"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

vendredi 10 juin 2022

Pas une voix pour un premier sinistre

 



Mélenchon est entré en politique en 1976. C'est dire si le dernier qui l'a vu bosser, comme disait Coluche, n'est pas jeune. En plus de quarante ans, il aura tout fait, de conseiller municipal à ministre, en passant par sénateur, député français, conseiller régional, député européen, mais jamais qualifié pour la finale "Présidentielle" d'où une frustration qui explique beaucoup de choses le concernant. Ce type grenouille dans le marigot politique et en vit depuis des décennies. J'ai connu, jadis, un Mélenchon qui mettait son intelligence et sa culture au service d'une gauche républicaine et laïque, un Mélenchon qui posait souvent de bons diagnostics mais dont les remèdes faisaient faire la grimace. Ceci posé, n'oublions pas, mes chers Compatriotes, que Mélenchon vota en faveur du traité de Maastricht et que par conséquent, il a sa part de responsabilité dans la situation que connait la France de nos jours.

Mais le pire ennemi de Mélenchon, c'est Mélenchon lui-même. Depuis quelques années, c'est le vieil acariâtre et cabotin qui a pris le dessus et son coté méprisant, agressif avec. Politiquement, l'ex-mitterrandien a rebroussé chemin pour s'en retourner vers ses premiers amours et retrouver l'extrême gauche avec laquelle il compte instrumentaliser l'électorat des zones islamisées et bâtir ce qu'il appelle "la Nouvelle France" qui a pour pendant, la destruction de la France éternelle, celle qui a recueilli Mélenchon et qu'il déteste depuis son départ du Maroc où il est né. Bref l'idiot utile, d'un islam qui se débarrassera de lui après la conquête pour achever la soumission.  

Mélenchon, aujourd'hui, n'est plus qu'une caricature de lui même, une diva avec tous ses caprices qui joue dans l'opérette de la révolution exotique et romantique sud américaine, le rôle d'un révolutionnaire au costume de torero à paillettes. Triste fin.   

Cependant, à court terme, Mélenchon reste, en utilisant un peuple abêti et déculturé, un danger pour la république mais surtout pour la France. C'est un agitateur qui a pour but l'insurrection menée par un ramassis d'islamogauchistes afin de balayer nos valeurs et de renverser toutes nos institutions de la Vème république, y compris et surtout notre police nationale, pour établir en lieu et place un régime autocratique où les milices islamogauchistes feront régner la terreur partout et en particulier dans les soi disant assemblées "constituantes" qu'il affirme vouloir mettre en place. Viendra ensuite, le temps de l'élimination des Koulaks.   

En s'alliant sans condition à Mélenchon, la gauche sociale-libérale a renié ses principes par électoralisme même si sur le terrain la frontière a toujours été poreuse entre la gauche "islamo-narco" et  la gauche "bobo".  Dans ses discours et prises de positions, la gauche n'avait pas été aussi sectaire depuis bien longtemps et l'outrance est son inspiratrice. 

C'est autour de la Nupes qu'il convient aujourd'hui et particulièrement dimanche prochain de dresser un cordon sanitaire entre la France et cette gauche communautariste, soumise à l'islamisme et à la racaille, qui s'est placée hors de la république en renonçant à la laïcité et en combattant l'ordre républicain.  


Dimanche, mes chers Compatriotes, pas une seule voix pour l'anti-France. 

Et surtout, vive la France !


C.Dragasès






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