"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

mercredi 30 décembre 2009

VAPEURS

Arracheur de dents (oeuvre contemporaine)
« Dans quelle langue faut-il l’écrire ? », nous demande un Pascal Houbron que la critique visiblement échauffe et qui a des vapeurs. Question inutile, mon cher, avec vous, on sait qu’à l’écrit comme à l’oral vous pratiquez la langue des arracheurs de dents: celle du mensonge.
Si l’on souhaite un énième exemple, il suffit de poursuivre la lecture de l’édito du Bihorel Mag n°78. « La municipalité actuelle ne construira pas sur l’hippodrome; ne construira pas dans le square Tamarelle, ne construira rien sur l’espace des pommiers, ne construira rien sur la place de l’église… ». Le freluquet nous prendrait-il pour des benêts ? Bien sûr que ce ne sera pas la municipalité qui construira (elle n’a pas le premier centime pour le faire et cela grâce à la bonne gestion de Pascal Houbron) mais les promoteurs, eux, construiront en appliquant le PLU!
Encore un exemple ? « Vous qui êtes propriétaire, êtes vous si prompt, nous demande le bon Pascal, à quitter la commune et à laisser faire n’importe quoi sur votre parcelle ? » Si c’est à moi que l’on pose la question, je répondrai « non bien sûr » mais si la mairie préempte ma propriété lors de la vente, alors là on peut lui faire confiance pour laisser faire n’importe quoi sur mon ex-parcelle par un promoteur qui respectera le PLU.
La suite de l’édito se délaye un peu et le maire nous ressort ses antiennes essoufflées: « développement urbain de qualité et maîtrisé, protéger le cadre de vie, les paysages, les bâtiments emblématiques, blablabla…..jusqu’à « accompagner la vitalité économique de la ville ». Tiens, ça c’est intéressant ! Au moment où le maire fait courir le bruit qu’il préemptera les terrains des entreprises Delaunay et Karine, supprimer ou déplacer des emplois vers d’autres territoires que ceux de la commune, c’est sans doute cela accompagner la vitalité économique de Bihorel selon Pascal Houbron ! Situées en zone UB, ces deux belles et grasses parcelles feront de juteuses poires et de gros bénéfices pour les promoteurs grâce au PLU.
Et l’emploi à Bihorel? Allez donc vous faire embaucher ailleurs, ici on fait de l’immobilier!

Un plus un plus un, égale ? Trois mensonges.

Il est savoureux de lire la majorité municipale nous expliquer dans son billet que combattre le maire « avec tant de hargne, voire de haine », c’est ne plus respecter les règles de la démocratie. Au maire de nous montrer l’exemple en ne s’asseyant plus sur la démocratie à tout bout de champ et en arrêtant de s’essuyer les fesses avec l’expression des bihorellais (enquête publique) en déballant des projets de construction sur un terrain inconstructible alors que l’enquête publique est en cours.
Si « des procédés qui rappellent l’ultra gauche » avaient cours à Bihorel (allusion sans doute aux citations de Gandhi par les socialistes), Mesdames et Messieurs de la majorité municipale, vous seriez les premiers avertis car vous seriez déjà en camp de rééducation dans les rizières. Vous trouvez le climat insurrectionnel malsain ? Exact : le goudron et les plumes seront pour vous.

In fine, l’édito de Pascal Houbron dans le Bihorel Mag de Décembre est une illustration du paradoxe d’Eubulide (IV ème siècle avant J.C), que l’on peut résumer ainsi : « un homme déclare, « je mens ». Si c’est vrai, c’est faux, si c’est faux, c’est vrai ».
Mes Chers Compatriotes, je vous adresse mes meilleurs voeux pour 2010!
Constantin Dragasès

SILEX

Silex (œuvre contemporaine)
La fin de l’année est toujours l’occasion de distributions de friandises. L’association « Bihorel avec vous » n’a pas manqué à la tradition en déposant dans nos boites aux lettres un paquet de guimauve. Entre jeu de mots trouvé dans le rebut de l’almanach Vermot (pas de dialogue avec dialoge), abandon de poste façon Jospin (maîtresse Arson qui rend ses aiguilles et son tricot en plein mandat au comité de quartier), un édito à fleuret moucheté et autres billets qui posent des constats mais ne lèvent pas un seul moyen d’action, la lecture du Silex n°6 nous laisse en fin de bouche le goût sirupeux du démocratiquement correct.
Mais rien d’étonnant au fond à cela. Après tout les socialistes ne sont pas mécontents de voir le maire faire le sale boulot qu’ils auraient eux mêmes accompli s’ils avaient été élus. Et puis le mécontentement généré sera toujours bon à capitaliser l’instant venu et cela leur permettra d’invoquer s’ils arrivaient aux affaires « l’héritage ».
Mes chers compatriotes, lisons entre les lignes. Si l’on y prête suffisamment attention, ce que les socialistes reprochent au maire c’est de confondre « urbanisme et immobilier» (édito de Fred Duval). Ce qui les différencie ce n’est pas la préservation de l’existant ou du cadre de vie à Bihorel, pas plus qu’une différence sur le cos, la hauteur à l’acrotère ou le minimum parcellaire. Non, ce qui les différencie c’est la finalité des constructions à venir. Ils sont d’accord avec le maire pour « renouveler » Bihorel et ne s’opposent à lui que sur l’objet de ce qui sera bâti.
Si l’on fait simple, il y a deux écoles :
-La première, celle du freluquet, qui consiste à faire cadeau à des promoteurs, d’un règlement (le PLU) leur permettant de réaliser des opérations immobilières qui leur remplira les poches, ceci au détriment du cadre de vie des bihorellais. Après quoi, les promoteurs redevables s’acquitteront de leurs dettes en sponsorisant les futures campagnes électorales du freluquet à la députation ou autres fonctions républicaines sensées servir l’intérêt général (joke).
- La deuxième, celle des socialistes, qui consisterait à construire du logement social ou des équipements collectifs, par le biais d’un PLU qui permettrait la réalisation de ces constructions, ceci sur le dos du cadre de vie des bihorellais, constructions financées par de l’endettement de la commune et/ou de la hausse des impôts locaux et qui, in fine, remplirait les poches de promoteurs privés, futurs sponsors de campagnes électorales socialistes.

Pour Pascal Houbron et Benoit Pétél, le bihorellais est un égoïste encroûté dans son immobilisme.
Ne nous y trompons pas, les socialistes bihorellais au pouvoir sauraient tout comme Pascal Houbron ce qui est bon pour nous sans prendre soin de nous poser la question et ils passeraient leur projet de mixité sociale et culturelle tout autant en force que s’apprête à le faire Houbron, drapés dans les habits de la légitimité du suffrage universel et d’une concertation bidon.
Alors pour donner le change, nous assistons à un nouvel épisode de « je te sers la soupe, tu me repasses les plats » dont les plus belles illustrations sont ces articles/commandes de presse (paris normandie/bulletin de Rouen) où l’opposition officielle s’oppose et où la majorité se raidit.
Bref, nous sommes en plein Vaudeville: Fred claque les portes et à tour de rôle c’est Pascal ou Benoît qui est dans le placard. Mais le cocu, c’est toujours le bihorellais!

C’est à la lecture du Bihorel Mag de Décembre que l’on mesure le mieux tout le déterminisme qui muscle l’action des socialistes à Bihorel surtout lorsqu’ils en appellent à Gandhi dans leur billet pour dénoncer les projets du freluquet.
La feuille de route des socialistes bihorellais pour 2010 s’inspirera de « l’ahimsa » du Mahatma Gandhi: protestation contre le PLU par jet de chamallows sur les pelleteuses et manifestation avec des fleurs dans les cheveux face aux promoteurs tout en éparpillant des pétales de roses sur le parvis de la mairie avec le Président Duval au sitar indien.
La majorité municipale a raison : le climat insurrectionnel qui règne dans la commune est malsain!

Constantin Dragasès

jeudi 24 décembre 2009

Et Verbum caro factum es.

Mes Chers Compatriotes, Je vous souhaite une sainte et belle fête de Noël !
Constantin Dragasès


dimanche 20 décembre 2009

La patrie trahie par la République

Texte paru dans le Figaro du 17 juin 2004
Débats & Opinions
«Qu'est-ce qu'être français aujourd'hui ?» Une série du «Figaro»
La patrie trahie par la République
PAR JEAN RASPAIL*

J'ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d'un colis piégé. Difficile de l'aborder de front sans qu'il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C'est pourtant l'interrogation capitale. J'ai hésité. D'autant plus qu'en 1973, en publiant Le Camp des saints, j'ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n'ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites.
Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu'«ils sont chez eux chez moi» (Mitterrand), au sein d'une «Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes» (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu'au basculement définitif des années 2050 qui verra les «Français de souche» se compter seulement la moitié - la plus âgée - de la population du pays, le reste étant composé d'Africains, Maghrébins ou Noirs et d'Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l'islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer(1).
La France n'est pas seule concernée. Toute l'Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas - rapport de l'ONU (qui s'en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment -, mais ils sont systématiquement occultés et l'Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l'Europe des Quinze est l'un des phénomènes les plus sidérants de notre époque. Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l'incurie des «gouvernances» et qu'il lui faudra affronter dans son âge d'homme...
Sans compter que les «Français de souche», matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l'homme, de «l'accueil à l'autre», du «partage» cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites «antiracistes», conditionnés dès la petite enfance au «métissage» culturel et comportemental, aux impératifs de la «France plurielle» et à toutes les dérives de l'antique charité chrétienne, n'auront plus d'autre ressource que de baisser les frais et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule «citoyen» du Français de 2050. Ne désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu'on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français - et pas nécessairement tous de race blanche - qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s'obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu'elles nous ont été transmises de génération en génération. Cela ne leur sera pas facile.
Face aux différentes «communautés» qu'on voit se former dès aujourd'hui sur les ruines de l'intégration (ou plutôt sur son inversion progressive: c'est nous qu'on intègre à «l'autre», à présent, et plus le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s'agira en quelque sorte - je cherche un terme approprié - d'une communauté de la pérennité française. Celle-ci s'appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore.
Cela ne plaira pas. Le clash surviendra un moment ou l'autre. Quelque chose comme l'élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés. Et ensuite?
Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l'ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d'une espèce à jamais disparue qui s'appelait l'espèce française et n'annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom. Ce processus est déjà amorcé.
Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu'en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c'est que les derniers isolats résistent jusqu'à s'engager dans une sorte de reconquista sans doute différente de l'espagnole mais s'inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Ce n'est pas moi qui m'en chargerai, j'ai déjà donné. Son auteur n'est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j'en suis sûr...
Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c'est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d'hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n'ose dire cyniquement, à l'immolation d'une certaine France (évitons le qualificatif d'éternelle qui révulse les belles consciences) sur l'autel de l'humanisme utopique exacerbé. Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l'Etat (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces «intelligents» qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l'organisme encore sain de la nation française.
Même si je peux, à la limite, les créditer d'une part de sincérité, il m'arrive d'avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot renégat, mais il y a une autre explication: ils confondent la France avec la République. Les «valeurs républicaines» se déclinent à l'infini, on le sait jusqu'à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d'abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n'est qu'une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d'idéologie, idéologie avec un grand «I», l'idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu'ils trahissent la première pour la seconde.
Parmi le flot de références que j'accumule en épais dossiers à l'appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l'étendue des dégâts. Elle est extraite d'un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003: «Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d'une jeune Française issue de l'immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République...»
Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure: «Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d'êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie.» (Président Boumediene, mars 1974.)
Et celle-là, tirée du XXe chant de l'Apocalypse: «Le temps des mille ans s'achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée.»

*Ecrivain, romancier.
(1)Le délicat iman de Vénissieux, en vertu du jus soli, a engendré à lui seul seize petits citoyens français

Cathédrale et Mémoire

J’habite une ville dans laquelle s’élève une très belle cathédrale. Peut-être la plus belle de France. J’aime passer devant. Parfois, lorsque j’ai le temps, j’y entre. L’intérieur aussi est magnifique. Grand, froid, sombre, silencieux et majestueux. La sensation y est unique. A condition de savoir être à l’écoute, on peut y sentir le poids des siècles. Fouler le sol des ancêtres, apercevoir leurs ombres, entendre les murmures de leurs fantômes, se dire que le sang qui coule dans nos veines coulait dans les leurs ici même il y a mille ans… prendre conscience que nous sommes une étape de quelque chose de bien plus vaste, de bien plus fort,de bien plus lointain, de bien plus précieux. Alors, un sentiment étrange entre l’humilité, la plénitude et l’amour s’empare du corps et de l’âme. Une fois propulsé en haut, le panorama est imprenable.Un morceau d’éternité, un voyage immobile, une contemplation profonde et intense, un instant infini qu’aucun livre d’histoire ne saurait retranscrire. Une vague qui rassure et qui fait palpiter le cœur. Comme une évidence, elle surgit même dans des endroits qui n’ont a priori aucun lien avec notre mémoire individuelle, avec lesquels nous n’avons pas d’attaches personnelles. Des endroits dans lesquels nous n’avons pas grandi, que nous n’avons pas connus ici-bas. Nous n’y avons jamais mis les pieds et pourtant… et pourtant dès les premiers pas ils nous semblent aussi familiers que la poitrine d’une mère.

samedi 19 décembre 2009

Brèves de Conseil

Panneau agité sous le nez agacé du freluquet et de sa cour, de façon ostensensible si ce n'est ostentatoire durant le conseil municipal par une habitante de la zone UB.


Le lecteur ne trouvera pas ici un compte rendu exhaustif du conseil municipal du 14/12. Le site de la mairie s’en charge et à vrai dire je ne me sens pas l’âme d’un secrétaire.

Rue Saint Denis : un exemple de démocratie locale.
Le freluquet, pour ceux qui ne le sauraient pas encore, s’est confectionné son petit nid douillet rue Saint Denis (1). Cette rue est depuis plusieurs mois en « voie sans issue », ceci dans les deux sens et dans le but d’y empêcher toute circulation automobile. La république a ses privilégiés et le petit marquis ne se sent pas concerné par la nuit du 4 août 1789. Apostrophé à ce sujet par Benoît la Fronde, le petit Pascal, si cher au cœur des grands-mères bihorellaises, mit en avant deux arguments imparables :
- La rue Saint Denis est une voie très empruntée par les lycéens (?) qui se rendent au lycée Flaubert (une sorte de boulevard Saint Michel bihorellais). Le souci c’est que cette rue n’a pas de trottoir (un comble pour une rue Saint Denis !) d’où la dangerosité pour ce flot continu de jeunes qui passent et repassent chaque jour dans cette rue et l’interdiction faite aux voitures.
Bon, Pascal, si on te donne cent balles et un Mars, tu nous en racontes une autre comme celle la?
- Deuxième argument, cette interdiction n’est pas le fait du Prince, mais le fruit de la concertation et même du souhait tout court des habitants de la rue. Fichtre !
Mes chers compatriotes, nous demandons par conséquent à ce que soit organisées une concertation et une votation sur le PLU avec les habitants de la zone UB, zone vendue aux promoteurs, étant sûrs que la voix des habitants de cette zone sera entendue comme le fut celle des riverains de la rue Saint Denis.
S’il n’en était pas ainsi, nous en déduirions que, tout comme Daniel Cohn Bendit, Pascal Houbron est pour la démocratie quand ça l’arrange et que cela sert ses intérêts.
Parcours résidentiel, dernière étape :
Lorsque l’on veut qu’un dossier soit correctement traité, rien de tel que de le confier à un futur intéressé. Aussi, ce fut Christian Yvonnet qui nous présenta les nouveaux tarifs du cimetière de Bihorel. Ils ont semblé prohibitifs à beaucoup (plus de 700 euros pour une case au columbarium) mais le conseiller Yvonnet argua du fait que la commune avait dû consentir à de gros investissements pour la construction de celui ci. En suivant cette logique, 2 millions d’euros pour des vestiaires de foot, cela va nous mettre à combien le billet pour aller voir jouer le GCOB en division d’honneur?
Maurice: une autre! Une autre!
Un conseil municipal ne serait pas tout à fait un vrai conseil sans la remarque pertinente de Maurice. Je ne parle pas des poncifs qu’il nous servit quant à la bonne gestion de la « masse salariale » et que l’on entend débité au kilomètre, depuis que Laurent Fabius fut nommé premier ministre, par tous les chroniqueurs économiques matutinaux et autres tailleurs de flûte au patronat. Non, je fais référence au moment où nos édiles discutaient de l’opportunité ou non de revoir à la baisse les tarifs du cimetière. Le tribun Buisson objecta alors que si l’on revoyait l’année prochaine les tarifs à la baisse, ceux qui auront acheté cette année leurs places se sentiront lésés (ndlr: avec un grand B). Il ne lui est pas venu à l’idée que si on les baissait cette année, ceux qui avaient acheté l’an passé, se sentiraient lésés (ndlr, toujours avec un grand B)? A développer ainsi de suite, aussi bien au passé qu’au futur. Alors à quand la baisse ? Belge de souche, Maurice ?

Bien, il est 22 heures, le Maire déclare le conseil clos et la buvette ouverte. La majorité municipale s’empresse de se décoller la menteuse en allant s’en jeter quelques uns derrière le col.
Quant aux autres, ils sortent à l’extérieur dans le froid, refaire le match. Dures conditions que celles de l’opposant.
Constantin Dragasès
(1) zone UA, donc protégée dans le PLU, étonnant non ?

mardi 15 décembre 2009

Charles de Foucauld: français et chrétien.


"Ma pensée est que si, petit à petit, doucement, les musulmans de notre empire colonial du nord de l'Afrique ne se convertissent pas, il se produira un mouvement nationaliste analogue à celui de la Turquie : une élite intellectuelle se formera dans les grandes villes, instruite à la française, sans avoir l'esprit ni le coeur français, élite qui aura perdu toute foi islamique, mais qui en gardera l'étiquette pour pouvoir par elle influencer les masses ; d'autre part, la masse des nomades et des campagnards restera ignorante, éloignée de nous, fermement mahométane, portée à la haine et au mépris des Français par sa religion, par ses marabouts, par les contacts qu'elle a avec les Français (représentants de l'autorité, colons, commerçants), contacts qui trop souvent ne sont pas propres à nous faire aimer d'elle. Le sentiment national ou barbaresque s'exaltera dans l'élite instruite : quand elle en trouvera l'occasion, par exemple lors de difficultés de la France au dedans ou au dehors, elle se servira de l'islam comme d'un levier pour soulever la masse ignorante, et cherchera à créer un empire africain musulman indépendant.
L'empire Nord Ouest Africain de la France, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique occidentale française, etc. a 30 millions d'habitants ; il en aura, grâce à la paix, le double dans cinquante ans. Il sera alors en plein progrès matériel, riche, sillonné de chemins de fer, peuplé d'habitants rompus au maniement de nos armes, dont l'élite aura reçu l'instruction dans nos écoles. Si nous n'avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu'ils deviennent Français est qu'ils deviennent chrétiens.
Il ne s'agit pas de les convertir en un jour ni par force mais tendrement, discrètement, par persuasion, bon exemple, bonne éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et affectueuse, oeuvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime.


Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui.

D'une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s'y opposent ; avec certains il y a des accommodements ; avec l'un, celui du Medhi, il n'y en a pas : tout musulman, (je ne parle pas des libres-penseurs qui ont perdu la foi), croit qu'à l'approche du jugement dernier le Medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l'islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l' engage à subir avec calme son épreuve ; "l'oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s'il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération", disent-ils ; ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu'aux Allemands, parce qu'ils savent les premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger ; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d'honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècles mais, d'une façon générale, sauf exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Medhi, en lequel ils soumettront la France.
De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à demander la nationalité française : comment demander à faire partie d'un peuple étranger qu'on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le peuple auquel on appartient soi-même ? Ce changement de nationalité implique vraiment une sorte d'apostasie, un renoncement à la foi du Medhi..."


Lettre du père Charles de Foucauld à René Bazin de l'Académie Française, le 29 juillet 1916.

vendredi 11 décembre 2009

BIHOR' EL DORADO des PROMOTEURS

Réalisation VIANOVA à Saint Etienne (42)
Mes Chers Compatriotes,
Voici donc à quoi ressemblera Bihorel d’ici la fin de l’année prochaine ou la fin de l’année suivante. C’est ce genre de construction qui au cours des prochains mois deviendra petit à petit notre horizon. C’est beau comme de l’Auguste Perret. Si l’on retire les trois ou quatre géraniums des balcons, on obtient une grosse déjection en béton. Sur la place de l’église ce sera sans doute même pire. L’immeuble ci-dessus (réalisation VIANOVA, promoteur choisi pour les Campanules) ne compte que 54 logements (1). Alors 200, 300 voire 400 logements, imaginez donc ! Il vous suffit de multiplier par 4 à 8 fois cette merveille et vous aurez une idée assez précise de ce que sera sous peu, ce que l’on appellera encore pour un temps «Bihorel Village» ou le «vieux Bihorel». Le temps que le reste de la commune suive.
Dès qu’une parcelle se libérera en zone UB, un promoteur viendra déposer comme un chien mal éduqué ce genre de construction et sur la pelouse du chapitre vous n’y échapperez pas non plus. Le Freluquet a sans doute déjà tout négocié, tout arrangé avec les promoteurs. Les pelleteuses et les bétonnières sont planifiées pour 2010. Enquête publique et conseil municipal ? Rien à cirer le freluquet.
Politiciens et promoteurs forment parfois de curieux couples qui savent se renvoyer l’ascenseur (2). Peut être vous demandez vous, comment ces promoteurs ont été choisis? Moi aussi voyez vous. L’ont-ils été après une saine et franche mise en concurrence ? Cela se saurait. Ou bien l’ont-ils été dans le secret du bureau du maire? Mais posez donc la question à Pascal lorsque vous le croiserez dans Bihorel ou si vous êtes un(e) élu(e) lors du conseil municipal du lundi 13 décembre. A moins qu’il vienne jouer ici la transparence et nous donner la réponse.
Le lobbying a fait son entrée très récemment à l’assemblée nationale. Il semblerait qu’à la mairie de Bihorel, le bureau du maire soit ouvert au lobby des promoteurs depuis belle lurette. Il suffit pour s’en convaincre de lire le PLU et de regarder les projets de constructions à Bihorel qui, un par un, sortent au grand jour.

Manu ad ferrum
C.D
(1) voir site, http://www.vianova.fr/references.html
(2) en Espagne, plus de 700 élus sont inculpés dans des affaires immobilières.

samedi 5 décembre 2009

mardi 1 décembre 2009

A l'Heure du Casanis

Voici quelques jours sur les bords de la grande bleue, je discutais devant un Casanis, de politique et d’immobilier avec mon vieil ami corse, Ghjilormu, un Aleriacci d’origine.
- « Fils (il a dix sept ans de plus que moi), chez nous, il y a longtemps qu’on ne nous ennuie plus » m’a-t-il confié du ton grave qui n’appartient qu’aux hommes de l’île de Beauté.
- «Oui, et je sais que tu parles en expert!» ai-je répondu.
- «Vois tu, a t-il poursuivi, ici les politiciens qui restent sourds à nos recommandations, on les invite à faire une petite promenade. En général, l'air sain et vivifiant du maquis suffit à ramener à la raison ceux qu’ils l’ont perdue ».
Puis scrutant l’horizon comme s’il était à la recherche du rayon vert, Ghjilormu conclut:
- «Fils, les voyous ne comprennent que les méthodes de voyous».
C.D

lundi 30 novembre 2009

Dimanche 29 Novembre 2009

«les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les coupoles nos casques et les fidèles nos soldats». Recep Tayyip Erdogan, Premier Ministre de la Turquie

samedi 28 novembre 2009

Bras d'Honneur à la Démocratie


Mes Chers Compatriotes,

Vous en souvient-il? Le 5 mai dernier ici même, je faisais allusion dans mon premier billet à « ces petits marquis bien repus, très satisfaits d’eux-mêmes, ravis de profiter des avantages du pouvoir, sans toucher au système, à ses privilèges et qui, si on les laisse faire, continueront à nous pourrir la vie». Pascal Houbron est de ceux là.

Le 23 novembre, je paraphrasais Audiard « Un Houbron ça ose tout, c’est même à cela qu’on le reconnaît ». Cette semaine l’affaire des Campanules nous en apporte une preuve supplémentaire.
Provocation sans nul doute, le freluquet fait une nouvelle fois un bras d’honneur à la démocratie et s’assoit sur la loi.

Tout cela ne rend que plus pertinent le texte que j’ai rédigé et consigné sur le registre de l’enquête publique (voir ci-dessous).


"PLU : un Requiem pour Bihorel

Cent vingt pages de PLU, c’est beaucoup pour un camouflage mais finalement pas encore suffisant pour masquer le cœur de ce projet : un chèque en blanc donné par Pascal Houbron aux promoteurs/spéculateurs pour densifier l’habitat et la population de Bihorel.

Le PLU proposé par Pascal Houbron est un mauvais projet pour notre commune, voici pourquoi :
- Comme l’est tout projet qui sorti, de l’esprit de technocrates baptisés en la circonstance « cabinet d’études », ignore les besoins, l’avis et les désirs des citoyens de la commune.
- Parce que la démocratie, cela doit fonctionner de bas en haut et non pas à l’inverse, c’est aux citoyens de Bihorel de définir dans quel cadre de vie ils souhaitent vivre à l’avenir et quel développement ils veulent donner à leur commune. C’est à eux d’établir un cahier des charges et un canevas de réflexions qui seront confiés par la suite à des « experts » chargés, alors, de les traduire en projet. Ce n’est pas à un seul individu, fut-il maire de la commune et à son cabinet d’études de donner un «pré mâché» aux citoyens comme base de discussion (encore eût-il fallu, qu’il y eut, par la suite, un réel débat).
- Nous servant un projet « pré mâché», Pascal Houbron et son cabinet d’études délimitaient d’entrée, l’espace de réflexion et surtout celui des propositions, fermant la porte à l’imagination des citoyens et au domaine des possibles.
- Cependant, le cabinet Hubert eut un cahier des charges, celui de son donneur d’ordre : Pascal Houbron. Car même si cette étude de projet de PLU est financée par le budget de la commune, seul Pascal Houbron indiqua les buts de la modification du POS de 2001 et en fixa la finalité : densification de la population et ouverture des portes aux promoteurs/spéculateurs de tout poil. Le cabinet d’études n’avait plus qu’à s’exécuter et à traduire noir sur blanc la vision de Pascal Houbron et à servir ses intérêts.
- Ce PLU n’est qu’un lâché de « permis de densifier » donnés aux promoteurs vénaux, PLU qui ne tient aucun compte, malgré l’alibi affiché, de la situation démographique de Bihorel et des besoins des populations situées aux extrémités de la pyramide des âges de notre commune. Les personnes âgées ne pourront demain acquérir pour des raisons financières les appartements que les spéculateurs construiront sur les friches de leurs maisons détruites, pas plus et pour les mêmes raisons que les jeunes familles ne pourront venir s’installer à Bihorel.
- Ce PLU permettra la construction d’immeubles à hauteur élevée partout en zone UB et sans minimum parcellaire. L’argument est : il en existe déjà. Vision ringarde, qui nous est proposée là par Pascal Houbron et son cabinet, d’une urbanisation telle que pratiquée dans les années 1960 et 1970 de concentration de logements collectifs sur un espace délimité, urbanisation qui a donné naissance aux ghettos urbains que l’on tend à déconstruire de nos jours. Si partout en France, on détruit des immeubles au milieu d’immeubles pour créer des espaces verts et donner de l’air aux habitants, à Bihorel, le projet de PLU de Pascal Houbron propose de détruire de l’habitat individuel et des jardins pour les remplacer par du béton et des logements empilés.
- Ce PLU ne tient aucun compte de la situation urbanistique de Bihorel. Rien n’est envisagé pour apporter une qualité de vie nouvelle et meilleure aux habitants du quartier du plateau des provinces. C’est pourtant sur cet espace de la commune que l’effort de renouvellement et de rénovation devrait se porter en priorité. Mais elle n’intéresse pas les spéculateurs, alors on se concentre sur les quartiers « juteux » pour les prédateurs immobiliers : une grande partie du « Bihorel village » et le quartier du chapitre. Là, le PLU de Pascal Houbron double les possibilités de construire au détriment des maisons individuelles et des espaces verts parfois pour certains d’entre eux emblématiques (hippodrome, square Tamarelle, pelouse du chapitre).
- Ce PLU ne tient aucun compte du développement urbanistique qu’il générera et de ses conséquences en matière de circulation et de stationnement.

Pascal Houbron fut élu comme candidat avec un programme «sans projet » et tout particulièrement dans le domaine du renouvellement urbain.
Son PLU n’a donc aucune légitimité, les bihorellais n’ont pas eu à voter pour ou contre. Pascal Houbron tout maire qu’il soit, était minoritaire lors des dernières élections municipales (43% des suffrages exprimés au 2ème tour). Il ne représente que 1.853 habitants sur près de 9.000.

Sur chacune des cent vingt et quelques pages du PLU, il y a au moins une raison qui fait que le projet de Pascal Houbron est un mauvais projet pour notre commune, pire : un véritable Requiem pour Bihorel, dont le visage sera modifié en profondeur dans la décennie qui vient si ce PLU est adopté. C’est le cadre de vie de tous les bihorellais qui se verra détruit pour les uns (Bihorel village, chapitre) ou non renouvelé pour les autres (plateau des provinces). Bihorel doit avoir un projet d’avenir et de développement pour le 21ème siècle. Mais c’est aux citoyens qu’il appartient de le définir et non pas à Pascal Houbron de s’en arroger le droit afin de ne servir que ses ambitions politiques et les intérêts des promoteurs/spéculateurs.

Bihorel, le mercredi 25 novembre de l’an de grâce 2009

Constantin Dragasès, citoyen bihorellais"

Manu ad ferrum
C.D

KGB ?

Un tocard, portant habituellement un gilet jaune fluo, aurait été vu à la mairie, le jeudi 26 novembre. Il photographiait chaque page des cahiers où les bihorellais ont consigné leurs remarques concernant le PLU dans le cadre de l'enquête publique.

Dans quel but? Un fichage des habitants ? Constituer une base de données pour une association ? Aurions nous affaire à des nostalgiques du KGB?

En tout cas, procédé malsain.

dimanche 22 novembre 2009

En Quête de Public

Mes Chers Compatriotes,

Un Houbron ça ose tout, c’est même à cela qu’on le reconnaît (1).
Hier il envisageait de ne pas suivre la décision du conseil municipal sur la Crea, demain, n’en doutons pas, si les conclusions de l’enquête publique sur le PLU étaient négatives, il passerait outre.
Le "petit Pascal" va bientôt clore son show «concertation sur le PLU» avec son dernier numéro "l’enquête publique". En rappel dans quelques semaines, il nous réinterprétera le «conseil municipal».
En fait, derrière le suffisant et le méprisant, se cache un pleutre, qui limite le débat public sur le PLU à minima et se planque à l’abri dans son bureau de la mairie. Pascal Houbron est un petit calibre qui fuit toute confrontation dans le réel ou sur la toile.
Rappelons-lui qu’il fut élu comme candidat «sans projet urbanistique». Son "PLU de maçon" n’a donc aucune légitimité, les bihorellais n’ont pas voté pour. Enfin Houbron tout maire qu’il soit, était minoritaire lors des dernières élections municipales (43% des suffrages au 2ème tour). Il ne représente que 1.853 voix sur près de 9.000 habitants.

Alors, mes chers compatriotes, ne nous laissons pas envahir par le découragement. Accomplissons notre devoir. Participons, même si c'est sans illusion, à l’enquête publique (nous avons jusqu’au 26 novembre), ne serait ce que pour signifier au freluquet qu’il y aura d’autres élections municipales, cantonales ou législatives et que nous l’attendons pour le match retour. Histoire que ses ambitions tournent court.
« Un temps viendra où il sera chassé dehors sous le fouet de ses péchés ». (2)

Manu ad ferrum
Constantin Dragasès

(1) merci à Michel Audiard
(2) Saint Augustin, extrait du sermon sur le psaume 130.

samedi 21 novembre 2009

Coqs Gaulois

Champion d’Europe 1984
Equipe de France qui jouait au football, chantait la Marseillaise, et à laquelle la Nation s’identifiait

Oublitude?

Voilà déjà plus de trois jours que la France a battu l'Irlande en trichant et Ségolène n'a pas encore demandé pardon aux Irlandais. Oublitude?

vendredi 20 novembre 2009

Prime à la Casse

Les supporters de l’équipe nationale d’Algérie toucheraient-ils la prime à la casse?
On sait déjà qu’avec d'autres ressortissants d’Afrique du nord et d’Afrique noire ils participent activement à la relance de l’industrie automobile avec environ 30.000 voitures incendiées par an en France. Les constructeurs ont d’ailleurs de belles perspectives pour 2010 puisque l’Algérie disputera au moins 3 ou 4 matchs lors de la coupe du monde en juin prochain.

Quand on vous dit que la croissance sera au rendez vous en 2010 !
C.D

mardi 17 novembre 2009

Freluquet Pragmatique

Dans la série « pince moi, je rêve », c’est la sensation que j’ai éprouvée à la lecture de l’article de Paris Normandie du 16/11 au sujet du vote validant la communauté d’agglo élargie.
Pascal Houbron, interrogé sur sa position par le journaliste, nous déclare sans rire « je ne sais pas encore ce que je vais voter mais mon conseil s’est prononcé contre ».
Mes Chers Compatriotes ne vous frottez pas les yeux vous avez bien lu. Notre Gérard Majax de la démocratie s’est encore surpassé. Le conseil municipal de Bihorel a voté contre, mais Houbron se demande s’il va suivre l’avis des représentants du peuple bihorellais. Rappelons lui que sur ce blog, il était venu nous donner des leçons de « vraie démocratie ». Je constate qu’il illustre une fois encore ses propos par l’exemple.


Mais posons nous la bonne question : quelle est la motivation réelle et profonde de cette attitude?
Houbron se croit-il un esprit supérieur à la plèbe et à la vulgate qui la représente pour décider seul de la position de Bihorel sur la Crea ? Même s’il a un égo surdimensionné, la réponse est je pense ailleurs.

Notre freluquet a au moins une qualité : il est pragmatique. Oh non pas pour l’intérêt général, non mais pour le sien. Expliquons-nous.
Au moment de la distribution des récompenses par Don Fabius, il ne tient pas à passer à coté. La droite aura vraisemblablement peu de sièges au sein de la Crea, comme aujourd’hui elle en a peu dans l’agglo. Le maire de Mesnil Esnard (UMP) a déjà fayoté en disant qu’il votera pour la Crea. Cela fait un siège en moins pour la droite. Alors en maintenant le flou et le doute sur son vote, Houbron ménage son avenir dans la Crea. Rappelons nous qu’au conseil municipal du 28 septembre dernier, il avait demandé le vote à bulletin secret sur la Crea. Sachant qu’à Bihorel le vote serait négatif, il pourrait de la sorte, dans une courbette, dire à Don Fabius qu’il s’était abstenu lors du vote. Ainsi espère-t-il être récompensé pour son soutien et sa servilité au moment de la distribution des postes à la Crea et retrouver le siège qu’il a actuellement à l’agglo, voué à disparaître.
On a beau être un homme de convictions qui a un sens aigu de la démocratie, 2.000 euros par mois (1) ça pose des limites à tous principes et autorise toutes les trahisons, même celle de la représentation légale de Bihorel.

C.D

(1) c’est environ le montant mensuel des indemnités perçues pour un siège à l’agglo.

L'Arroseur Arrosé


Devinette du jour:
- qui a dit « nous avons eu des dizaines de réunions depuis dix huit mois » ?

Réponse: Pascal Houbron à Jean Claude Ravenel au sujet du PLU ? Non, vous n’y êtes pas.

C’est Frédérique Sanchez, élu PS, au sujet de la Crea en réponse à Gilbert Renard qui se plaignait du manque de concertation dans l’élaboration du projet. (1)
Moi j'aime bien quand Gilbert Renard se plaint du manque de concertation, lui qui est un exemple en la matière à Bois Guillaume. Mais j'aime aussi quand les socialistes, nous montrent comment il la pratique.

Mes Chers Compatriotes, la démocratie n’a pas de couleur politique et elle fonctionne de la même manière à tous les étages. En attendant, c’est toujours nous qui l’avons quelque part.
C.D


(1)Voir Paris Normandie de ce jour.

dimanche 15 novembre 2009

Identité Nationale

"Je m’insurge contre l’abus de langage par lequel, de plus en plus, on en vient à confondre le racisme et des attitudes normales, légitimes même, en tout cas inévitable. Le racisme est une doctrine qui prétend voir dans les caractères intellectuels et moraux attribués à un ensemble d'individus l'effet nécessaire d'un commun patrimoine génétique. On ne saurait ranger sous la même rubrique, ou imputer automatiquement au même préjugé l’attitude d’individus ou de groupes que leur fidélité à certaines valeurs rend partiellement ou totalement insensibles à d’autres valeurs. Il n’est nullement coupable de placer une manière de vivre et de la penser au-dessus de toutes les autres et d’éprouver peu d’attirance envers tels ou tels dont le genre de vie, respectable en lui-même, s’éloigne par trop de celui auquel on est traditionnellement attaché. Cette incommunicabilité relative peut même représenter le prix à payer pour que les systèmes de valeurs de chaque famille spirituelle ou de chaque communauté se conservent, et trouvent dans leur propre fonds les ressources nécessaires à leur renouvellement. Si comme je l'ai écrit ailleurs, il existe entre les sociétés humaines un certain optimum de diversité au-delà duquel elles ne sauraient aller, mais en dessous duquel elles ne peuvent non plus descendre sans danger, on doit reconnaître que cette diversité résulte pour une grande part du désir de chaque culture de s’opposer à celles qui l’environnent, de se distinguer d’elles, en un mot d’être soi : elles ne s’ignorent pas, s’empruntent à l’occasion, mais pour ne pas périr, il faut que, sous d’autres rapports persiste entre elles une certaine imperméabilité."

Claude Lévi-Strauss - Le Regard éloigné

vendredi 13 novembre 2009

Lettre ouverte de J.C.Ravenel au freluquet

Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Pas besoin d'un huit pages quadrichromie aux frais des bihorellais (Houbron) ou d'un quatre pages monochrome, plus affichette quadri (Silex, aux frais des seuls cent adhérents, Président?) pour nous exposer la situation.
Jean Claude Ravenel, élu de Vive Bihorel, nous livre l'essentiel dans une lettre courte et concise, distribuée cette semaine dans votre boite aux lettres.
C.D

jeudi 12 novembre 2009

In Memoriam

Vitrail de la crypte de l'église N-D de Lourdes à Sotteville les rouen (détail)

vendredi 30 octobre 2009

jeudi 29 octobre 2009

Jérusalem, Athènes, Rome.


« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne ». Charles de Gaulle
Rien à ajouter, rien à retirer. Pas besoin d’un long débat sur l’identité nationale. Le Général l’a parfaitement définie.

jeudi 22 octobre 2009

La MAUVAISE Gestion qui est la MIENNE

Mes Chers Compatriotes,
Il ne manque pas de toupet le freluquet dans le Bihorel MAG que nous venons de recevoir ! « Dans le cadre de la bonne gestion qui est la nôtre » nous déclare-t-il dès l’introduction de son édito.
Bonne gestion ? Une fois de plus, Pascal Houbron se paie notre tête.

En pied de page, vous trouverez l'analyse financière des comptes de la commune (chiffres officiels) que Jean Claude RAVENEL présenta à charge contre la gestion de Pascal HOUBRON lors du dernier conseil municipal (voir sur ce blog http://constantindragases.blogspot.com/2009/10/majorite-municipale-uvre-contemporaine.html).
Ce tableau fait ressortir plusieurs éléments importants:
- le produit des impôts locaux a augmenté de + 3,4% en 2009 par rapport à 2008.
- les charges de personnels de la commune augmentent de + 6,0% en 2009 par rapport à 2008.
- les dépenses courantes (fonctionnement) totales, augmentent elles de + 9,4% en 2009 par rapport à 2008.

Force est de constater:
1) que dans son budget de fonctionnement, la municipalité dirigée par Pascal HOUBRON ne connaît ni la crise ni l’austérité. Les impôts et les dépenses augmentent.
2) que la capacité d’autofinancement de la commune devient nulle.
3) que pour ses dépenses de fonctionnement, la commune dépense plus que ce qu’elle perçoit. Elle produit de l’endettement et la vente des bijoux de famille (maisons, terrains communaux, bâtiments communaux) ne sert qu’à couvrir l’explosion (+ 9,4% en un an) des frais de fonctionnement.

Le mensonge érigé en système, telle est la ligne de conduite suivie par Pascal HOUBRON, tant pour la gestion de notre commune que pour le PLU.
Vraisemblablement dans l’introduction de l’édito de Pascal HOUBRON du Bihorel MAG d’octobre 2009, il y a une « coquille » d’imprimeur. Notre Maire à tous avait sans aucun doute écrit :
« Dans le cadre de la mauvaise gestion qui est la mienne ».

C.D
ps: confirmation par le maire dans Bihorel MAG de la construction d'une salle "polyvalente d'animations" sur les terrains attenants à l'hippodrome. Sans doute parking des voitures sur la piste ou les terrains de foot. Pour les chevaux on passera du trot à la course d'obstacles ou pour les enfants au football sur bitume.

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mardi 13 octobre 2009

Chambre d'enregistrement

Majorité Municipale (œuvre contemporaine)
Mes Chers Compatriotes,
Voila plus de deux semaines que je cherche comment vous parler du dernier conseil municipal sans en faire une farce. En cette soirée du 28 septembre 2009, l’ordre du jour est intéressant : adhésion à la communauté d’agglo, vente d’un terrain municipal à une entreprise, vente d’une maison appartenant à la ville, correctif budgétaire, bref, peut être pas du « lourd » comme le PLU ou la fusion mais des sujets d’importance. Les bihorellais brillent de nouveau par leur absence, nous sommes une douzaine, quinze tout au plus.

Mais ce n’est pas à un conseil municipal que j’eus l’impression d’assister mais à la séance d’une chambre d’enregistrement. Certes les opposants s’opposèrent, platement pour les uns avec brio pour un autre. Mais devant une telle parodie de démocratie les mots manquent pour relater ce conseil. Comment être sérieux pour vous parler de la majorité municipale sans évoquer son indigence intellectuelle, de ceux qui dans leur tête font des cocottes en papier en attendant que cela se passe, de ceux qui visiblement n’y comprennent rien, de ceux qui trop niais, disent oui à tout ce que le freluquet propose ou encore des fausses blondes qui nicassent avec leur voisin tout au long du conseil. Les élus de la majorité qui prennent la parole d’un conseil à l’autre, sont à peu près toujours les mêmes au point qu’après plusieurs séances on est sûr de leur incompétence. Oui c’est bien l’amateurisme qui semble être la valeur commune de la majorité municipale au conseil. Ainsi, lorsqu’il s’agit de vendre un terrain (6.000m2) et de vérifier sa surface et sa répartition parcellaire, il faut vingt bonnes minutes au secrétaire de mairie pour retrouver le cadastre et tenter de sortir les fesses des orties du conseiller de la majorité où JC Ravenel les y avaient précipitées. Pour résumer, Houbron est en train de vendre une parcelle d’environ 6.000m2 qui sur le cadastre en fait 8.000 mais bon, on va procéder à la division bientôt et hop qui est contre ? Qui s’abstient? Adopté, on passe au sujet suivant.
Maurice Buisson était là, on s’en est à peine aperçu. Mains dans les poches ,on sentait qu’il avait bossé ses dossiers. Il est intervenu sur la vente d’une maison appartenant à la commune, discutant le prix (pas assez cher, estimait-il) et lorsque machin de la majorité (de ma place je ne voyais pas son visage) lui a répondu, Maurice a dit « pas sûr ». Imparable comme argument ! Je vous l’ai dit : il avait bossé ses dossiers. Enfin peu importe : qui est contre ? Qui s’abstient? Adopté, on passe au sujet suivant.

J’ai trouvé les socialistes fatalistes voire désabusés. Benoît Pétel a défendu l’adhésion de Bihorel à la communauté d’agglo, émis quelques réserves à la marge mais pas trop. Don Fabius et Pancho Sanchez n’auraient pas été contents. Guillaume Avisse en tombant dans le panneau tendu par le maire (celui ci ne tenant pas à s’étendre sur le prix du terrain, fît diversion en évoquant la construction d’une nouvelle salle de spectacle à Bihorel) a bien involontairement fait tomber l’info de la soirée : Pascal Houbron a l’intention de construire une nouvelle salle de spectacle sur les terrains attenants à l’Hippodrome. Pas besoin de savoir lire dans le marc de café pour deviner où l’on construira les parkings de cette salle.
Jean Claude Ravenel était remonté comme une pendule et a fait passer une mauvaise soirée à la majorité et aux socialistes.
Concernant l’adhésion à la communauté d’agglo, JC Ravenel a insisté sur deux points :
- l’absence de garantie en ce qui concerne le droit du sol (maitrise du PLU par Bihorel ou par la Communauté d’agglo).
- les promesses de réduction des coûts par la mutualisation de ceux-ci, promesses non tenues dans le cas de l’agglo. JC Ravenel a pris comme exemple l’enlèvement des ordures ménagères géré par l’agglo mais dont la taxe a pris encore cette année 22% d’augmentation.
Enfin, l’élu de Vive Bihorel avait préparé une analyse financière qu’il présenta lors du correctif budgétaire. JC Ravenel montra qu’à l’inverse de ce que soutient Houbron, les dépenses de fonctionnement de la commune s’envolent. Ceci agaça le maire qui prit son rictus des mauvais jours, laissant paraître ses aigreurs comme seule réplique puisqu’il n’avait rien à répondre sur l’analyse qu’avait faite JC Ravenel des chiffres officiels.

Résumons nous: tout ce que le maire a proposé sur les dossiers importants du jour, a été adopté. Vente de maison au prix plancher, vente de terrain sans que l’on sache précisément sa surface, etc.…. Sa majorité lui a dit oui à tout. Les trois quarts n’y comprennent rien ou s’en foutent, il est 22 heures 30mn, ils n’ont qu’une envie, c’est d’aller au lit.
Mes Chers Compatriotes, la commune est gérée de cette façon. Le conseil municipal n’est que la chambre d’enregistrement des décisions d’Houbron.
En même temps, cette situation est un peu de votre faute. Fallait pas lui donner les clefs.
C.D

lundi 12 octobre 2009

Déplacement doux vers un rendez vous


Pour les esthètes: Ferrari 275 GTB, moteur de 3.3 litres.
Jamais une chaîne de vélo n'a interprété une aussi belle mélodie.

A bicyclette, il serait arrivé en retard, trempé de sueur, fatigué et la blonde en aurait eu assez de l'attendre.

Soutien au Brigadier Ounoussou Guiné


Oussounou Guissé est un parachutiste du 1er RHP de Tarbes. Il a servi sous le drapeau tricolore au Tchad et en Afghanistan et défendu les valeurs de la France. Aujourd’hui notre administration lui conteste sa nationalité française (voir http://www.paris-normandie.fr/index.php/cms/13/article/233160/Il_faut_sauver_le_soldat_Guisse ). De par son engagement Oussounou Guissé n’a pas à subir la bêtise de fonctionnaires zélés qui selon une formule qui leur est chère « ne font pas la loi mais se contentent de l’appliquer ».
Oussounou Guiné est français, point final.
Les belles âmes n'ont pas l'air de se précipiter pour lui apporter leur soutien. Elles n'aiment pas les bérets, surtout lorqu'ils sont rouges.
C.D

jeudi 8 octobre 2009

Tambouille sur le blog de "Bihorel avec vous". Epilogue

Panoplie de Rigolo (oeuvre contemporaine)

Mes Chers Compatriotes,

Tout d’abord, pour celles et ceux qui n’auraient pas eu le temps de lire l’original du billet « A ceux qui se gaussent » publié dimanche 4 octobre 2009 sur le blog de "Bihorel avec Vous", je mets en pied de cet article la version initiale du billet (capture d’écran) avant que Monsieur Avisse ne l’ait modifiée ainsi que l’image vers laquelle nous dirigeait le lien situé en pied du même billet. Je vous invite également à lire avant ce qui suit, l’article paru ici même «Tambouille sur le blog de Bihorel avec Vous » (1) et (2). Vous aurez ainsi tous les éléments. Ceci étant précisé, passons à ce qui nous occupe.

Comme moi, je pense que vous n’aurez pas cru un seul instant à la fable que Monsieur Avisse nous a contée le 6 octobre (voir article précédent sur ce blog). Je crois qu’une fois leur supercherie découverte, cette fable fut le seul moyen qu’ils aient trouvé pour tenter de se sortir les fesses des ronces.
J’en veux pour preuve deux éléments :
1) Monsieur Avisse nous dit « N’ayant pas d’exemplaire du bulletin sous la main, je n’ai trouvé sur internet que la une de la dernière édition. » Avant de mettre en ligne le billet, n’aurait-il pas été plus simple à Monsieur Avisse de demander à l’auteur du billet, l’original de l’article du bulletin de l'Agglomération de Rouen, qu’il avait forcément en sa possession, puisqu’il l’avait contrefait et détourné ?
2) Deuxième élément, « Sur le contenu du billet, je reconnais que la tournure de phrase est ambiguë, je la corrige » nous indique Monsieur Avisse. Soit à "Bihorel avec Vous", on a la comprenette un peu lente, car le billet original était très clair. Certes c’était un tissu de mensonges mais en aucune façon il n’était ambigu ! Soit sur le blog de "Bihorel avec Vous", on peut publier tout et n’importe quoi, mêmes les bidonnages car rien n’est vérifié.

Ma conviction est toute autre.
« A ceux qui se gaussent » se voulait être la réponse et le « démenti flagrant » de mon article intitulé « Je vous ai compris », publié sur mon blog le 24 septembre dernier. Mon article visiblement ne leur a pas plu. Il rappelait sur un ton « chambreur » les engagements datant de fin juin que B. Pétel avait pris devant Xavier (un habitant du plateau des Provinces) et devant nous tous, sur le sujet du transit des poids lourds dans Bihorel. Engagements restés à ce jour sans suite.
Les politiciens de quelque bord que ce soit, n’aiment pas qu’on leur rappelle leurs promesses lorsqu’ils ne les ont pas tenues. Alors il fallait répondre à « Je vous ai compris ». Pas simple, surtout quand on a rien à dire de nouveau sur le sujet.
Un camarade, dans l’arrière boutique (vous avez votre réponse M. Duval) s’y est collé. Avec peu de talent, tant dans le style que dans la manière, la forme ou le fond. On détourne, on truque, on contrefait, on falsifie un article et des citations que, bien sûr, on ne produit pas à l’appui.
La ficelle était trop grosse même si l’on dit souvent que « plus c’est gros mieux ça passe ». Mais là, elle était énorme avec en apothéose le coup du « Préfet ébranlé » par Benoît Pétel. Là, le ridicule était à son apex. Franchement, si le préfet lit cela en buvant un coup, il risque de s’étouffer avec les cacahuètes en pouffant de rire.
Bref, on publie tout ceci un dimanche soir. Cela non plus n’est pas innocent, car bien que daté du mardi, le bulletin change d’édition le lundi (système du Monde). Le camarade auteur se dit que le Constantin ne doit pas être du genre lecteur assidu du Bulletin et que lundi, il ne trouvera plus en kiosque le numéro d’où sont tirés l’article et les citations que l’on a détournées. Avec son QI de bulot, le camarade auteur pense que cela devrait passer. Le bidonnage est publié mais pas de bol, le pot aux roses, dès le lundi, est découvert puis dénoncé par votre serviteur et nous en arrivons à la fable contée par Monsieur Avisse.

Qui est le camarade auteur de « A ceux qui se gaussent »? Certainement pas Monsieur Avisse lui même. Lorsque l’on sait apprécier un Clos de Bèze 59, c’est que l’on est un être raffiné, or ce bidonnage est l’œuvre d’un gros lourdaud. Benoît Pétel ? Pas plus, son style d’écriture n’est pas celui d’un besogneux. Enfin Fred Duval est trop bon scénariste pour avoir commis pareil nanard.
Non, il faut chercher ailleurs, mais pas trop loin tout de même. Peut être entre deux dictionnaires. Chacun mettra le nom qu’il voudra, même si nous serons nombreux à avoir la même idée.

« A ceux qui se gaussent » n’est donc pas signé. A ce moment, j’en profite pour faire une mise au point. Je fais un distinguo entre le fait de ne pas signer ses billets et celui de les signer d’un pseudo que l’on conserve dans le temps. Ainsi peut on faire référence à tous les écrits que j’ai produits sous le nom de Constantin Dragasès et ce depuis début 2008. Le camarade auteur de « A ceux qui se gaussent » en n’assumant pas son billet de quelque manière que ce soit, a le courage de ceux qui se mêlent à la foule pour s’en servir de bouclier.
Si Benoit Pétel n’est pas l’auteur, a-t-il pour autant donné son imprimatur? Accordons lui le bénéfice du doute. Mais cela ne l’exonère pas, lui et le Président de l’association Bihorel avec vous (F.Duval) de faire le ménage dans leurs troupes et de veiller à ce qu à l’avenir, ce genre de tambouille ne soit plus cuisinée dans leur arrière boutique. A une époque où des pratiques glauques sont mises à jour au PS, cela éviterait de discréditer définitivement dans le débat politique bihorellais, une association dont 98% des adhérents sont certainement de bons samaritains. D’ailleurs, il serait de bon ton que comme pénitence, le camarade auteur de « A ceux qui se gaussent » se fasse oublier un bon moment et évite de pérorer dans le Bihorel réel ou virtuel lors des mois à venir.

Enfin n’oublions pas le point de départ de tout cela et ce qui reste bien évidemment le plus important. Qu’a donc fait Benoît Pétel depuis juin pour répondre aux problèmes de Xavier, tenir les engagements qu’il a pris devant nous tous et quelles actions spectaculaires compte-t-il entreprendre puisque rien n’a changé ?

Benoit, puisque le « démenti flagrant » a fait « PSchitt », aurons nous encore à nous gausser?

C.D
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mardi 6 octobre 2009

Tambouille sur le blog de "Bihorel avec vous" (2)

Voici la réponse de Guillaume Avisse qui essaye de désamorcer la situation sur le blog de "Bihorel avec vous" ce 6 octobre.

"Mea culpa, mea culpa, gardons notre calme !
Si je ne l’ai pas écrit, c’est moi qui ai mis ce billet, comme tous les billets de ce blog dont j’assure l’administration, en ligne dimanche soir.
N’ayant pas d’exemplaire du bulletin sous la main, je n’ai trouvé sur internet que la une de la dernière édition. Pour améliorer les choses, je me suis permis de piquer l’image mise sur votre blog pour mettre l’article en lien à la place.
Sur le contenu du billet, je reconnais que la tournure de phrase est ambigüe, je la corrige.
Guillaume Avisse."

Votre nez s'allonge, Monsieur Avisse.
Bon, nous reviendrons, sous peu, sur les enseignements de cet épisode. Le chapitre est loin d'être clos.

C.D

lundi 5 octobre 2009

Tambouille sur le blog de "Bihorel avec vous"

Mes Chers Compatriotes,
" A ceux qui se gaussent" http://www.bihorelavecvous.com/2009/10/04/a-ceux-qui-se-gaussent/ paru le 4/10/2009 sur le blog de "Bihorel avec vous" est un billet qui se voudrait être la réponse à ma publication ici même du 24 septembre dernier intitulée "Je vous ai compris"

Cette réponse est un grossier bidonnage dans le but d'embrouiller le lecteur entre les affirmations personnelles de l'auteur et le détournement de citations extraites d'un article paru dans le Bulletin de l'Agglomeration Rouennaise du 29 septembre (voir lien en bas de page). Pas une seule fois le nom de Benoit Pétel n'est mentionné dans cet article et toutes les citations auxquelles il est fait référence dans le billet, sont en fait de Messieurs Houbron, Renard et Dantan. Par un procédé fallacieux l'auteur voudrait nous faire croire que ces trois là ont reçu la lumière de Saint Benoit (Pétel) et qu'il se sont faits les perroquets de sa bonne parole. Nous avons affaire là à de la manipulation d'information. Preuve supplémentaire de la contrefaçon, à la fin de "A ceux qui se gaussent" un lien nous renvoie non pas vers l'article sur lequel l'auteur base sa démonstration mais vers la première page du journal où il n'y a rien à ce sujet. Les gens honnetes n'ont rien à cacher.

Enfin le style "besogneux" du billet ne laisse que peu de doute sur l'identité de l'auteur. Voici donc ci dessous l'article qu'il n'ont pas publié sur le blog de "Bihorel avec vous".

Bonne lecture.

(Cliquez sur l'image pour l'agrandir).


dimanche 4 octobre 2009

Le jeu des 7 erreurs

La presse locale nous présentait jeudi le dernier projet de l'espace Monet-Cathédrale destiné à remplacer l'actuel palais des congrès. On pourrait faire un "jeu des 7 erreurs"
Voici le batiment actuel:


et voici le projet (peut être) définitif:
On notera comme différence essentielle, les petits arbres verts en terrasse qui donnent à l'ensemble une touche "écolo" et une note "développement durable". Sinon on peut dire que l'on va demolir une vieille merde inaugurée en 1976 pour en inaugurer une nouvelle vers 2012, semblable dans ses grandes lignes à l'ancienne. Voilà de l'argent des contribuables bien utilisé.
Signalons que Valerie Fourneyron (PS), dans le cadre de la démocratie participative chère à Marie Ségolène Royale, a organisé en 2008 une votation sur le sujet. 80% des 8.000 rouennais qui y ont participé, se sont prononcés pour la création d'un jardin à la place du palais des congrès. Mais Mme le Maire précise "que les rouennais ont été entendus" (sans doute les petits arbres verts en terrasse) et cela sans rire bien évidemment. Pascal Houbron n'aurait pas mieux dit.
Mes Chers Compatriotes, PS, UMP, centristes, démocratie directe ou indirecte, participative ou non, j'ai bien l'impression qu'on l'a toujours où vous savez.
C.D
post scriptum: pour une information complète sur le sujet, lire l'article en page 5 du Paris Normandie du jeudi 01/10/09

jeudi 1 octobre 2009

1 voix + 1 voix = ça dépend

Dernières révisions au PS avant la « consultation militante » du 1er octobre. Certains camarades excellent en orthographe et connaîssent sur le bout des doigts « le bon usage » de Maurice Grevisse, mais pour la plupart en arithmétique cela laisserait à désirer. Heureusement, Martine, la 1ère secrétaire, aurait tout prévu en adressant son cahier de calcul à chaque responsable de section. Le compte sera-t-il bon pour autant?

mercredi 30 septembre 2009

Diversité bihorellaise


Mes Chers Compatriotes,
Saluons l'arrivée dans la blogosphère bihorellaise des camarades du Front de Gauche et du PCF. Nous serons sans doute adversaires sur bien des sujets, mais plus on est de fous plus l'on rit!
http://bihorel.gauchepopulaire.fr/index.php/

mardi 29 septembre 2009

Malika Sorel chez Finkie.

"Répliques" est le titre de l'émission qu'anime Alain Finkielkraut depuis des années sur France Culture. Voici quelques extraits de celle du samedi 26 septembre 2009. La version complete est disponible sur le site de France Culture et le livre de Malika Sorel "le puzzle de l'intégration", dans toutes les bonnes librairies.

Voici le texte de la 4ème de couverture:

On soutient souvent que les problèmes d'intégration des populations issues de l'immigration seraient en grande partie imputables au passé colonial de la France et au traitement inéquitable que leur réserverait le pays. Ces explications fort attrayantes ne résistent pas longtemps à l'analyse de la situation d'autres pays : les nations occidentales sans passé colonial qui ont adopté les politiques de discrimination positive et d'immigration choisie connaissent le même échec. Nous aurait-il manqué des pièces pour appréhender le puzzle de l'intégration ?En France, parce qu'il est toujours de bon ton de transposer les modèles venus d'outre-Atlantique, une partie de nos femmes et hommes politiques semblent pourtant prêts à céder aux pressions de quelques lobbyistes et à adopter la discrimination positive. Des médias, des écoles prestigieuses, de grandes entreprises ne montrent-ils pas déjà la voie ?Malika Sorel nous met en garde contre les dangers de ces politiques qui menacent sérieusement notre cohésion nationale. Sans concession pour les uns ni pour les autres, elle expose les logiques communautaristes, à rebours des principes républicains, qui ne cessent d'exacerber les malaises identitaires. Elle aborde aussi une question taboue, mais qu'elle estime être cruciale : le droit du sol constitue-t-il un atout pour les enfants de l'immigration ou, au contraire, une entrave dans leur parcours d'intégration ?

Pour faire bonne mesure précisons qu'Alain Renaut, auteur de "un humanisme de la diversité: essai sur la décolonisation des identités" lui donnait.......la réplique.

Bonne écoute et bonne lecture.



malika sorel
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jeudi 24 septembre 2009

Je vous ai Compris!

Je vous ai compris!

C’est à peu de choses près (l'accent "gaullien" en moins), ce que Benoit Pétel , le 24 juin 2009, répondait du haut de sa tribune sur le blog de « Bihorel avec vous » à Xavier, un bihorellais habitant près de la rue de la Prévotiere et qui se plaignait après deux nuits sans sommeil du passage incessant des camions sous ses fenêtres lors des fermetures du tunnel de la Grand Mare. S’en suivait alors une longue démonstration de Benoît pour nous expliquer qu’avec le TEOR, Xavier retrouverait un sommeil d’or !

Benoît Pétel prit même plusieurs engagements « A ce stade, l’association « Bihorel avec vous » et ses élus ont pris, dans la continuité de la pétition faite sur ce sujet, plusieurs initiatives pour solliciter et alerter les autorités compétentes sur la situation de Bihorel et de ses habitants. Nous espérons que, d’ici septembre, nous pourrons nous faire entendre et faire attendre la voix des Bihorellais. Faute de quoi nous mettrons en œuvre des actions plus radicales. ».

Mes Chers Compatriotes, nous voilà fin septembre et sans doute comme moi et Xavier, vous n’avez aucune nouvelle sur le résultat des « initiatives prises pour solliciter et alerter les autorités compétentes ». On nous aurait menti ? Non, ce n’est pas le genre de Benoît.

Je n’ose pas l’interroger sur le succès et le nombre de signataires qu’aurait reçu la pétition. Il se dit qu’au PS, ils auraient en ce moment des problèmes avec les additions. Enfin ce ne serait qu’une rumeur, rétorquent les milieux autorisés.

Pas de nouvelle non plus sur le blog de « Bihorel avec vous ». On y a parlé « pique nique », j’ai bien vu deux billets sur une soirée où l’on dissertera sur qui, du théâtre ou de la bande dessinée, résoudrait le mieux les problèmes de la classe ouvrière, mais rien sur les poids lourds en transit dans Bihorel.

Cher Benoit, s’il n’y a rien de neuf, alors peut être, le temps de « mettre en œuvre des actions plus radicales.» est il venu ?

Moi je verrais bien, c’est une suggestion, le camarade Arson de son gilet jaune fluo vêtu, bras en croix, barrant le passage aux camions rue de la Prévotière, tel un contre révolutionnaire chinois s’opposant aux chars place Tien An Men. Cela aurait de « la gueule", non ?

"Je vous ai compris !". L’histoire nous a appris comment cela se terminait.

C.D

Parole de Président


"Les paradis fiscaux et le secret bancaire, c'est fini, cela n'existe plus!"
Nicolas sarkozy, 23 septembre 2009
"Parole", aurait-il pu ajouter.

Mes Chers Compatriotes, vous êtes priés de ne pas rigoler!

C.D

mardi 22 septembre 2009

Clearstream

Denis Robert

Mes chers Compatriotes, ne vous laissez pas distraire par le procès dont les deux Tartuffes sont les vedettes.
Non Clearstream c’est bien autre chose. C’est le nœud principal de la finance internationale, le grand « lavomatic » de l’argent sale ou de celui des « voleurs de foules » comme dit Denis Robert. Je vous conseille d’ailleurs d’écouter l’excellente émission sur ce sujet de « Là bas si j’y suis » d’hier (lundi 21/09). Pendant que vous y serez, profitez en pour aller faire un tour sur le blog de Denis Robert (les liens sont dans « mes blogs preferés"), Après, Clearstream n’aura (presque) plus de secret pour vous.
Sur beaucoup d’autres sujets, je suis (très) loin de partager l’avis de Daniel Mermet, surtout lorsqu’il fait dans l’anti-France, mais il faut reconnaître que c’est l’une des dernières voix libres (avec Finkielkraut) sur les ondes françaises et que ce type sait faire de la radio depuis 20 ans. Alors même s’il me file souvent des boutons, je préfère me gratter plutôt que de ne pas l’écouter. Vous pourrez ensuite faire les « intéressants » dans les dîners en ville, mais surtout vous éviterez de tomber dans le panneau tendu par ce leurre médiatique qu’est ce procès.

Daniel Mermet

dimanche 20 septembre 2009

Journée du Patrimoine (2)


Du plus humble au plus prestigieux, le vignoble et le vin font partie du patrimoine français et de celui de notre civilisation. Apprenons à le connaître dans sa diversité et transmettons à nos enfants cette richesse. N’en déplaise au professeur Got, aux hygiénistes de tous poils, aux tristes du godet et sans doute d’ailleurs.
C.D
Ps : le Muscadet de Guy Bossard peut-il être considéré comme l’un des plus humbles, lui qui trompa en dégustation à l’aveugle, les meilleurs dégustateurs bourguignons du plus illustre des villages ? Pour info, le Mouton Rothschild est de 1959.

Journée du Patrimoine


J’ignore si Pascal Houbron participe de près ou de loin à quelques manifestations que ce soient dans le cadre de la journée du patrimoine. Il serait bien gonflé de le faire, lui qui s’apprête à faire adopter un PLU qui à jamais détruira le patrimoine bihorellais.
Nous connaissons tous cette carte postale (fin 19ème début 20ème ) de notre commune. Certes, rue Détancourt, on n’y croise plus de poule (aucun sous entendu) et le bitume a remplacé la terre. Mais toutes les maisons figurant sur cette carte postale sont aujourd’hui encore debout et constituent avec l’ensemble du vieux Bihorel, l’essentiel du patrimoine de la commune. Qu’en sera-t-il dans cinq ou dix ans si les projets du freluquet aboutissent? Tout cela disparaîtra mois après mois, année après année pour laisser place à des constructions sans âme. Le maire n’aime pas sa commune, il a une revanche à prendre par rapport aux bihorellais qu’il n’aime pas non plus. Pascal Houbron a des rancoeurs à évacuer et il compte le faire en laissant derrière lui, car il partira bientôt, un Bihorel saccagé et bradé. Pendant ce temps, vous les bihorellais, vous dormez
Ce soir, une chaîne de télévision diffuse « La métamorphose des cloportes » film de Pierre Granier Deferre. Puisse le titre de ce film se matérialiser à Bihorel.
Cessez d’être des rampants et bougez vous ou vous aurez mérité ce qui arrivera à votre cadre de vie et au patrimoine de votre commune.
C.D

mercredi 16 septembre 2009

PS: des pratiques de République Bananière


Pour les élus nationaux ou locaux du PS, le livre « Hold-uPS, Arnaques et Trahisons » est un tissu de mensonges. Bref circulez y a rien à voir, tout va très bien Madame la Marquise.
Vous trouverez ci-dessous un lien qui vous permettra d’accéder à un document, appelé « Protestation électorale » adressé à l’attention de M. Daniel Vaillant, président de la commission de recolement et ce après le vote comptant pour l’élection du premier secrétaire du parti socialiste en 2008.
Ce document est signé : David Assouline, (sénateur PS de Paris), Jean-David Ciot (premier secretaire fédéral du PS, Bouche du Rhône) et Jean Pierre Mignard membre du conseil national du PS.
Pour les irrégularités concernant nos camarades de la section Seine Maritime, vous pouvez aller directement aux pages 11 et 15. Mais l’ensemble est très instructif.
Mes Chers Compatriotes, une chose est certaine. Maintenant lorsque ce sera un camarade du PS qui tiendra un bureau de vote, il faudra ouvrir l'oeil et le bon!
C.D