"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

lundi 29 août 2016

Burkini: qui approuve la décision du Conseil d'Etat ?



lu sur Twitter ce commentaire ironique: "l’État Islamique revendique la décision du Conseil d’État concernant le burkini". On en rirait, si ce n'était tragique...Ah, dhimmitude quand tu nous tiens ! 
C'est pour cette raison, mes chers Compatriotes, que je vous invite à lire l'entretien avec Jean-Louis Harouel, professeur émérite d'Histoire du Droit à l'Université Paris Panthéon-Assas, que publie le FIGARO

" Le Conseil d'État s'est abstenu de prendre en compte le fait qu'est actuellement en cours une conquête silencieuse de l'Europe occidentale. Cette conquête est inscrite dans le Coran où l'on peut lire qu'Allah a promis aux musulmans de leur donner en butin la terre des infidèles. Cette conquête est parfois avouée par certains dignitaires musulmans. C'est ainsi que le cheikh Yousouf al Quaradawi, l'un des dirigeants de l'UOIE (Union des organisations islamiques européennes) — dont la branche française est l'UOIF (Union des organisations islamiques françaises) — avait déclaré: «Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques, nous vous dominerons».





samedi 20 août 2016

Nous sommes la France, et on les emmerde

Délicieux texte écrit par un anonyme, adressé à Jean-Paul Brighelli qui l'a publié sur son blog.



De notre envoyée spéciale, ***, à Fourcès (Gers)
Natacha Polony a sorti en octobre 2015 Nous sommes la France (Plon), que l’auteur de Bonnetdane, le diable le patafiole, a cru bon de ne pas chroniquer l’année dernière… Un livre qui met le nez de la Gauche dans ses dénis, et ne nous oblige pas, enfin, à choisir entre Edwy Plenel et Eric Zemmour.
Nous sommes la France exalte cet élément impalpable, donc essentiel, qu’est la francité. Qui tient à une histoire, à une géographie, à un peuple, à une civilisation.
Bon, ça, c’est la théorie.
La pratique, c’était hier soir, à Fourcès.
C’est très joli, Fourcès. Un village construit en circulade autour d’un château dont il ne reste qu’une place ombragée par trente-six platanes, pas un de moins, au centre de la cité. Des délices gastronomiques comme partout en Gascogne. Et du jazz.

Samedi 13 août, c’était « Marciac in Fourcès ». Un codicille au célèbre festival de jazz, devenu au fil des ans une institution dans ce même département.
Le parking était un champ sur lequel flottaient des banderoles annonçant pour dimanche une grande exposition de matériel agricole. Mais en attendant, où étaient donc les tracteurs ?
Nous nous sommes garés, et nous avons conflué vers l’événement.
L’événement, c’était Sylvia Howard et le Black Label Swingtet, qui tournent ensemble depuis déjà quelques années.

Billie Holiday revenue d’entre les morts. Du blues solide et râpeux chanté par une Noire quelque peu métissée, une quasi sexagénaire habillée d’un jean léopard à vous convertir au saphisme. Et les grands standards de Duke Ellington — par exemple une version extraordinaire de Sophisticated lady.
Pendant qu’elle distillait suavement I wanna go somewhere, d’autres faisaient escale à la buvette et s’enfilaient une crêpe, que Bernadette et « maman » — était-ce la sienne ? était-ce une « mère universelle », comme dit quelque part Brassens ? —, aussi pittoresques l’une que l’autre, envoyaient avec des rations de floc de Gascogne à assommer un camionneur, des barquettes de frites généreuses (et exquises, coupées main, frites sur place, pas des horreurs décongelées, mes meilleures frites depuis lurette, qui n’est pas toujours belle), et des sandwiches à la ventrèche grillée tels que Mahomet n’en dégusta jamais. Le terroir ne ment pas.

La SUITE ICI 


vendredi 19 août 2016

Sont-ils chez eux, chez nous ? (1)




Barbus, burqas et maintenant burkinis, tout cela n'est ni plus ni moins que de l'affichage identitaire, communautariste, religieux et politique. L'épisode estival "burkini", n'est qu'un pas de plus dans la lente islamisation de notre pays, vers la soumission et la république islamique française.

Jean Pierre Chevènement est sans doute le dernier homme politique de gauche que j’apprécie et qui soit pour moi encore et toujours crédible. Le seul qui dans son camp porte les valeurs de la France. C'est un souverainiste, voilà qui le distingue de ceux qui ont bradé la France au mondialisme depuis 40 ans.
En le nommant à la tête d'une mission sur " l'islam de France", Hollande a une guerre de retard, comme toujours et c'est d'ailleurs sans doute volontaire. Une guerre de retard non pas sur la personne mais sur le but de la mission.
Aujourd'hui dans le contexte de guerre mondiale entre Occident et islam et de guerre civile sur le territoire national, le problème n'est plus d'organiser l'islam de France mais de dés-islamiser la France.
Récemment, sur un plateau de télévision française, un imam demandait "puisqu'il y a les cloches des églises pourquoi n'aurait-on pas l'appel du muezzin ?".
A gauche, depuis longtemps, on a oublié qu' "il faut dire ce que l'on voit, mais surtout, voir ce que l'on voit", selon la phrase de Péguy. 
Chevènement fera-t-il exception ? Saura-t-il répondre "non" à la question: sont-ils chez eux, chez nous ?
Avec tout le respect que j'ai pour lui, je crains que Chevènement n'ait pas cette lucidité.
CD
  
(1) en référence à la phrase de Mitterrand « ils sont chez eux chez nous ».

lundi 15 août 2016

Assomption 2016



"Sans ses racines chrétiennes, la France n’est plus qu’un auditorium des droits de l’homme et des syndicats."
Richard Millet




 

mardi 9 août 2016

Le saccage de Bihorel



Oh, je sais ce que vous pensez mes chers Compatriotes, en ces temps de massacres de masse dans nos rues et d'assassinat de prêtres dans nos églises par des terroristes arabo-islamistes, quelques immeubles en plus ou en moins à Bihorel, cela n'a vraiment aucune importance.
Je ne suis pas loin de partager votre avis, d'autant que si l'on regarde l'état général de la France, outre le terrorisme et le grand remplacement en cours, on n'y voit que chômage en hausse continuelle, déficit commercial accru et croissance zéro. Alors, comme beaucoup, je me dis qu'il y a bien plus grave...

Certes mais voyez-vous, tout cela ne fait qu'alourdir un climat général détestable. Voilà des semaines que je pense à vous en entretenir, mais à chaque fois un évènement tragique vient couper mon élan. Alors, nous y reviendrons à la rentrée, si le ciel ne nous est pas tombé sur la tête, d'ici là.

Mais sans faire un absolu parallèle, il me semble qu'il y a ceux qui veulent changer nos modes de vie, anéantir notre culture, détruire notre civilisation à coups d'attentats mais aussi ceux qui démolissent notre patrimoine et veulent enlaidir notre cadre de vie à coups de pelleteuses et d'immeubles étrons.

Profitez donc, mes chers Compatriotes, pendant qu'ils sont toujours debout, des cerisiers de cette propriété située place Saint Louis pour qui le temps des cerises ne reviendra plus, de ses hortensias, des poiriers en espaliers, de ses rosiers et de tant d'autres choses qu'offrait au promeneur ce vieux jardin bihorelllais. 
Après la place de l'église et maintenant la place Saint Louis, on peut dire que le saccage du vieux Bihorel a commencé. 
Vous qui avez voté pour Pascal, n'oubliez pas de l'en féliciter.

CD

La future place Saint Louis. Il est pas beau le Bihorel de Pascal ?
 


 

mardi 2 août 2016

" Va-t'en Satan ! " ; tu répètes : " Va-t'en Satan ! ".

cercueil du Père Jacques Hamel - Cathédrale de Rouen, 2 août 2016
 
"le mal est un mystère. Il atteint des sommets d'horreur qui nous font sortir de l'humain. N'est-ce pas ce que tu as voulu dire, Jacques, par tes derniers mots ? 
Tombé à terre à la suite de premiers coups de couteau, tu essaies de repousser ton assaillant avec tes pieds, et tu dis:  

"Va-t'en Satan ! " ; tu répètes : "Va-t'en Satan ! ". "

Homélie de Monseigneur Lebrun, obsèques du Père Jacques Hamel, Rouen 2, août 2016