"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

lundi 25 septembre 2023

Ce Pape ne m'aime pas






Le Pape n'aime pas ce que je suis : un Français de vieille souche

Le Pape n'aime pas mon pays, la France, pour son passé colonial. Il oublie ce que la France fit au cours des siècles, par les croisades qu'elle mena, pour l'Eglise Catholique et l'évangélisation que les missionnaires français accomplirent partout dans le monde et spécialement en Afrique et en Asie.

Le Pape n'aime pas la civilisation européenne, il la considère comme morte. Il n'aime pas l'Europe dont il veut faire le déversoir de l'Afrique et qu'il entend, spirituellement, abandonner à l'Islam. 

Le Pape déteste l'âme qui est en moi et qui est faite de milliers de parcelles qui survécurent à des milliers de morts, comme l'écrivait Maurice Barrès dans L'Homme Libre.

Non, le Pape ne m'aime pas. 

Cela tombe bien, moi non plus, je ne l'aime pas. 

Pour toutes les raisons évoquées précédemment, mais aussi parce que ce Pape a transformé l'Eglise Catholique en une ONG bienveillante pour les migrants qui par leur nombre, nous remplaceront et feront disparaitre notre civilisation judéo chrétienne et gallo romaine. Nous aussi, Français de souche et de branche, nous avons le droit de survivre et de transmettre à nos enfants ce que nos ancêtres nous ont légué. Des enfants qui ont le droit de vivre sur la terre de leurs aïeux selon les traditions et les us et coutumes millénaires françaises. Nous avons le droit d'exiger et de faire ce qui est en notre pouvoir, pour que la France reste la France.

Je n'aime pas ce Pape rempli de compassion pour les migrants mais qui ignore et méprise les chrétiens d'orient, tout comme les Arméniens qui au moment où je rédige ces lignes, vivent un ethnocide au Haut Karabakh dans l'indifférence générale et en particulier, celle de ce Pape.

Je n'aime pas Bergoglio, Pape qui n'a pas de compassion pour les Français meurtris et la fille ainée de l'Eglise.

Mais laissons le dernier mot à Jean Raspail, qui voilà cinquante ans en 1973 dans son roman "le camp des saints" avait tout anticipé:


« On ne pouvait rien attendre d’autre d’un pape brésilien ! Les cardinaux voulaient un pape novateur, au nom de l’Église universelle, ils l’ont eu ! Je l’ai bien connu, du temps qu’il était évêque et agitait l’Europe au récit des misères du tiers monde. Je me souviens de lui avoir dit un jour qu’en voulant affaiblir la mère indigne, il n’en frustrerait que mieux les enfants. Et savez-vous ce qu’il m’a répondu ? Que seule la pauvreté est digne d’être partagée ! Il tient ses promesses. »




C.Dragasès

 




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire