"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

mercredi 31 janvier 2024

lundi 29 janvier 2024

L'alliance du tracteur et du goupillon

 




 A Bergerac, un prêtre bénit le convoi des Agriculteurs en Colère du Lot et Garonne. 29/01/2024

La France éternelle des paysans et de l'Église Catholique.





samedi 27 janvier 2024

Samedi soir (avec Gabriel et ses conseillers en Haute Garonne)

 










" Icône réactionnaire "

 



L'un des plus grands écrivains contemporains français s'est trouvé être la cible, cette semaine, d'une pétition imbécile menée par des esprits médiocres. Ces écrivaillons contestaient le choix de Sylvain Tesson comme parrain  de l'édition 2024 du printemps des poètes par Sophie Nauleau.

Considéré comme une icône " réactionnaire" par les plumitifs pétitionnaires, Sylvain Tesson a choisi de ne pas répondre à ces attardés staliniens.  
La bêtise, l'intolérance et la jalousie furent, cette fois encore, l'apanage d'écrivains de gauche sans talent.


C.D







mercredi 24 janvier 2024

Voyage en Absurdie, la tribune de FX Bellamy

 


Cliquez sur l'image pour l'agrandir





Éparpillement et discrimination "positive"

 



Le Figaro TV - 23 janvier 2024


 



mardi 23 janvier 2024

Jour de deuil

 


Alexandra Sonac, jeune paysanne tuée ce matin sur un barrage en Ariège, barrage forcé par une voiture dont les trois occupants étaient sous le coup d'une OQTF.

Elle se battait pour simplement pouvoir vivre de son travail.

Qu'elle repose en paix. Mes prières pour le repos de son âme et en soutien de ses proches qui luttent toujours à cette heure, contre la mort.

C.D





dimanche 21 janvier 2024

Jacquerie

 




"On a des agriculteurs qui gagnent moins que des demandeurs d'asile"


Éric Zemmour 









21 janvier 1793

 



« Je vous le jure, dans toute la sincérité de mon cœur, comme un homme qui va paraître devant Dieu, j’ai constamment voulu le bonheur du peuple et n’ai pas formé un vœu qui lui soit contraire. » 


Louis XVI





vendredi 19 janvier 2024

Domestiques pour Bobos

 



« Hier, on avait des boys, aujourd’hui on a des livreurs de pizzas et des nounous à domicile. L’évolution des centres-villes en témoigne : à terme, on n’y trouvera plus que des bobos et des domestiques issus de l’immigration, convenablement exploités en toute bonne conscience au nom des lois du marché. C’est aussi une forme évidente de racisme de classe. 

Dans la France périphérique, les choses ne se passent pas comme ça. Les classes populaires, qui représentent près d’un Français sur deux, sont les plus hostiles à l’immigration parce que, contrairement aux habitants des beaux quartiers, ce sont elles qui en subissent de plein fouet les conséquences. Les classes populaires stigmatisées, les classes moyennes désaffiliées vivent aujourd’hui une triple insécurité : culturelle, politique et sociale. La sociabilité à la française est souvent leur seule référence culturelle, mais elles ont aussi besoin d’un État social et protecteur. C’est la raison pour laquelle le social et le culturel sont strictement indissociables dans leur hiérarchie d’attentes. C’est pour ne l’avoir pas compris qu’Éric Zemmour a perdu son pari, qui visait à réactiver le clivage gauche-droite, en abandonnant le social à la gauche. »


Alain de Benoist





jeudi 18 janvier 2024

La France des Infâmes

 





 

Des pas sur la neige

 






Prenez un peu de temps pour vous, aujourd'hui. Admirez des choses simples comme un jardin sous la neige avec dans la tête, ce prélude de Claude Debussy.


C.D






mercredi 17 janvier 2024

Soliloque

 

La Gaule aux Gaulois


Je dois confesser, mes chers Compatriotes, m'être assoupi à plusieurs reprises lors de l'interminable conférence de presse de notre foutriquet. L'excellent Saumur-Champigny 2015 de Thierry Germain qui m'accompagna en la circonstance, y fut sans doute pour quelque chose mais à l'évidence moins que le coté insipide et lassant des propos tenus à l'Elysée.

Notre industrie est chétive, on assassine notre agriculture, notre dette atteint 3000 milliards, notre hôpital est à l'agonie, notre armée est exsangue, nos frontières sont des passoires, la violence retrouve un niveau jamais atteint depuis le début du 20ème siècle, des parties de plus en plus vastes de notre sol sont occupées par des narco-islamistes, la misère touche de plus en plus de Français, l'école s'effondre et tous les services publics avec elle mais foutriquet soliloquera deux heures durant, visiblement assez satisfait de lui-même.

Individu hors-sol, Macron vit dans un village Potemkine que ses conseillers lui ont confectionné. " Éole " devait pourtant nous déclencher un cyclone pour donner un second souffle à son quinquennat. On allait voir ce que l'on allait voir ! L'audace en serait le viatique et le destin funeste promis à la France serait pris à contre pied par ce général Bonaparte de l'ère numérique qui s'apprêtait à réarmer notre nation. 

Hélas, mille fois hélas, l'épopée promise et tant attendue ne vint point et nous eûmes droit à une petite promenade dans une galerie commerciale située en lisière de ville, guidés par un manager commentant ses mérites et performances pour nous démontrer qu'en dehors de sa marque de lessive, point de linge propre à l'avenir.

Finalement, j'ai retenu deux choses. La première, c'est une contradiction: Macron affirme vouloir réunifier la nation mais il ostracise 42% des Français, ceux qui ont voté pour Marine Le Pen. 

La deuxième chose, c'est une observation de Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, commentant ce matin les propos du président : 

« On a entendu le prénom Nahël mais pas celui de Thomas ».


Peut-être une dernière chose, encore: "Pour que la France reste la France" déclara un Macron reprenant ainsi mot pour mot, le slogan de campagne d'Eric Zemmour en 2022. Mais, pour y parvenir, encore faut-il en avoir la volonté, être patriote et démocrate. Assurément, Macron n'est ni l'un, ni l'autre mais juste un comédien qui peine à poursuivre et terminer son spectacle quinquennal. 


C.Dragasès




mardi 16 janvier 2024

Autocritique

 


La ministre de l'Education Nationale Ouéda-Castera avec son époux en pleine séance d'autocritique, ce matin à l'école publique Littré, devant les enseignants gauchistes et les syndicats de gauche qui détruisent l'école depuis quarante ans. 





dimanche 14 janvier 2024

Fille ainée de l'Eglise

 




 Voici la première et peut-être, l'une des rares bonnes nouvelles de l'année 2024.

La reconstruction à l'identique de la charpente de Notre Dame de Paris est achevée. Alliance du savoir faire ancestral de nos artisans charpentiers et de la richesse de nos forêts millénaires. Une réalisation de la France éternelle, en quelque sorte.

Cependant, mes chers Compatriotes, rappelons-nous que l'origine de l'incendie qui faillit détruire en 2019 à tout jamais notre cathédrale, cœur de la France, nous est toujours cachée. Craintes de l'oligarchie d'une Saint Barthélemy en mode 21ème siècle ? 

Cela me fait penser à ces "faits divers" relatés au quotidien par une presse servile qui francise ou occulte les noms et prénoms des auteurs, lorsqu'ils ne  figurent pas dans le calendrier grégorien.



C.D 






samedi 13 janvier 2024

Charabia

 





 Mes chers Compatriotes, les vœux de notre petit marquis, ne seraient pas vraiment ses vœux s'il ne s'y glissait quelques fautes d'orthographe, de grammaire, erreurs de conjugaison ou de syntaxe, les unes n'excluant pas les autres. 

Soyons rassurés, cette année encore, la tradition est respectée ! Je ne vous ferai pas l'injure de vous les indiquer: vous les avez déjà relevées vous même à la lecture de son tweet.

Laissons la forme pour nous intéresser au fond, même si la forme, c'est le fond qui remonte à la surface, écrivit Victor Hugo.

Paraphrasant médiocrement Alfred Caron (premier maire de notre commune) qui déclarait le 15 mai 1892 " Bihorel qui dans quelques années sera un des plus beaux joyaux de la couronne qui entoure la ville de Rouen", notre petit marquis indique vouloir faire en 2024, tout ce qui est en (et non pas "dans", mon cher Houbron) son pouvoir pour maintenir Bihorel comme la commune la plus attractive de la métropole. 

Tout d'abord, je ne suis pas certain qu'elle le soit restée depuis le début des années "2000", mais lorsque chaque mètre carré est traqué pour être bétonné, il est certain que l'on s'éloigne de l'objectif énoncé.

Enfin, comment en 2024, être une commune attractive alors que l'on n'a plus de piscine sur son territoire ? La réponse tombe sous le sens : impossible.

C'est l'occasion pour moi de revenir sur la "concertation" du 26 novembre dernier. En vérité, cette histoire était bel et bien une affaire de cornecul. Je ne reviendrai pas en détail dessus, ayant déjà largement dénoncé l'escroquerie, mais tout était organisé pour que notre piscine ne rouvre jamais. Le simple fait d'avoir soumis son destin au vote des Isneauvillais, montrait que l'on ne souhaitait qu'une seule chose: la disparition définitive de la piscine de Bihorel.

Auriez-vous, mes chers Compatriotes, voté en faveur d'un nouvel impôt qui aurait servi à financer le fonctionnement d'une piscine à Isneauville, commune située à plusieurs kilomètres de Bihorel ? Non, évidemment ! Eh bien les Isneauvillais ont réagi comme vous l'auriez fait. 

 


Il suffit de voir l'air goguenard qu'ils affichaient tous lors de l'annonce des résultats de la consultation du 26 novembre pour se persuader que tout cela n'était qu'une farce à l'issue bien prévisible. Houbron se gausse, Théo Pérez se gondole, le DGS de Bihorel glousse et l'adjoint aux finances (derrière Houbron) affiche la mine satisfaite de celui qui vient de se débarrasser d'une grosse patate chaude. Seule Sylvie Laroche, maire d'Isneauville, semble mesurer le gâchis qui s'annonce.

Enorme gâchis dont notre petit marquis est le principal responsable. Pourquoi avoir attendu 7 ans pour une réhabilitation à neuf millions d'euros alors qu'en 2016, une remise aux normes n'en coutait que trois ou quatre ? Depuis 2016, la Transat nous a couté chaque année plusieurs dizaines de milliers d'euros, dépensés uniquement pour la laisser se dégrader doucement mais sûrement. Et maintenant, il va falloir payer Bois Guillaume pour récupérer le foncier (un comble !) et payer plusieurs millions d'euros pour la démolition ! "La bonne gestion qui est la notre" nous raconte-t-il sans rire ! 

Pour vous convaincre définitivement que la volonté de Pascal Houbron était bien de se débarrasser de notre piscine, je vous invite, mes chers Compatriotes à visionner les premières minutes du dernier conseil municipal (12/2023) en suivant ce lien CM Bihorel 14/12/2023

Vous y verrez notre petit marquis à son summum, encore plus arrogant, méprisant et suffisant qu'à l'accoutumée. Et pourquoi donc ? Parce qu'une conseillère d'opposition ose un crime de lèse petit marquis en reparlant de notre piscine. Pour lui, le chapitre est clos, pas question de remettre le sujet sur le tapis, bon débarras ! Trop content d'avoir évacué la piscine du champ communal, il ne veut plus jamais en entendre parler, ni imaginer ou réfléchir à un projet alternatif, moins ambitieux donc moins onéreux. Réfléchir et/ou imaginer, il ne faut pas trop lui en demander. 

La réouverture de notre piscine municipale est une question de volonté politique. L'argent existe, subventions, meilleure utilisation de l'argent public dans le budget de la commune, économies dans les frais de fonctionnement etc...D'ailleurs, comme le rappelait un membre du groupe Bihorel-plateau des provinces, sur facebook, la lecture du rapport d'orientations budgétaires 2023 "montre de belles marges de manœuvre pour financer le fonctionnement de la piscine". Jean Claude Ravenel ne disait pas autre chose dès la fermeture de 2016.

C'est un sujet dont l'opposition municipale doit s'emparer à bras le corps et en faire un de ses axes majeurs pour la prochaine élection municipale de 2026. Deux tiers des Bihorellais se sont exprimés "pour" la réouverture de leur piscine", il y a là un gisement électoral évident et un souhait clair de la population.

Mes chers Compatriotes, en 2011 à 66%, nous refusions l'annexion de Bihorel par Bois Guillaume, mais notre petit marquis passait en force et réalisait la fusion. En 2023 à 60%, les Bihorellais votent pour la réhabilitation de leur piscine. Nonobstant, notre petit marquis acte sa fermeture définitive. L'art d'aller à l'encontre de la volonté populaire et de son expression démocratique, érigé en mode de gouvernance.

Pascal Houbron laissera dans la mémoire collective des Bihorellais, le souvenir d'un bétonneur de la commune et d'avoir été celui qui par son impéritie, causa la fermeture de leur piscine municipale inaugurée en 1972.  

En somme, 25 ans de mandat pour un bond de 50 ans en arrière...

Chapeau bas, Monsieur le Maire !


C.Dragasès



à relire sur le sujet mon billet du 25/11/2023

Chefaillons locaux, margoulins et piège à cons


 

 






mardi 9 janvier 2024

Nomination

 



C'est finalement le "moulin" (à paroles) qui a été retenu. C'est un pur bobo parisien et expert en communication. D'ailleurs tout ce cirque autour du remaniement, n'est que communication, diversion, histoire d'occuper les médias avec le lot de supputations habituelles. On croit dans les sphères du pouvoir que le bon peuple regardera le bout du doigt du sage et oubliera un temps, ses fins de mois qui commencent le "10", ses pieds et meubles dans l'eau ou encore "le bruit et les odeurs" du voisinage. 

Le feuilleton va continuer avec les hypothèses concernant les nominations. Les "experts" vont pronostiquer avant d'analyser. Puis viendra le premier conseil avec la traditionnelle photo sur le perron. On en a pour jusqu'à dimanche soir, minimum. Puis s'en suivront les commentaires sur ses premières "audaces" et les premiers signes d'un nouveau style "qu'il va imprimer". L'écume des vagues, en quelque sorte.

Pourtant rien de bien nouveau sous le ciel gris de Matignon. Le jouvenceau est un "mini moi" du foutriquet et le fond de sauce de sa politique sera le même que celui de ses prédécesseurs depuis Maastricht et le traité de Lisbonne. 

D'ailleurs, j'espère qu'il parle l'allemand couramment, le jouvenceau, car son véritable patron, ce n'est pas le foutriquet de l'Elysée mais l'Impératrice Van der la "Hyène", qui chaque matin lui indiquera la direction à suivre et veillera à ce que le jouvenceau respecte bien la "diszipline" européenne. Mais depuis l'école alsacienne, il a toujours été un bon élève respectueux des consignes.

Tout cela ressemble aux "combinazioni" d'une bande organisée qui ne veut pas lâcher le pouvoir et surtout pas le rendre au peuple.  

Pauvre France et pauvres Français.  


C.Dragasès





jeudi 4 janvier 2024

Le début ?

 



Serait-ce le début ? ça pourrait commencer ainsi. Comme disait Coluche "un feu de paille qui a fait boule de neige". 

Les agriculteurs français sont à bout, comme beaucoup d'autres catégories sociales et professionnelles . Les agriculteurs allemands font des défilés montres sur les autoroutes avec leurs tracteurs. Personne n'en parle, ni les politiques, ni les syndicats, ni les médias nationaux.

Pour quelle raison ? C'est sans doute le signe que cela fiche la trouille à tout le monde, cette étincelle qui provoquerait l'incendie que ni les politiques français ni
 européens ne maitriseront. 

Le début du renversement de la table et de la reprise en main par les peuples de leur destin ?

Et pourquoi pas ?


C.D











mercredi 3 janvier 2024

Le dernier Mohican de la France d’avant

 



 " Il fut l’un des derniers témoins d’une France millénaire et qui s’abîme. Patrick Buisson plongeait ses racines dans le carré magique médiéval de Charles Seignobos : les cathédrales, la courtoisie, la chevalerie, le corps des villes. Il appartenait à un monde révolu et se laissait porter par une passion pour la France qu’il coloriait de son imaginaire : celle des attachements vitaux, de la commensalité familiale et des socialités villageoises. Le marin de grand temps qui s’est éloigné du remblai des Sables-d’Olonne vers la haute mer et qui s’est échoué au large sans crier gare, sans même allumer une quelconque balise de détresse, demeurera comme le dernier Mohican de la France d’avant. ".


  Philippe de Villiers