"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

jeudi 29 février 2024

Migrants: la vie de Château, merci Darmanin

 




Pendant ce temps des centaines de milliers de Français sont sans abris ou vivent dans des taudis ou encore sont en attente d'un logement social. Il est l'heure de replacer l'église au centre du village, de mettre un terme à l'immigration clandestine, de décider un moratoire concernant l'immigration légale, de reprendre la maitrise de nos frontières et de donner la préférence à nos compatriotes français.

Il faut mettre fin au système Macron / Van der la Hyène de destruction de la France.


C.D 







mercredi 28 février 2024

Urgences patrimoine

 




Vous le savez peut-être ou pas mais la Métropole s'apprête à massacrer le musée d'Histoire Naturelle de Rouen en le fusionnant avec son voisin des Antiquités et en transformant les deux en "Pôle Muséal Beauvoisine". 

Rien que le nom laisse augurer à quels genres de délires bobos, celui que l'on surnomme  le "musée des musées" va être sacrifié. Toujours inspiré par son très givré gourou parisien (Annie Dingo), le Prince de la Métropole nous invite à "inventer collectivement le musée de demain", bref à faire table rase du passé, une habitude de gauche, même si le centrisme bihorellais n'est pas en reste sur le sujet.

La vidéo de l'association "Urgences Patrimoine" nous montre l'ampleur des destructions envisagées et leur coté irrémédiable. Ce musée nous appartient. Il a instruit depuis 1828 des générations d'enfants et d'adultes sur les sciences naturelles et c'est un lieu unique, riche de ses collections, de son aménagement, de son passé et de son histoire.

Si les bobos progressistes de la métropole veulent délirer qu'ils aillent délirer ailleurs et qu'ils ne se rendent pas coupables d'un véritable "patrimonicide".

Si vous souhaitez agir, je vous invite à rejoindre comme moi, l'association "Urgences Patrimoine" et à signer la pétition. (liens ci dessous).

Et puis qui sait ? Cela pourrait nous donner des idées pour sauver notre presbytère du vandalisme communal et/ou collectiviste.

C.Dragasès 











mardi 27 février 2024

Johan Daviet, le papa de Lola, est décédé à l’âge de 49 ans

 



 

"cette femme qui a enlevé la vie de ma fille, elle a tué toute une famille"


Johan Daviet, papa de Lola, décédé le 23 février à l’âge de 49 ans 





samedi 24 février 2024

Samedi soir (rural)

 










Nausée

 



« Les smicards préfèrent regarder des VOD ».

C’est une tentative de transférer la responsabilité de l’effondrement de l’agriculture sur les plus modestes qui n’ont pas les moyens de bien se nourrir.
À vomir.


Guillaume Bigot  sur le réseau social X




vendredi 23 février 2024

Prêche

 



Prêches anti-France, un imam expulsé vers la Tunisie





« La ville de Rouen subventionne les immigrationnistes, l'islam politique et les activistes LGBT ! »

 



Communiqué d’Eve Froger, conseillère régionale de Normandie ⤵️

En 2023, des milliers d'euros d'argent public ont été versés par la mairie socialiste de Rouen à des associations politisées, mais aussi - et c'est encore plus grave - à une association proche des Frères musulmans. 

En effet, 5 000 euros ont été attribués à l'ONG pro-migrants SOS Méditerranée, de même que 1 000 euros pour la Cimade. Toutes participent activement à la submersion migratoire de notre continent et encouragent des milliers de migrants à rejoindre l'Europe au péril de leur vie. 

Les impôts des Rouennais ont également financé le lobby LGBT à hauteur de 3 500 euros. 

Mais le plus inacceptable, ce sont les 15 000 euros attribués à l'Union des Musulmans de Rouen, dont le président, Bachar El Sayadi est aussi un des responsables de l'UOIF représentation officielle du courant des Frères musulmans en France.

Ces exemples de financement par la municipalité socialiste de Rouen constituent un immense scandale. L'argent public, et donc l'argent des Rouennais, ne doit financer ni la propagande immigrationniste, ni l'activisme LGBT et encore moins des proches des islamistes ! 

En subventionnant ces associations, Nicolas Mayer-Rossignol utilise l'argent public au service d'un agenda politique destructeur de notre pays. 

Derrière Eric Zemmour et Marion Maréchal, vous pouvez compter sur les élus de Reconquête pour dénoncer ces financements de la honte !


Eve Froger, conseillère régionale de Normandie et conseillère municipale de Grand-Quevilly




l'Empire du Bien *

 



Télérama ou la résistance en peau de lapin.



* Philippe Muray




Alain Finkielkraut sur la panthéonisation de Manouchian: «Est-ce ainsi que les hommes mentent ?»

 



« Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes

Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants

L'affiche qui semblait une tache de sang

Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles

Y cherchait un effet de peur sur les passants. »


Ces vers d'Aragon mis en musique et chantés par Léo Ferré ont bercé mon adolescence. Et je ne peux pas relire sans que les larmes me montent aux yeux la lettre testamentaire de Manouchian Michel à sa femme Mélinée. J'ai donc suivi avec émotion et gratitude l'entrée au Panthéon des époux arméniens, « Français de préférence ». Cette cérémonie comblait un manque. Il était temps que la nation unanime remercie avec solennité les combattants de la MOI.

Mais, comme souvent, l'hommage a été gâché par les commentaires. « La célébration des résistants immigrés ne peut être dissociée du contexte actuel, celui d'un pays travaillé par la xénophobie attisée par l'extrême droite. Rarement une panthéonisation aura résonné si fortement avec l'air du temps », lisait-on dans les colonnes du journal Le Monde et, mettant en garde contre les risques de récidive, l'historien Johann Chapoutot ajoutait dans Libération que « Manouchian et les sien.ne.s (sic) ne sont pas morts pour la loi immigration, la fin du droit du sol et la répression policière féroce de toutes celles et ceux qui se mobilisent pour un monde humain ». Un régime gangrené par l'idéologie et les pratiques pétainistes s'incline devant ceux qui ont pris les armes contre Vichy. Quel toupet ! Quel cynisme ! Quel scandale !

Jetant tranquillement dans les oubliettes de l'actualité l'antisémitisme d'importation qui conduit les élèves juifs à quitter massivement les établissements scolaires des quartiers dits « sensibles », le journaliste Edwy Plenel et le professeur de sciences humaines Enzo Traverso expliquaient naguère que « l'islamophobie joue pour le nouveau racisme le rôle qui fut jadis celui de l'antisémitisme. Le portrait de l'Arabo-musulman brossé par la xénophobie contemporaine ne diffère pas beaucoup de celui du juif construit par l'antisémitisme au début du XXe siècle ». Malgré les démentis cinglants que la réalité lui inflige jour après jour, cette analogie continue à prévaloir. Et l'on en vient à dire que le contrôle des frontières vise à empêcher tous les Manouchian de la terre de trouver refuge dans notre pays.

Pourquoi alors les professeurs ont-ils peur ? Pourquoi sont-ils de plus en plus nombreux à faire attention à ce qu'ils transmettent et même à s'autocensurer ? Jean-Pierre Obin, dont le rapport sur les signes et manifestations d'appartenance religieuse à l'école a naguère défrayé la chronique, raconte dans son dernier livre cette anecdote édifiante : un président de région décide d'aller passer une journée dans un lycée et s'invite au cours d'histoire. « Oui, Monsieur le président, lui dit, à la sortie, l'enseignant, je viens de faire un cours sur Hitler et le nazisme sans parler des Juifs. C'est vrai, mais comprenez-moi, je n'ai pas envie de retrouver ma voiture vandalisée comme la dernière fois, j'ai une femme et des enfants, je dois être prudent. » Voilà où nous en sommes. Et la guerre à Gaza aggrave encore les choses. L'enseignement de la Shoah est devenu obligatoire, mais dans les territoires que ne cesse de perdre la République, il est pratiquement impossible d'évoquer l'extermination des Juifs et si un professeur téméraire se risque à raconter la tragique épopée de la MOI, il s'abstiendra de mentionner l'origine ethnique de la majorité de ses membres.

Mon père qui, pendant la guerre, avait le statut d'apatride et qui a été déporté à Auschwitz a, au retour du camp, ouvert avec son frère un atelier de petite maroquinerie, rue Jean-Pierre Timbaud, dans le onzième arrondissement de Paris. Il n'y a plus, dans cette rue, de fabriquant ni d'habitant juif. C'est la mosquée Omar désormais qui fait la loi.

Manouchian ne se sentait pas seulement Français « par choix des idéaux de la Révolution de 1789 », comme le dit, toujours impeccablement correct, Le Monde. Il avait choisi la littérature. S'il était « Français de préférence », c'était par Baudelaire, par Verlaine, par Rimbaud, qu'il traduisait pieusement dans sa langue natale. Or que se passe-t-il aujourd'hui ? Comme le dit Jean-Pierre Obin dans son rapport : « Dans certains quartiers, les élèves sont incités à se méfier de tout ce que les professeurs leur proposent, qui doit être d'abord un objet de suspicion, comme ce qu'ils trouvent à la cantine dans leur assiette ; et ils sont engagés à trier les textes étudiés selon les mêmes catégories religieuses du halal (autorisé) et du haram (interdit). » On imagine sans peine dans quelle catégorie doivent être rangées Les Fleurs du mal . Il y a quelque chose d'indécent, en tout cas, à vouloir dissimuler la fracture française de plus en plus béante sous les hauts faits des partisans de la MOI. Ils n'avaient réclamé ni gloire ni les larmes, ni surtout cette ultime manipulation.


Alain Finkielkraut


jeudi 22 février 2024

 

« Celui qui dira que nous sommes condamnés et que c’est pourquoi nous devons combattre jusqu’au bout (comme disent les Russes, tant qu’à mourir, il faut le faire en musique), celui-là ne sera pas un pessimiste. Ce sera un optimiste historique. 

L’optimisme historique signifie qu’on sait la vérité, si cruelle qu’elle soit, et qu’on est déterminé à se battre, quoi qu’il en coûte. L’optimisme historique ne compte sur rien ni personne, sauf sur soi-même et sur la bagarre. »


Alexandre Zinoviev, Nous et l'Occident (1981)




Le monde d'hier

 









mercredi 21 février 2024

Une toupie à béton en guise de cervelle

 




Je crois que nous pourrons attester avoir vu Bihorel disparaitre, attester de ce que Bihorel fut et n'est plus, attester que vingt années auront suffi à lui faire perdre son âme et que l'action d'un seul homme en aura été la cause. 

Maisons détruites, propriétés démolies, jardins et parcs saccagés, bâtiments historiques promis à la destruction (presbytère, théâtre/cinéma des années "30"), Bihorel à l'exemple de sa place de l'église est devenue une commune lambda, sans personnalité à l'image de celui qui la dirige depuis le début de ce siècle. 

L'amateurisme et l'improvisation semblent avoir été érigés en système à Bihorel. J'en veux pour preuve le calendrier des travaux. La "restructuration" de la place  à peine achevée, cette dernière va devoir subir les dégradations dues aux chantiers de démolition et de construction servant les intérêts d'un promoteur alors que les dommages collatéraux resteront eux à la charge du contribuable. Sans compter l'impact sur le commerce local. Je prendrai pour exemple, celui de la pharmacie qui déjà, sera impactée par le déplacement de la maison des médecins vers l'hippodrome (fin premier semestre 2024) et qui va devoir fonctionner à nouveau dans un environnement de chantier pendant des mois. L'existence de notre pharmacie sera-t-elle mise en danger par les approximations municipales ?

Alors sans doute comme moi, mes chers Compatriotes, êtes vous nombreux à avoir envie d'affubler de tous les noms d'oiseaux possibles et imaginables, ces Bihorellais électeurs indéfectibles du fossoyeur de notre commune, ces bas de plafond qui auront reconduit durant un quart de siècle par bêtise et frilosité, un maire dont seule l'appétence pour le béton et la caillasse laissera une trace architecturale et urbanistique à Bihorel.

 Il se froufroute dans les milieux autorisés que ce fossoyeur ne briguerait pas une énième réélection en 2026, puisque, si le mandat qui l'intéresse n'est plus la députation, celui de sénateur ne lui déplairait pas. Enfin surtout l'indemnité parlementaire (6.000 euros net mensuels) et l'indemnité représentative de frais de mandat (7.000 euros / mois) qui vont avec...   

Postier, fossoyeur, sénateur: une vie bien remplie.


C.Dragasès




mercredi 14 février 2024

Carême 2024

 



Bon Carême 2024 à tous !


« Profitons donc bien de ces quarante jours, et faisons nous un devoir d'amasser comme une provision, par nos jeûnes, nos prières et nos lectures, pour nourrir notre âme tout le reste de l'année. Durant ces quarante jours, nous devons nous considérer comme rescapés de la  mer et des tempêtes de ce monde, et comme arrivés à l'abri dans le port de la sainte quarantaine : le repos, le calme et le Silence qui y règnent, semblent nous inviter à mettre cette divine Parole en réserve  dans notre cœur, afin que, tout occupés, par la Miséricorde de Dieu, du  désir et de l'amour de la Vie éternelle, nous mettions tous nos soins, en ce temps précieux, pour réparer et remettre en bon état ce que les  différentes tempêtes essuyées pendant l'année auraient brisé, désuni,  gâté et perdu dans la barque de notre âme. »


Saint Césaire d'Arles (470-542)

Sermon sur le Carême





samedi 10 février 2024

Samedi soir (pluvieux)

 









Déjections

 


Qui est l'auteur de ces déjections sur notre place de l'église et qui ne les a pas recouvertes ?


Il est exact que cette place manquait singulièrement de minéralité ! 

Quant à l'auteur, j'ai quelques soupçons...


C.D





vendredi 9 février 2024

Lamentable et désespérant

 



  Alors que la France sent le sol se dérober sous ses pieds que la Nation semble vouée à s'abimer dans le précipice qui s'ouvre devant elle, l'exécutif s'adonne au petit jeu de la politicaillerie avec pour unique but de rester en poste et ne pas avoir à transmettre les codes de l'arme nucléaire à Marine Le Pen en 2027. 

Vincent Tremoler de Villers déclarait ce matin "Platon écrit quelque part que la démocratie peut tourner à la théâtrocratie, c’est-à-dire que la vie publique n’est plus qu’un mauvais théâtre : nous y sommes. La pièce du remaniement était poussive, son intrigue pauvre et son dénouement accablant.".

C.D





mercredi 7 février 2024

7 octobre 2023

 




Émotion et désarroi. 42 familles brisées, 42 visages de Français assassinés par les terroristes islamistes du Hamas. Hommage de la Nation. Seule fausse note, quelques ordures LFIstes dans l'assistance.

7 octobre 2023, le retour de la Shoa par balles comparable à celle que les nazis des Einsatzgruppen perpétuèrent à l'encontre des Juifs entre 1941 et 1945 dans les pays baltes et en Ukraine.  

Prions pour ces 42 Français tués le 7 octobre 2023 parce que de confession juive, pour leurs familles également et aussi pour ceux qui sont encore otages des islamistes.

Le Président parle d'une "France unie" mais soyons lucides, mes chers Compatriotes, la vermine a pris ses quartiers dans nos villes et nos campagnes.

Traduisons nos inquiétudes et notre volonté de reconquête avec nos bulletins de vote dans les urnes avant d'avoir à le faire, armes à la main.

C.D



 

La France des Indécents

 









mardi 6 février 2024

 

"Être gouverné, c'est être gardé à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré, réglementé, parqué, endoctriné, prêché, contrôlé, estimé, apprécié, censuré, commandé, par des êtres qui n'ont ni le titre, ni la science, ni la vertu... Être gouverné, c'est être, à chaque opération, à chaque transaction, à chaque mouvement, noté, enregistré, recensé, tarifé, timbré, toisé, coté, cotisé, patenté, licencié, autorisé, apostillé, admonesté, empêché, réformé, redressé, corrigé. C'est, sous prétexte d'utilité publique, et au nom de l'intérêt général, être mis à contribution, exercé, rançonné, exploité, monopolisé, concussionné, pressuré, mystifié, volé ; puis, à la moindre résistance, au premier mot de plainte, réprimé, amendé, vilipendé, vexé, traqué, houspillé, assommé, désarmé, garrotté, emprisonné, fusillé, mitraillé, jugé, condamné, déporté, sacrifié, vendu, trahi, et pour comble, joué, berné, outragé, déshonoré. Voilà le gouvernement, voilà sa justice, voilà sa morale ! Et dire qu'il y a parmi nous des démocrates qui prétendent que le gouvernement a du bon ; des socialistes qui soutiennent, au nom de la Liberté, de l’Égalité et de la Fraternité, cette ignominie ; des prolétaires, qui posent leur candidature à la présidence de la république ! Hypocrisie !"


Pierre-Joseph Proudhon, Idée générale de la Révolution au dix-neuvième siècle, 1851.





vendredi 2 février 2024

L'élimination des Koulaks par les maastrichtiens

  

Campagne de mon enfance



  Nos Paysans peuvent être fiers d'eux mêmes et nous d'eux. Ils sont de ces rares Français qui relèvent la tête devant ce qu'on nous présente comme "l'inéluctable", je veux parler de la mondialisation. 

Un Paysan n'est pas une personne ordinaire. Son A.D.N vient de la nuit des temps. Il a façonné la France avec les moines depuis quinze siècles, modelé nos paysages, nourri les générations de Français depuis Clovis. Le Paysan fut soldat pour la France, son nom est gravé sur les milliers de monuments aux morts qui se dressent encore dans nos villages. Nous leur devons tant ! 

Nos anciens étaient Paysans. Du coté de ma mère, mon arbre généalogique remonte au XVIIème siècle, au cœur du Pays de Caux à Doudeville et ses environs. Pendant deux siècles, ils ne se sont pas éloignés de plus de vingt kilomètres de la capitale du Lin. Cultivateur, tisserand, la glaise collée aux sabots. Et nous sommes des millions en France qui ayons ce type de lignée.

D'ailleurs cela s'est vu par l'accueil qui leur fut réservé par leurs compatriotes dans les villages traversés par les convois de tracteurs qui convergeaient vers Paris. La population applaudissait ces résistants de ce monde d'avant qui ne veut pas mourir. Une montée vers la capitale qui prit des allures de caravane du Tour de France, a-t-on dit.

Ils se sont conduits en hommes civilisés. Pas de vandalisme, ni de pillage. "On n'est pas les mêmes, on n'a pas de boule de pétanque dans les poches, on ne va pas vous taper dessus, on n'a pas le même accent, nous c'est celui du sud" ironisait un responsable paysan demandant à ses camarades de lever les mains en l'air, devant les policiers venus leur faire barrage. C'est sûr, ce n'était pas des français de papiers mais la France du terroir, celle de la terre et des morts. 

On leur a beaucoup promis à nos Paysans pour qu'ils rentrent chez eux. Beaucoup menti aussi. Les professionnels du spectacle ont dû en déployer du talent ! L'acteur de l'Élysée a bonimenté sur les tréteaux bruxellois. Il adore ça, baratiner, dire tout et son contraire. Hier, nos Paysans ont eu droit au discours du Macron des jours pairs. Mais demain sera un jour impair, avec un nouveau discours. Car qui peut croire que la commission de Bruxelles et ses petits commis vont renoncer à leurs politiques iniques et imbéciles de destruction de l'agriculture européenne? Le Mercosur est en mode pause le temps que l'orage passe mais quid des accords avec la Nouvelle Zélande, le Chili et tant d'autres ? On nous explique que ces accords sont du donnant/donnant, que l'Europe va fourguer au Chili des bagnoles à moteur thermique (interdites en U.E dès 2035) contre de la viande. On notera au passage que tel le nuage de Tchernobyl, le CO2 des voitures thermiques restera au dessus du continent sud américain et n'influera en rien les modifications climatiques en Europe. Pascal Canfin et toute sa clique, nous prennent pour des jambons.

Et pourquoi donc,  avons nous besoin du Chili ? Pour ses métaux et terres rares qui sont indispensables à la fabrication des batteries électriques pour voitures du même nom. Ainsi, c'est par idéologie que la commission européenne va sacrifier l'agriculture européenne. Par écologisme, ils vont flinguer notre agriculture et notre secteur du bâtiment comme ils flinguèrent naguère notre industrie. 

Dans cette Europe aux normes et au fonctionnement de plus en plus soviétique, qui se construit sans et contre les peuples, les ministres français depuis quarante ans ont oublié que "Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France". Mais qui se souvient encore du vieux Sully, maréchal de France et ministre d'Henri IV ? L'enseigne-t-on encore de nos jours aux jeunes Français dans les cours d'Histoire de France, si cela existe encore ? 

Alors ce matin, en prenant le chemin du retour vers leurs fermes, nos Paysans étaient moroses car contraints et forcés de rentrer puisqu'eux ne peuvent pas se permettre de faire grève ou manifester pendant des semaines. Ils ne sont ni enseignants, ni cheminots. La terre, si elle ne ment pas, n'attend pas non plus.

Nos Paysans restent sur leur faim, avec aussi un peu le sentiment  de s'être fait blouser. Qu'on leur a en plus manqué de respect,  en leur envoyant des blindés et en les mettant  en garde à vue dans ce pays où l'on a bien souvent beaucoup plus d'égards envers la racaille et le clandestin. 

Mais nos Paysans ne rentrent pas chez eux dupés par les bonimenteurs. Ils jouent leur peau et l'acteur de l'Elysée aurait tort de chercher à leur faire à l'envers.

Et nous, comment pouvons nous les aider ? D'abord en étant encore plus des consommateurs avertis et responsables dans nos achats et qui privilégient les produits français. Ensuite, en envoyant le 9 juin prochain, date des élections européennes, un maximum de députés Reconquête! , Rassemblement National et Debout la France afin de nous débarrasser des usurpateurs de Bruxelles, de recouvrer notre souveraineté agricole, industrielle et énergétique.

Il ne s'agit pas de quitter l'Europe mais de faire un "Bruxit", de se débarrasser de cette commission européenne, composée de politiciens défaits dans leurs pays et recyclés dans cette instance qui décide de tout, toute seule, sans légitimité populaire et de redonner à cette commission le rôle que le Général de Gaulle lui allouait en 1967. Il en va de l'avenir de la France et de celui de l'Europe. 

Si rien ne change, alors l'élimination des Koulaks par les maastrichtiens ira à son terme.   


C.Dragasès 





jeudi 1 février 2024

Sortir de l'asile bruxellois et de l'écologisme