021, mais je serai honnête avec vous, je pense que 2021 sera pire que 2020, alors je me contenterai de nous souhaiter bon courage pour faire face avec succès à tout ce que nous aurons à affronter en cette nouvelle année.

Oui soyons, courageux, volontaires et ne renonçons jamais. La France a besoin des Français puisque la république l'abandonne et nous abandonne face aux ennemis et aux périls venus de l'extérieur comme de l'intérieur. La France est devenue un territoire perdu de la démocratie et rien ne sera possible tant que nous aurons des élections présidentielles faussées, des présidents de l'assemblée nationale et des commissaires au plan mis en examen, et tant que les référendums ne porteront pas sur les sujets essentiels pour l'avenir et la survie de la France et de notre civilisation.

Mes chers Compatriotes, continuons à prendre soin de notre santé, restons lucides face aux mensonges que l'on nous distille au quotidien et ne nous laissons pas enfermer dans cette "terreur molle" (1) sanitaire entretenue par les petits marquis et les princes qui nous gouvernent, afin de mieux nous contrôler.


Courage à tous pour 2021 !


C.Dragasès


(1) selon l'expression de Ph. Muray