"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

dimanche 24 juillet 2011

On the road again


Mes Chers Compatriotes, le temps est venu de mettre ce blog en pause estivale. J'aurais pu faire encore quelques billets sur les BVAB, railler ceux qui veulent se refaire une image de conseillers "ordinaires" par articles de journal (P.N) interposés en se faisant reluire comme notre protecteur à tous Gérard "super" Dantan et sa vidéo surveillance ou bien encore Florence Martel qui fait chanter les jeunes, tout en leur apprenant que ce ne sera pas la peine qu'ils aillent voter lorsqu'ils en auront l'âge. Leurs votes, la Florence, elle s’assiéra dessus, comme elle s'est assise sur celui de leurs parents le 4 juillet dernier.
La presse locale fleurit ces jours ci, d'articles élogieux sur Bihorel et son CCAS sur la brèche pendant l'été. Paris Normandie va même rechercher, un mois plus tard, l'inauguration des stèles de la mémoire, pour nous dire qu'elles sont couvertes d'âneries historiques. Mais bon, c'est pas grave, hein, tant pis si ça participe à la fabrique à crétins, leur but aux stèles, avant tout, c'est de faire mousser le Freluquet.

Alors, non, pas de dernier billet sur ce marigot avant de prendre la route, on frôlerait la nausée.
Bon été à ceux qui ont voté NON le 26 juin et comme le dit chaque matin Philippe Meyer  en concluant sa chronique matutinale "que le ciel vous tienne en joie !".

Vive Bihorel Libre !
Manu ad ferum
CD

samedi 23 juillet 2011

Etat de la démocratie en France en 2011


Aucun doute, si l'on se fie à la moyenne des trois dernières élections en France (figure 1), le Freluquet est largement majoritaire et la fusion plébiscitée. Je plaisante bien sûr. 
Cela nous donne une idée de la représentativité de ceux qui nous gouvernent ou qui veulent nous gouverner et de la cassure entre "pays réel" et "pays légal".

CD

jeudi 14 juillet 2011

De nouvelles Bastilles à prendre.

A quoi bon ?

Cela ne partira pas du vieux Bihorel, non, mais plus certainement d'un quartier, quelque part en France où un grand nombre de nos Compatriotes ont faim et n'ont plus les moyens de se soigner. D'un quartier où des retraités sont obligés de "faire un petit boulot à coté" pour se contenter d’aller s’alimenter chez « ED » et de se vêtir chez Distri Center. Peut être d'un quartier, où habitent des enfants qui vivent en deçà du seuil de pauvreté (1 sur 5 en France en 2011) ou bien d'un foyer de SDF. 
Puis cela gagnera les campagnes où les agriculteurs se suicident (1 par jour). Les ouvriers, ces oubliés de notre époque et les classes moyennes, eux aussi suivront parce que tous se sentent au bord du précipice.
Les Français le perçoivent, inconsciemment ou clairement, c'est selon, mais pour eux 2012 ne changera rien. Sarkozy, Aubry ou n'importe quel camelot ne fera qu'appliquer la politique dictée par le FMI, Bruxelles et les agences de notation.
Il règne en France une atmosphère de fin de régime. Je ne sais pas si nous sommes en 1780 ou en 1788.  Les citoyens, eux, savent que le poisson pourrit par la tête, que leur bulletin de vote n'influence plus en rien le cours des choses, qu'il n'est que la caution d’une pantomime.
Alors de nouvelles Bastilles seront prises, bientôt. Parce que les gouvernements successifs ignorent la souffrance des Français et le déclin de la France, que les parlements se contentent d'entériner ce qui est décidé ailleurs et que la démocratie aujourd'hui est un mot devenu vide de sens.
Pour les accapareurs, viendra le temps où la phrase « voir sa tête au bout d'une pique » aura recouvré tout son sens. Je n'aimerais pas, ce soir là, être le Freluquet ou l'un de ses "collabos".
Vive Bihorel Libre !
Manu ad ferum
CD

mercredi 6 juillet 2011

La Fusion dans la Honte et le Déshonneur.

Œuvre contemporaine de Raymond la Science

Mes Chers Compatriotes,

Lundi soir, c’est un véritable bras d’honneur que le Freluquet et ses berniques ont adressé, non seulement aux 400 Bihorellais présents mais à tous les votants du 26 juin en général. Nous nous sommes toutes et tous réveillés mardi matin, Bois Guillaumaises et Bois Guillaumais, administrativement tout du moins car notre cœur pour Bihorel n’a pas cessé de battre.
La vie politique est remplie d’infamies, de trahisons, d’escroqueries, de mensonges et de forfaitures. Lundi soir en votant la fusion contre l’avis des Bihorellais, Pascal Houbron et tous les élus de Bien Vivre à Bihorel ont précipité sur eux le déshonneur. En une soirée, ils sont devenus la honte de la République Française, renégats et félons, qui ont trahi le suffrage universel et leur commune, la notre, faisant passer leurs minables ambitions personnelles au détriment de l’intérêt et de l’expression des citoyens.
Je ne trouve pas de mot assez dur pour qualifier ces petits boutiquiers qui ont voté la fusion, qu’ils soient bêtes et méchants comme François d’Hubert, trop naïfs pour avoir conscience d’être manipulés par le Freluquet, ou qu’ils soient comme d’autres bassement intéressés par l’appât d’un titre d’adjoint au maire (et de l’indemnité qui va avec) d’une commune de 22.000 habitants. Le confessionnal de « NDA » ne va pas désemplir !
Combien faut-il être lâche et veule pour arriver à une telle trahison, une telle manipulation, un tel mépris des habitants ?
A quoi bon exhorter à chaque élection les citoyens, jeunes et moins jeunes, à aller remplir leur devoir, si c’est pour que les élus s’essuient l’entre fesses avec le résultat du vote.

Nous avons comme maire un psycho rigide, le Freluquet, qui dans ce dossier de la fusion, comme dans tous les autres, a additionné mauvaise foi, manipulations et mensonges. Hier soir Pascal Houbron a soldé ses comptes avec Bihorel et les Bihorellais.  Il déteste la première tout autant que les seconds. Avec la fusion, c’est la rancœur et les frustrations accumulées depuis les premières humiliations qu’il a subies dès les bacs à sable de l’école maternelle, dont il s’est affranchi. Sans doute, lorsqu’il a prononcé la phrase fatidique « la fusion est donc adoptée » a-t-il eu l’érection qui précède l’extase.
Pour les élus félons de BVAB, en tout cas pour un certain nombre d'entre eux, c’est un « ouf » de soulagement, enfin délivrés de la gestion de Bihorel, costumes trop grands pour eux, incapables de réaliser les budgets d’investissements autant dire de mener à bien les objectifs qu’ils se fixaient eux-mêmes.
Fred Duval avait le mot juste lorsqu’il analysait, « post conseil » que le seul bienfait de la fusion sera de faire disparaître de la vie politique locale, la majeure partie de cette bande d’incompétents.
Debout,  je les contemplais, un peu plus tôt dans la salle du conseil où ils étaient assis. J’avais la sensation de «voler au dessus d’un nid de cocus » et que bientôt l’ennemi connaitrait l’amertume d’être trahi par son chef en personne et de voir les ambitions de chacun déçues. Qui peut douter qu’à  Bois Guillaume, le Renard ne va pas tarder à mettre bon ordre dans le poulailler freluquiste?

Les oppositions furent, lundi soir inspirées, en la personne de Benoît Pétel, mais surtout de Claude Taleb. Vous savez que je ne compte pas au nombre des fans du camarade Léon mais en ce lundi soir, j’ai aimé dans l’esprit, son intervention. Bien sûr et par-dessus tout, j’ai bu du petit lait en écoutant JC Ravenel et plus précisément à l'instant où il toucha au bon endroit (?) le Freluquet en lui martelant que NON, il n’aimait pas Bihorel et que depuis 10 ans il n’avait cherché qu’à s’en débarrasser! (voir billet du 5 juillet, ici même).

Aujourd’hui la forfaiture est accomplie. Nous savons que les élus de BVAB ne sont pas de droite pas plus qu’Etat d’Esprit et Sophie Dionisi ne sont de gauche. Ils sont tous du même coté: celui du pognon.
Depuis lundi soir, le blog de Bien Vivre à Bihorel s’est mis, selon leur propre expression « en veilleuse ». Je crois que c’est ce qu’ils avaient de mieux à faire : la mettre en veilleuse ! Mais qu’ils ne rêvent pas et n’espèrent pas faire oublier leur trahison aux Bihorellais sous peu.
Ils sont responsables des conséquences de leurs votes. Ils se sont préparés "des nuits blanches, des migraines, des nervous breakdown" et je laisse le soin à Raoul de rédiger l'ordonnance.
Donnez leur le « bonjour d’Alfred » lorsque vous les croiserez dans les rues de « Bois Guillaume » ex Bihorel ou sur le marché de la place de l’ex mairie. N’hésitez pas plus qu’eux n’ont douté au moment de bafouer notre vote du 26 juin.

Ne nous contentons pas des porteurs d'eau, reste les instigateurs de la fusion: Freluquet&Co. Je crois qu’il faut les accompagner dans leur suicide politique. Et pour cela, je vous suggère d’adresser vos indignations et votre courroux à leurs patrons politiques comme je l’ai déjà fait auprès de Jean François Copé et d’Hervé Morin (1). Il faut qu’au moment des investitures « pour le  mandat qui m’intéresse » Pascal Houbron soit tricard et que la droite sache que sur la deuxième circonscription, des républicains et patriotes de tous bords, sont prêts à voter tout et n’importe quoi afin que le postier Pascal Houbron retourne oblitérer les timbres au centre de tri de Bois Guillaume.

Cher Freluquet, nous ne vous lâcherons pas. 
Et comme l’on dit dans le sud « que le cul te gratte et que tes bras se raccourcissent »

Vive Bihorel Libre !

Manu ad ferum
CD
(1) email Jean François Copé: 
jfcope@assemblee-nationale.fr  
ou:  http://jeanfrancoiscope.fr/wordpress/

contact Hervé Morin:
http://www.hervemorin.fr/

Bihorel en question, numéro 14 de la lettre de Fred Duval.


Mes Chers Compatriotes, nous avons été quelques uns à essayer de vous ré-informer face aux machines d'enfumage et de vaselinage de citoyens qu'incarnaient dans ce débat sur la fusion, KPMG, Etat d'Esprit et JP Tiffon. Avec nos faibles moyens nous ne nous en sommes pas trop mal sorti, si l'on en juge par le résultat de la consultation du 26 juin. Après, contre des voyous, la parole ne peut plus rien.....

Je mets aujourd'hui en ligne le numéro 14 de la lettre de Fred Duval (avec un rappel du numéro 13 en ligne ici depuis déjà plusieurs jours) et cela avec toujours la même gourmandise de diffuser des textes pertinents et rédigés avec humour. Il ne vous aura pas échappé par le passé que Fred Duval et moi, nous n'étions pas du même bord. Cela n'empêche pas l'estime. 

Je vous rappelle le principe, vous cliquez sur les liens ci dessous puis sur "Bihorel en question n°13" ou "Bihorel en question n°14" et vous en obtiendrez  des versions pdf.
Rappelez-vous, même en vacances, le cerveau n'a rien contre un peu d'exercice. 

Alors bonne lecture!
CD

Lien vers le numéro 13:
http://www.cijoint.fr/cjlink.php?file=cj201107/cijehLJRRE.pdf

Lien vers le numéro 14:
http://www.cijoint.fr/cjlink.php?file=cj201107/cijNJC6P5J.pdf

mardi 5 juillet 2011

L'intervention de JC Ravenel lors du conseil municipal du 4 juillet.

Mes chers Compatriotes,

Avant de revenir sur cette soirée du 4 juillet 2011, je souhaitais mettre en ligne l'intervention de JC Ravenel lors de ce fameux et fumeux conseil municipal qui a entériné la disparition de Bihorel. Je pense qu'elle fût la seule à mettre, entre autres, aussi efficacement le Freluquet en face de ses contradictions, de ses mensonges, de ses manipulations et de ses propres turpitudes.


Monsieur le Maire,
Mesdames et Messieurs les élus,

                                       Lors des dernières élections municipales, il y avait quatre listes, qui avaient au moins un point commun, elles souhaitaient bonne et longue vie à Bihorel que ce soit pour Bien Vivre à Bihorel, Bihorel avec Vous, J'aime Bihorel  et Vive Bihorel. Trois ans plus tard, deux de ces listes souhaitent la disparition de la commune dont ils avaient tant vanté le Bien vivre trahissant une première fois leurs électeurs.
Dimanche dernier, les Bihorellais se sont déplacés nombreux pour dire une chose aujourd'hui indiscutable : ils ne veulent pas de la fusion. Qu'est ce qui nous permet de dire cela ?
   - Le résultat  est sans appel. Les deux tiers des  suffrages exprimés refusent la fusion
    - Pour atteindre  50% des inscrits, il ne manquait que 325 votants. En imaginant hypothèse absurde, totalement absurde, qu'ils aient tous voté OUI, on en serait à 1240 (915+325) OUI, toujours loin, très loin des 1811 NON. Mais je suppose que 100% de votants n'auraient pas suffi.
-      Tous les quartiers sans exception refusent la fusion.
-      29,5% des électeurs inscrits refusent la fusion c'est à dire 1% de plus que ceux qui ont voté pour votre liste en 2008. Si vous n'acceptez pas le résultat du 26 juin, vous n'auriez pas dû accepter le résultat qui vous a permis d'être élu. C'est en ce sens que j'ai parlé, s'agissant de vous,  de se soumettre ou de se démettre.
-      A Bihorel, la participation aux Européennes de 2009 a été de 41% et aux régionales de 2010 de 46% et leurs résultats ont été validés. Pourquoi en serait il autrement pour la consultation du 26 juin qui se situe dans les mêmes pourcentages ?
Vous cherchez toutes les arguties possibles et imaginables pour refuser le résultat du suffrage universel. Vous allez jusqu'à additionner les électeurs de Bois-Guillaume, alors que jusqu'à preuve du contraire nous ne sommes pas fusionnés. Vous usez de toutes les ficelles politiciennes pour faire croire  que le NON était un OUI en additionnant les abstentionnistes dans le camp du OUI ce qui ne s'est jamais fait. Mais le NON est bien un NON franc et massif.

Il  faut  que ce rejet soit puissant pour avoir résisté au déferlement de propagande, que ce soit avec la brochure d'Etat d'Esprit, le fameux garant, et la non moins éblouissante brochure « Dix ans déjà » qui ont coûté  des dizaines de milliers d'euros aux Bihorellais.

Une fois de plus, mais ce n'est pas une surprise puisque c'est votre réponse politique habituelle vous pleurnichez sur la méchanceté  supposée de vos opposants. Pour vous, si 1811 Bihorellais ont dit NON et seulement 915 OUI, c'est parce que nous recourons au mensonge, à la tromperie. Mais les faits sont têtus. Ainsi quand vous dites et répétez à satiété qu'il y aura deux mairies vous mentez sciemment. Si vous osiez quand même voter la fusion, il y aurait une Mairie centre de décision à Bois-Guillaume et seulement une mairie annexe à Bihorel.

Ensuite ce n'est pas nous mais vous qui programmez une baisse des effectifs de la police municipale. Je lis page 6 de la brochure « débat public » Une équipe d'une douzaine d'agents pourra assurer plus de rondes nocturnes, etc. Actuellement il y a sur les deux communes quinze policiers municipaux. Donc vous nous dites qu'avec moins de policiers municipaux couvrant un territoire plus grand, on ferait plus de proximité.

Puis vous avez écrit que des logements sociaux seraient construits, à Bois Guillaume entre l'autoroute et le Chapitre si la fusion ne se faisait pas alors que la PLU de Bois-Guillaume  classent ces terrains en zone NL c'est à dire en zone naturelle pouvant accueillir des loisirs de plein  air et non des logements. De plus ces terrains  subissent des contraintes très importantes avec la proximité de l'autoroute (réglementation Barnier), la ligne à haute tension et deux zones de marnières très conséquentes.
  
Quel était le but de cette manœuvre de dernière minute ? Faire peur aux habitants du Chapitre et les inciter de ce fait à voter OUI.
Quelle duplicité ! Vous essayez de faire peur avec les logements  sociaux aux habitants d'un  quartier en l'occurrence le Chapitre mais quand vous êtes dans un autre quartier, au plateau des Provinces, vous dites votre  fierté d'avoir des logements sociaux.

Autre exemple qui montre que vous ne reculez devant rien. Écrire que si les Bihorellais votaient NON, Bihorel  deviendrait les Hauts de Rouen.  C'est quand même avoir tous les culots  quand on sait que vous avez voulu, il y  a quelques années,  fusionner Bihorel avec Rouen.

Enfin, dernier exemple de fait. Vous écrivez dans la brochure « débat public » d'Etat d'esprit  « Nous pourrons adopter le principe de la régie directe  de la restauration scolaire de Bihorel à l'ensemble du territoire  de la commune nouvelle. Patatras, Bois-Guillaume vient de confier avec un nouveau contrat, au  secteur privé la restauration  scolaire.

En fait vous n'aimez pas Bihorel. Lors de vos deux mandats, votre préoccupation semble avoir été de faire  disparaître notre commune,  une fois au profit  de Rouen, fusion  que le  courage de certains  de vos élus ont  empêchée, une autre au bénéfice de Bois Guillaume.

Mais ce soir les élus  de la majorité  et vous, êtes à la croisée  des chemins. Il n'y aurait pas eu de référendum, vous auriez pu dire « on vote la fusion » en prétendant  que la population y était favorable. Mais après le référendum ce n'est plus possible. C'est volontairement, consciemment, que si votiez pour la fusion dans quelques minutes, vous diriez le suffrage universel « on s'assied dessus ». Inutile de souligner que ce serait extrêmement grave car le bon sens populaire que j'ai entendu toute la  semaine veut  que les gens  n'imaginent pas autre chose qu'un renoncement à la fusion puisqu'ils ont voté NON.

On n'imagine pas non plus ou difficilement que le premier magistrat d'une commune ne montre pas l'exemple du civisme. Quel exemple ce serait pour les jeunes d'aller contre la volonté du suffrage universel.

Je ne vois pas rationnellement comment vous pourriez, votre majorité  et vous, agir autrement que respecter la volonté profonde des Bihorellais.  S'il en était autrement, même si les gens ont tendance à oublier rapidement et vous comptez là dessus, croyez moi dans ce cas précis la mémoire serait longue, très longue.

Mesdames et Messieurs les élus, chers collègues, notre responsabilité ce soir est grande. Nous ne pouvons pas laisser Bihorel être la première commune française de l'histoire à disparaître contre l'avis de ses habitants.

Jean Claude Ravenel, Vive Bihorel


L'un des arguments des vendus à Bois Guillaume, était que l'opposition n'avait ni argument, ni proposition....! Je les renvoie au programme des dernières municipales de la liste "Vive Bihorel".

Vive Bihorel Libre
Manu ad ferum
CD

lundi 4 juillet 2011

Bihorel: 15 mai 1892 - 4 juillet 2011


Les cons l'ont emporté, question de surnombre aurait ajouté Michel Audiard.
Je ne saurais mieux que lui en ce 4 juillet, résumer à chaud ce pitoyable conseil municipal, du moins de la part des élus de BVAB, qui a donc voté la fusion contre l'avis des Bihorellais.
Mais ce soir, ce qui c'est passé dépasse la simple mort de Bihorel. Pour la première fois sous la 5ème république, des élus sont allés à l'encontre du verdict des urnes et de la volonté des citoyens qu'ils représentent.
Marine a de beaux jours devant elle ! Elle pourra remercier les élus de Bien Vivre à Bihorel.

Rendez vous cette semaine, nous reviendrons sur cette soirée du  4 juillet 2011.

Vive Bihorel, Vive Bihorel Libre !
Manu ad ferum 
CD

dimanche 3 juillet 2011

Démocrates ou Félons ?

Le Freluquet et les 40 voleurs de communes? Réponse demain soir.

        Mes Chers Compatriotes,

L'heure n'est plus aux batailles de chiffres, ni à argumenter pour ou contre la fusion. Nous devons faire front aux révisionnistes du suffrage universel. Les Bihorellaises et Bihorellais ont tranché. Demain soir, 4 juillet, nous saurons quelle est la vraie nature des BVAB: démocrates ou félons voleurs de communes ? Nous saurons si à  Bihorel, la loi est encore celle de la République, loi qui commande, non pas à la lettre mais dans l’esprit que c’est aux élus de se ranger derrière le suffrage universel et de faire appliquer la volonté des citoyens ou si Pascal Houbron et ses berniques se comportent en potentat.
Chers "Nonistes" de droite comme de gauche, retrouvons-nous demain soir dès 18 heures à la mairie pour le conseil municipal qui décidera de la vie ou de la mort de notre commune.
Nous seuls pouvons empêcher que pour Bihorel, sonne le glas.

Vive Bihorel et Vive Bihorel Libre !

Manu ad ferum
Constantin Dragases