"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

mardi 24 janvier 2023

l'Effondrement (4) les professeurs



 

Travail de lecture pour une classe de cours préparatoire, rédigé par le professeur des écoles. Les bras m'en tombent. 

Petite précision, il s'agit d'une école primaire de la métropole.   

C.D





samedi 21 janvier 2023

Samedi soir (sur du velours)

 










21 janvier 1793 à 10:22





« Peuple ! Je meurs innocent des crimes que l’on m’impute ! Je pardonne aux auteurs de ma mort ! Je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France ! »


Louis XVI, à la foule, au pied de la guillotine, les tambours couvrant sa voix, 21 janvier 1793 à 10:22

 




vendredi 20 janvier 2023

Valeurs de gauche

 




J'avais oublié que la "Fraternité" et la tolérance étaient des valeurs revendiquées par la gauche.









mercredi 18 janvier 2023

Maintenant, elle sait

 



À 118 ans, Sœur André, doyenne de l'humanité, qui vivait depuis des années dans une résidence de retraite catholique de Toulon, vient de nous quitter.

Il nous restera sa belle Foi et sa joie de vivre, désirant aussi plus que tout rejoindre Dieu.




lundi 16 janvier 2023

L’anti-écologisme des ÉOLIENNES

 





Fabien Bouglé, conseiller municipal de Versailles, est depuis dix ans un lanceur d'alerte écologiste. Il est l'auteur de Éoliennes : la face noire de la transition écologique (Rocher, 2019). Son dernier ouvrage : Nucléaire, les vérités cachées (2021).







samedi 14 janvier 2023

Samedi soir (Fifty years later)

 





C'est peut-être la mort de Jeff Beck, mais ces derniers jours, j'ai eu envie d'aller fouiller dans mes vinyles et j'ai, entre autres, retrouvé ce 33 tours sorti en 1972. 
Et oui, voilà 50 ans déjà que ce disque tournait sur mon "Teppaz", bien avant ma platine Lenco (cellule Shure)  et mon "ampli" Marantz.   

Bon, Alvin Lee tricotait pas mal, lui aussi, avec sa Gibson ES-335. 

Non ?

C.D







Ambulance


80ème Congrès du P.S / Janvier 2023. La salle est déjà retenue.

 

Mes chers Compatriotes, la nature humaine est désespérante. Regardez ces socialistes, les voilà qui se battraient presque comme des chiffonniers pour devenir le gauleiter d'un parti qui réalisa le score de 1,75% aux présidentielles de 2022. J'écris "gauleiter" parce que le  vrai "Conducator" du P.S, ce serait plutôt le postillonneur vociférant de Mélenchon. Sans lui et la NUPES, les socialistes n'auraient peut-être même pas un seul député. J'en ai encore mal aux cotes à force de me gausser.

Je sais, on ne tire pas sur une ambulance mais celle là ne porte pas une croix rouge, mais une Rose rouge sur ses portières et son toit. Une Rose rouge qui pendant quatre décennies fit régner avec morgue et mépris un véritable terrorisme intellectuel, toujours prégnant à l'heure actuelle sur toute la société française et dont la droite peine encore aujourd'hui à s'émanciper. Une Rose rouge qui, pour l'essentiel, est responsable de l'extension du champ de ruines qu'est devenu notre pays en 2023 et sans doute pire encore, notre civilisation. Alors, vae victis et n'hésitons pas à y aller au canon de 75.

Tout fout le camp, mes chers Compatriotes ! La direction du P.S n'est même plus fichue de bourrer les urnes et se gland d'Olivier Faure échoue au premier tour avec 49,15 % des votes. Ce n'est pas à l'époque des Emmanuelli, Mauroy, Hollande, Aubry que l'on aurait vu cela. Et je ne parle même pas de Mitterrand ! Comment faire confiance à un parti pour gouverner la France, alors qu'il n'est même plus capable de fausser un scrutin ?  (je plaisante).

Bref, voilà les sociaux-traitres du tournant de 1983 devant l'alternative suivante. D'un coté, Faure, le sortant et sa ligne islamo gauchiste (1,75% aux présidentielles, je rappelle), liquidateur du P.S et inféodé au vociférateur postillonnant de La France Islamisée. 

De l'autre, Nicolas Meilleures Roubignoles, escrologiste, tendance gauche bobo des métropoles et autres vainqueurs de la mondialisation et surtout (le pire) disciple d'Annie Dingo dont la très mauvaise influence idéologique se fait de plus en plus sentir dans la politique menée à Rouen et ses alentours. 

Ajoutons que N.M.R se conduit en Ayatollah de la "cancel culture" et autre "wokisme" et le tableau sera à peu près complet. Une dernière chose, c'est en recueillant 10889 voix au second tour des municipales de 2022 (29,3% de participation), que notre escrologiste est devenu maire d'une ville de 100.000 habitants et président d'une métropole de 500.000... 

Personne en tout cas au P.S pour soutenir et défendre une ligne inspirée des sociaux démocrates danois qui ont su créer un large rassemblement au Danemark en appliquant une politique anti immigration qui fait passer Eric Zemmour pour un modéré. C'est vers la Scandinavie que les socialistes hexagonaux devraient chercher l'inspiration, s'ils veulent un jour, espérer revenir au pouvoir.

Le plus tard possible, tout de même !


C.Dragasès









jeudi 12 janvier 2023

Mémoires effacées

 

Chapelle Saint Joseph à Lille détruite sous le ministère de Roselyne Bachelot

   Certains jours et cela de plus en plus souvent, je trouve notre époque fatigante parce que médiocre et bête. Tenez, prenez Roselyne Bachelot, cette gallinacée aux allures de meneuse de revue décatie et bien voilà que tout à trac, elle nous annonce qu’il va falloir pour des raisons budgétaires, penser à raser bon nombre d’églises du XIXème siècle, sous prétexte qu’elles ne présenteraient aucun intérêt architectural.

 Il est vrai que comme ministre de la culture, la Roselyne  a toujours su faire preuve d’un goût sûr en matière d’art, comme lorsqu’elle tombait en pamoison devant les « œuvres » de Joana Vasconselos exposées à Versailles, sans oublier que c’est sous son ministère que fut détruite à Lille, la chapelle Saint-Joseph malgré une pétition rassemblant quelques 12.400 signatures. L’expertise de l’ancienne ministre fait donc autorité. mais, à Bihorel, Notons, une fois n’est pas coutume, que notre petit marquis en voulant détruire notre presbytère de 1873, se retrouve non pas dans l’air du temps mais à l'avant-garde de celui-ci.

Tiens, au fait ? Notre église à Bihorel, elle date de quand ?

Je ne peux m’empêcher de voir là également, la marque de la pensée dite « cancel culture » qui mène une guerre sans merci à tout ce qui témoigne des racines chrétiennes de la France (églises, calvaires, statues), afin que l’Autre, c’est-à-dire nos remplaçants, se sentent à l’aise chez nous, devenu un chez eux. N’oublions pas le célèbre « ils sont chez eux chez nous » de feu Mitterrand.

Ainsi près de nous, seront menacées des églises comme Saint Clément, Saint Sever (sans doute l'un des quartiers les plus islamisés de la métropole), Notre Dame de Lourdes, N.D de l'Assomption et d'autres encore, toutes des églises construites au XIXème siècle et qui témoignent de la transformation de villages en villes (Sotteville les Rouen, Petit Quevilly, Rouen rive gauche, vallée du Cailly, de l'Austreberthe etc...) par l'arrivée massive de populations campagnardes venant servir d'esclaves dans les usines textiles et chimiques nouvellement installées. 

Une autre mémoire aussi, que l'on a peu à peu effacée.


C.D


Mort de Jeff Beck

 


          



Ce gars là, savait sacrement bien tricoter avec sa Fender







Peut-on sortir du marché européen de l’électricité ?

 



Jean-Michel Quatrepoint, journaliste et essayiste décrypte avec précision le fonctionnement du marché européen et les modalités d’une réforme ou d’une sortie de ce dernier.


LE FIGARO. - Alors que le prix de l’électricité explose au point de menacer l’avenir de certaines entreprises, nombre d’observateurs pointent le marché européen de l’électricité. Comment ce dernier fonctionne-t-il ?

Jean-Michel QUATREPOINT. - Les anciens patrons d’EDF sont quasiment unanimes pour dire que ce marché européen n’a pas bien fonctionné, ou en tout cas au détriment de la France. Il faut se rappeler pourquoi il y a eu ce marché européen et comment cela s’est fait. Le marché a été fondé sur deux principes plus un objectif politique allemand. Le premier principe est un libéralisme pur et dur, qui était très à la mode à la fin des années 1990. On a décidé que l’électricité était une marchandise comme les autres, et que ses prix devaient donc être régulés par l’offre et la demande. Jusqu’alors, ses prix dépendaient des coûts de production. C’est là où l’on a introduit un mécanisme pervers pour l’électricité qui est un bien qui ne se stocke pas. Ce principe libéral se fonde sur l’idée que l’offre et la demande doivent s’équilibrer en permanence.

Donc aux périodes de pointe, notamment le soir ou le matin de bonne heure, c’est la dernière centrale en activité qui équilibre la demande. Or, il se trouve que cette dernière centrale marche généralement au gaz, et a donc un coût de production plus élevé que les centrales nucléaires. Tant que le prix du gaz restait relativement bas, cela ne posait pas de problèmes. Lorsqu’il s’est mis à grimper, le prix de gros de l’électricité aux périodes de pointe a explosé. Le second principe est celui de la concurrence, qui avait pour but de mettre fin au monopole des sociétés de production d’électricité, spécialement EDF, qui était la société de production la plus puissante en Europe. C’était un véritable modèle. L’idée était d’ouvrir le marché à la concurrence pour le bien du consommateur. Mais comme EDF bénéficiait d’une rente nucléaire, on lui a demandé de mettre à disposition des nouveaux concurrents une partie de sa production nucléaire (25 %) pour ne pas les défavoriser, au prix courant de l’époque, soit 42 euros. Ces 42 euros prenaient en compte le coût de production et de maintenance de l’énergie nucléaire, mais pas le développement des futures centrales. Ce qui a posé des problèmes à EDF, qui se voyait amputé d’une partie de ses ressources pour investir. L’idée était que les nouveaux participants devaient avoir un prix d’achat de l’électricité intéressant, pour qu’ils puissent investir dans de nouvelles capacités de production, notamment dans le renouvelable. Mais ces nouveaux entrants ont proliféré sans investir. Ils se sont, pour la plupart, contentés d’acheter l’électricité à 42 euros à EDF pour la revendre au consommateur avec une bonne marge. Ce qui a contribué à affaiblir EDF.

Quant à l’Allemagne, à cette époque, elle était en train d’abandonner le nucléaire pour deux raisons. La première parce qu’il y avait la pression des Verts, et la seconde parce que Siemens, qui participait au développement du nucléaire avec Framatome, est sorti de Framatome à ce moment-là, et n’avait plus d’intérêts industriels dans le développement du nucléaire. C’est pourquoi, entre 2008 et 2011, les Allemands vont faire pression sur Bruxelles pour affaiblir EDF et faire en sorte que l’économie française bénéficie de moins en moins de l’avantage compétitif que représentait une électricité nucléaire à bon marché.

LE FIGARO. - Le gouvernement soutient qu’il serait aujourd’hui très difficile de sortir de ce marché européen. Est-ce le cas ?

Jean-Michel QUATREPOINT. On entend deux principaux arguments en faveur du marché européen de l’électricité. Le premier est de dire que nous avons besoin de cette interconnexion, notamment le soir aux heures de pointe, car elle nous permet d’approvisionner le marché français par la production des centrales à gaz allemandes. Il est vrai que l’on importe aujourd’hui de l’électricité d’Allemagne, à un prix très élevé. Et cela s’est aggravé avec la non-disponibilité de 22 réacteurs nucléaires du fait de la maintenance retardée par la crise sanitaire et des problèmes de corrosion sur des circuits de secours sur un certain nombre de réacteurs. On se dit alors qu’il est heureux d’avoir cette interconnexion, sans laquelle nous ne pourrions pas avoir suffisamment d’électricité aux heures de pointe.

Mais il est vrai aussi que l’interconnexion existait avant le marché européen, et elle existe aujourd’hui avec des pays comme la Suisse et l’Angleterre, qui ne font pourtant pas partie de l’Union européenne. Si l’on sortait du marché européen de l’énergie, rien n’empêcherait d’avoir des contrats avec nos voisins, notamment l’Allemagne, pour s’approvisionner en électricité à un certain prix. Cela n’empêcherait donc pas un approvisionnement depuis l’étranger. En outre, nous importons à la pointe, mais nous exportons durant le reste de la journée, notamment vers l’Allemagne, car nos centrales nucléaires produisent en continu. Et lorsque le vent et le soleil ne sont pas au rendez-vous, notre voisin est bien content d’avoir notre électricité nucléaire à bon marché qui lui permet de mettre au repos ses centrales au gaz… qu’elle ouvre le soir pour nous vendre ses mégawatts (MW) d’origine gazière au prix fort. Nous nous tenons donc par la barbichette…

 LE FIGARO. - Certes, mais nous avons signé des traités…

 Jean-Michel QUATREPOINT. Sortir unilatéralement du marché européen de l’énergie poserait effectivement un problème juridique et politique. Reste que Bruno Le Maire s’est montré, depuis plus d’un an, très critique de ce marché européen de l’énergie, expliquant qu’il n’était pas adapté aux énergies renouvelables et au nucléaire français, qui a un coût de production très faible. Le coût de production du nucléaire est d’environ 45 euros, et celui de la production hydraulique aux alentours de 20 euros. Globalement, le coût moyen de production de l’électricité en France tourne autour de 65 euros le MW. C’est bien en dessous des 500 euros que vont devoir payer cette année des PME et des artisans. Leurs nouveaux contrats sont totalement déconnectés des coûts réels de production. Aujourd’hui, Bruno Le Maire nous dit que sortir du marché européen serait une folie. Comment engager un bras de fer, une négociation avec Bruxelles et Berlin, s’il commence par dire que de toute façon nous resterons dans ce marché ? C’est comme si le président de la République, en cas de montée des tensions, disait que l’utilisation de notre force de frappe serait une folie. En excluant par principe une sortie on ne se met pas en position de force pour négocier une réforme de fond en comble de ce marché.


LE FIGARO. -  Est-il est possible de réformer le marché européen sans pour autant en sortir ?

Jean-Michel QUATREPOINT.  C’est ce que voudrait faire le gouvernement. Le président de la République souhaitait que le problème soit réglé fin novembre, mais les Allemands font traîner les choses en longueur, car ce n’est pas dans leur intérêt. Soyons clairs, les Allemands ne sont pas de gentils partenaires, mais de véritables concurrents qui défendent leurs intérêts. Et leur intérêt c’est que la France n’ait pas accès à une énergie bon marché. Il faudrait une réforme du marché pour que l’on prenne beaucoup plus en compte les vrais coûts de production, et les nôtres sont bien inférieurs à ceux de l’Allemagne quand elle fait tourner ses centrales à gaz, ses éoliennes, et son énergie solaire. Aujourd’hui notre production est décarbonée à 95 %, nous sommes les meilleurs élèves de l’Europe grâce au nucléaire qui représente 65 % de notre production.


Le Figaro, le 12 janvier 2023




lundi 9 janvier 2023

 

En ce lundi triste et pluvieux de janvier, un peu de lumière du sud, de mer méditerranée et de vins du Roussillon pour tenter d'oublier la morosité ambiante.   


samedi 7 janvier 2023

Samedi soir (d'une fichue semaine)

 




Obsèques du dernier Pape catholique au sens grec, romain du terme, Houellebecq qui modifie son texte, une fichue semaine en quelque sorte.









Huit ans

 



Ne jamais oublier, ni pardonner les attentats islamistes contre Charlie Hebdo, l'Hypercasher et le meurtre d'une policière municipale les 7, 8 et 9 janvier 2015





vendredi 6 janvier 2023

Soumission

 




Qu’est-il arrivé à Michel Houellebecq pour qu'il amende ainsi son texte ? J’ai peur d’appréhender trop clairement la réponse. Certes le recteur de la grande mosquée de Paris a dû le recevoir de manière fort courtoise, mais on connait les deux faces de ce genre de personnage : loukoum par devant, ciguë par derrière.

La menace n’a pas dû être exprimée dans le luxe et le confort ouaté du bureau du recteur, non, mais sans doute de manière plus insidieuse, par quelques sbires qui ont envoyé une lettre anonyme par ci, un sms par là.

Qui mieux que l’auteur de « soumission » connait le procédé captieux de ces gens là ? L’intellectuel a donc cédé. N’a-t-il pas écrit dans « Rester vivant – méthode » cette phrase : « un poète mort n’écrit plus. D’où l’importance de rester vivant. ».

La peur l’a donc emporté, quoi de plus humain ? Michel Houellebecq a voulu se préserver d’une destinée à la Robert Redeker ou pire à la Samuel Paty.  L’université, les médias, la rue, les banlieues, la sphère politique, l’école, l’esprit des Français sont peu à peu anesthésiés et colonisés par cette pensée obscurantiste qu’est l’islam. Le tour maintenant au camp des derniers résistants ?

Reste Onfray, Finkie, Redeker, Zemmour, Rioufol, Elisabeth Badinter, quelques autres et les femmes iraniennes. Un Michel Onfray justement qui dans sa lettre ouverte au fameux recteur écrit « c’est le travail de l’intellectuel d’écrire en risquant de heurter ».

C’est la liberté d’expression et l’esprit français que l’on assassine une nouvelle fois à quelques jours du huitième anniversaire des attentats de « Charlie ». Mais cette fois combien de « Charlie » réagiront pour dénoncer l’inacceptable, pour refuser qu’en France, un responsable religieux puisse faire taire un intellectuel français ? L’accoutumance et la résignation sont mères de lâcheté.

J’ai souvent écrit qu’il était minuit moins cinq. Après la soumission de Michel Houellebecq, je crois pouvoir affirmer qu’il est minuit cinq.

 

C.D


ps: je n'en garde pas moins mon admiration pour l'écrivain. Toujours différencier l'homme de son œuvre.





mardi 3 janvier 2023

 





Que diront tant de Ducs et tant d'hommes guerriers


Qui sont morts d'une plaie au combat les premiers,


Et pour la France ont souffert tant de labeurs extrêmes,


La voyant aujourd'hui détruire par soi-même ?


Ils se repentiront d'avoir tant travaillé,


Assailli, défendu, guerroyé, bataillé,


Pour un peuple mutin divisé de courage


Qui perd en se jouant un si bel héritage.


Pierre de Ronsard, Discours des misères de ce temps, extraits (1562)






lundi 2 janvier 2023

 





Je pense grosso modo la même chose mais il le dit tellement mieux que moi...






dimanche 1 janvier 2023

2023

 



Allons, mes chers Compatriotes, restons optimistes. 

" La France va mieux. Pas mieux que l'année dernière. 


Mais mieux que l'année prochaine". (1)




Bonne Année à tous ! 



(1) Coluche