"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

dimanche 28 novembre 2021

Avent


 






Bonne entrée dans le temps de l'Avent à vous tous !










 




Quand les préfets avaient de l'esprit

 



En visite à Rouen, Napoléon tente de piéger le préfet Beugnot :

- Quelle est la largeur de la Seine ici ?

- 171 mètres.

- Combien y a-t-il de maisons sur ce quai ?

- 95.

- Et combien d’oiseaux de passage ont traversé Rouen aujourd'hui ?

- Un seul sire, mais c’est un aigle !


Anthologie de la répartie




vendredi 26 novembre 2021

Black Friday

 

Nous voyons aujourd'hui la spéculation exploiter avec une espèce de rage croissante les habitudes de l'homme. Elle en crée sans cesse de nouvelles – en même temps que les joujoux mécaniques que ses ingénieurs lui fournissent, et qu'elle jette inlassablement sur le marché. La plupart de ces besoins, constamment provoqués, entretenus, excités par cette forme abjecte de la propagande qui s'appelle la publicité, tournent à la manie, au vice. La satisfaction de ces vices portera toujours le nom modeste de confort, mais le confort ne sera plus ce qu'il était jadis, un embellissement de la vie par le superflu, le superflu devenant peu à peu l'indispensable, grâce à la contagion de l'exemple sur les jeunes cerveaux de chaque générations. 

Comment voulez-vous qu'un homme formé, dès les premières heures de sa vie consciente, à ces innombrables servitudes, attache finalement grand prix à son indépendance spirituelle d'un système précisément organisé non seulement pour lui donner au plus bas prix ce confort, mais encore pour l'améliorer sans cesse ?


G.Bernanos, La révolution de la liberté, décembre 1944.





jeudi 25 novembre 2021

Migrants

 




 

lundi 22 novembre 2021

Eric Zemmour répond à la racaille centriste de l'UDI

 

Par un tweet intitulé " pour en finir une bonne fois pour toutes avec J.C.Lagarde. Sans arme ni menace", Eric Zemmour a publié ce communiqué de presse. 









dimanche 21 novembre 2021

Une balle dans la tête...








Les centristes de l'UDI: de grands démocrates, fidèles à ces fameuses "valeurs de la république". 








 




jeudi 18 novembre 2021

Comique municipal

 

bulletin municipal, novembre et décembre 2021


Mes chers Compatriotes, au sein de la majorité municipale se cache un comique qui s'ignore ou pas d'ailleurs et qui nous prend pour des truffes. 

Si effectivement, les réunions du conseil municipal devraient être un moment de démocratie durant lequel, les décisions importantes concernant l'avenir de la commune seraient prises, voilà une vingtaine d'années que cela n'est plus le cas à Bihorel, c'est à dire depuis le début du règne de notre freluquet.

Lorsqu'ils ne sont pas tranchés directement dans le clair obscur du bureau du maire, les sujets importants sont discutés en commission où les élus d'opposition peuvent toujours faire valoir leurs idées mais où ceux de la majorité leur répondent systématiquement "on y pensera un jour, peut-être...", notre petit marquis ayant déjà tout verrouillé. D'ailleurs, ce dernier n'a-t-il pas reconnu en plein conseil que "le conseil municipal n'était qu'une chambre d'enregistrement". 

Le reste de la tribune, vraisemblablement rédigée par un des jeunes blancs becs de la majorité actuelle ou leur mentor lui-même, nous la joue "intérêt général" et "démocratie participative". 

Rappelons que c'est cette "majorité" (très relative, 24% des inscrits) qui a imposé ses choix concernant la refonte de la place de l'église, le PLUI, la fermeture de la piscine, l'abandon du patrimoine communal et j'en passe. Je n'ai pas souvenir que les Bihorellais aient eu la parole sur ces sujets. Quant au Comité Théodule Ecologique Bihorellais, il servira tout juste à inaugurer les chrysanthèmes des bacs à fleurs de la place de l'église.

Alors à ce genre de jeune arrogant qui n'a pas d'idée mais seulement des ambitions et des intérêts à l'image de la liste dans laquelle il grenouille, nous  rappellerons que voilà bien longtemps que Bihorel est un territoire perdu de la démocratie et l'intérêt général, une très lointaine préoccupation.


C.Dragasès




   

lundi 15 novembre 2021

Torche cul

 

dessin paru dans Paris Normandie du 15 novembre 2021


Mes chers Compatriotes, nous savons tous que le journal Paris Normandie est un torche-cul qui a pour principale occupation de cirer les pompes des roitelets et autres petits marquis en place dans la région et cela depuis des décennies. Depuis quelques temps , sévit dans les colonnes de P.N, un "caricaturiste" de bas étage qui aurait sa place à France Inter parmi les "humoristes" si l'officine gauchiste n'était pas une radio.

Son dessin paru dans l'édition de ce jour, refoule une forte odeur de fosse septique. Les traits exagérés  et donnés à Eric Zemmour ne sont pas sans rappeler ceux que la presse anti-dreyfusarde donna lors de "l'affaire" aux ressortissants juifs. Par ailleurs, reprenant un argument minable développé déjà par Laurent Ruquier, Eric Zemmour est comparé par le "torchonneur" disciple de Victor Lenepveu à un virus qu'il faudrait isoler de la population. Ce dessin n'est même pas au niveau du ruisseau , il est au fond des tinettes.

Que cela plaise ou non à la gauche, ce dont je me contrefiche, le gros caramel mou de François Hollande et ses séides Valls et Cazeneuve ont mené une politique droit de "l'hommiste" qui eut pour conséquence de créer un appel d'air de migrants dans lesquels se dissimulèrent un certain nombre de djihadistes et cela en pleine et entière connaissance des risques que leur naïve idéologie de l'accueil de "l'autre" faisait prendre aux Français. On connait la suite tragique...

J'attends (mais j'en doute) un dessin caricaturant  Raquel Garrido de La France Soumise à l'Islam qui hier appelait à la réconciliation des Français avec les terroristes (entendez par là, avec les djihadistes). 

Il serait temps de fermer portes et fenêtres qui donnent sur cette partie de la gauche, l'atmosphère devient pestilentielle.


C.Dragasès

 

samedi 13 novembre 2021

Samedi soir (de 13 novembre)





Trop de pleurs ce soir, trop de cœurs dans la tristesse qui cherchent l'âme d'un être aimé, fauché par l'islamisme pour que ce samedi soit un soir ordinaire. 

Soyons en union de pensées et de prières avec les êtres et les vies dévastés à jamais.

C.Dragasès








Ni oubli, ni pardon

 






Il ira loin ce petit !

 




 

jeudi 11 novembre 2021

11 novembre

 




Si nous étions encore des poilus de "14", si nous avions la moelle de nos grands pères, si nous savions encore quel est le prix de la liberté, celle d'écrire, de penser, d'être selon notre héritage, de vivre selon nos traditions, d'aimer, de courtiser, de respecter.

Si nous avions une foi aussi forte en notre Dieu, si nous étions inspirés par notre littérature, si nos maitres transmettaient notre culture, oui si nous avions encore le même taux de testostérone que les poilus de "14", personne n'oserait défier aujourd'hui la France à ses frontières et encore moins à l'intérieur de celles-ci.

"Le 11 novembre", 2 millions de morts et 4 millions de blessés nous regardent et nous disent : ne baissez jamais la garde" écrit Eric Zemmour.

France, il est temps que tes enfants dégagent les élus cloportes et arrêtent de se comporter comme tels. 

C.Dragasès 






dimanche 7 novembre 2021

Mes joies d'automne

 

J'ai passé une partie de l'été à faire société avec Chateaubriand. Que voulez vous mes chers Compatriotes, j'apprécie sa compagnie particulièrement à la relecture des Mémoires d'outre-tombe. Il y a des proximités que seule la littérature rend possibles malgré les siècles. 

Maurice Ravel, lui, est mon compositeur préféré de musique "savante" comme la nomme Renaud Camus. L'automne m'a toujours semblé être la saison qui convenait le mieux à ces deux univers qui se complètent. Bonne fin d'après midi.  C.Dragasès




"Plus la saison était triste, plus elle était en rapport avec moi : le temps des frimas, en rendant les communications moins faciles, isole les habitants des campagnes : on se sent mieux à l'abri des hommes.

Un caractère moral s'attache aux scènes de l'automne : ces feuilles qui tombent comme nos ans, ces fleurs qui se fanent comme nos heures, ces nuages qui fuient comme nos illusions, cette lumières qui s'affaiblit comme notre intelligence, ce soleil qui se refroidit comme nos amours, ces fleuves qui se glacent comme notre vie, ont des rapports secrets avec nos destinées."

 Mes joies d'automne, Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe, livre III, chapitre 12.







jeudi 4 novembre 2021

Tout doit disparaitre !

 

Cette partie de la place va bientôt être détruite


Tout doit disparaitre ! C'est le slogan que l'on affiche sur les vitrines des boutiques avant qu'elles ne baissent définitivement leurs rideaux de fer. Tout doit disparaitre, c'est le sort réservé à cette partie de la place de l'église à Bihorel qui va être remplacée par un nouvel ensemble immobilier, le troisième, en attendant ceux qui seront construits à la place de la maison des médecins et du presbytère. 

Tout doit disparaitre, même l'âme de Bihorel, sa place, ses arbres, ses grands jardins, ses demeures de caractère. Vingt ans d'Houbron auront eu raison d'une commune centenaire, détruite de l'intérieur par son maire et ses restes dissous dans une métropole, le tout dans l'indifférence quasi-générale de ses habitants. 

Oui, tout doit disparaitre, pour faire place au laid, à une architecture médiocre, au copier coller, au pitoyable, à l'insignifiant.



Tout doit disparaitre et en ce qui concerne la piscine, cela semble très clair dans l'esprit de notre petit marquis qui a demandé la création "d'une zone de renouvellement urbain sur la parcelle de la piscine" avec "une hauteur de 17 mètres et emprise au sol à + 60% pour donner plus de droits à construire dans l'éventualité d'un projet immobilier." (voir ci dessus). Fort heureusement, la métropole tempère l'appétit de notre petit marquis et de ses copains promoteurs. Au moins pour l'heure...

Et il n'y a pas que cela. Vous pourrez lire l'intégralité du document intitulé "PLU Bihorel, modification n°2 du PLU métropolitain. Demandes de la commune et synthèse des échanges ", en cliquant 

ICI


Tout doit disparaitre, d'ailleurs mes chers Compatriotes, Bihorel existe-t-il encore autrement qu'administrativement ? Le Bihorel que nous avons aimé ne vit plus que dans nos mémoires. 

La seule certitude, c'est que tant que le petit marquis tiendra le pouvoir, la médiocrité, elle, ne disparaitra pas de nos contrées.


C.Dragasès




 




mardi 2 novembre 2021

 






Commémoration des défunts

 



La mort n’est rien.

Je suis seulement passé dans la pièce d’à côté.

Je suis moi, vous êtes vous.

Ce que nous étions les uns pour les autres,

Nous le sommes toujours.

Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné.

Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait.

N’employez pas un ton différent.

Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.

Souriez, pensez à moi.

Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a

toujours été.

La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié.

Elle est ce qu’elle a toujours été.

Le fil n’est pas coupé.

Pourquoi serais-je hors de votre pensée, simplement

parce que je suis hors de votre vue ?

Je vous attends, je ne suis pas loin,

Juste de l’autre côté du chemin.

Vous voyez, tout est bien.


Saint Augustin