Dessin paru dans MariannePar Renaud Camus
M. Éric Zemmour est pour notre peuple une des dernières voix audibles dont les propos ont quelque rapport avec ce qu'il observe quotidiennement et ce qu'il éprouve jour après jour. Que les puissances de la répression médiatique parviennent à le faire taire après tant d'autres, quelques-uns des tout derniers liens seront tranchés entre ce qui survient et ce qui se dit, entre l'expérience et la parole, entre la réalité physique et sensible des jours, d'une part, et l'endoctrinement permanent d'autre part : on entrera sans restriction dans la fiction totale et dans le monde imaginaire que fomentent de toutes leurs forces les champions d'une humanité nouvelle elle-même imaginaire. Le seul critère à retenir pour juger des propos de M. Éric Zemmour, ce n'est pas de se demander s'ils sont conformes ou non à la formidable vulgate de l'anti-racisme dogmatique, mais de se poser cette question simple et de partout chassée : sont-ils vrais ou ne le sont-ils pas ?
Paris, samedi 20 mars 2010
M. Éric Zemmour est pour notre peuple une des dernières voix audibles dont les propos ont quelque rapport avec ce qu'il observe quotidiennement et ce qu'il éprouve jour après jour. Que les puissances de la répression médiatique parviennent à le faire taire après tant d'autres, quelques-uns des tout derniers liens seront tranchés entre ce qui survient et ce qui se dit, entre l'expérience et la parole, entre la réalité physique et sensible des jours, d'une part, et l'endoctrinement permanent d'autre part : on entrera sans restriction dans la fiction totale et dans le monde imaginaire que fomentent de toutes leurs forces les champions d'une humanité nouvelle elle-même imaginaire. Le seul critère à retenir pour juger des propos de M. Éric Zemmour, ce n'est pas de se demander s'ils sont conformes ou non à la formidable vulgate de l'anti-racisme dogmatique, mais de se poser cette question simple et de partout chassée : sont-ils vrais ou ne le sont-ils pas ?
Paris, samedi 20 mars 2010
Décidément, c'est la semaine du sucré/salé ! Encore, ici, vous alimentez la confusion en proposant un texte d'un auteur (Renaud Camus) accompagné d'une illustration parue ailleurs (Marianne) dans un contexte et un degré fort différent... Renaud Camus c'est bien celui qui trouvait qu'il y avait "trop de juifs au panorama de France-Culture" ?
RépondreSupprimerVous avez quelques « michelines » de retard. Renaud Camus s’est expliqué de ce vieux quiproquo sur les ondes de France Culture dans l’émission réplique d’Alain Finkielkraut. Le dossier est clos depuis longtemps et Renaud Camus est d’ailleurs fréquemment l’invité de l’émission de « Finkie »
RépondreSupprimerPuisque nous sommes entre nous et que personne ne lit ce blog je vous donnerai un conseil d'amis: méfiez-vous. En attaquant Renaud Camus, vous vous exposez à la vindicte des ligues anti-homophobe. De nos jours mieux vaut s'autocensurer sinon gare à ce que Jean François Khan (encore un vieux réac) qualifie de "Gestapo de la parole, sinon de la pensée".
Mouarf, un jour je vous expliquerai pourquoi et comment je me suis retrouvé classé "subversif" dans une grande chaîne de télé française. Ceci étant, puisque nous sommes entre nous, j'avoue que j'ai plus pratiqué l'autocensure en 2 ans de "Bihorel" qu'en 17 ans de BD. et je trouve ça logique car on ne peut pas mettre sur le même plan démarche artistique et projet politique. Et je m'offre une se ces petits smiley que vous détestez, celui qui tire la langue :-p
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