"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

jeudi 18 juin 2020

Vive la France !



C'était en 1940. Quatre vingts ans se sont écoulés depuis. A cette époque, l'avenir était encore plus sombre qu'aujourd'hui. Les Français de juin 40 avaient  pour perspective Hitler et Staline réunis puisque le communisme et le national-socialisme marchaient main dans la main.

Le génie de Charles de Gaulle résida alors dans sa vision de l'avenir, elle lui fut sans doute inspirée par l'amour charnel qu'il ressentait pour la France, un amour qui lui indiqua tout naturellement le chemin du devoir qui s'appelait cette année là "résistance".

Le général de Gaulle parlait de patrie, d'honneur, de sacrifice, de grandeur, de gloire, vocables disparus ou vidés de leur sens dans les discours de nos gouvernants actuels.

Rappelons-nous, mes chers Compatriotes, que les premiers français à avoir rejoint le général de Gaulle à Londres furent des maurrassiens germanophobes pendant que les socialistes votaient les pleins pouvoirs à Pétain et rentraient  avec les communistes dans la collaboration avec l'ennemi, pour un temps au moins.

En 2020, nombreux sont les politiques qui se réclament du général de Gaulle, une imposture de plus pour la plupart. La veulerie et la lâcheté de beaucoup, leur détestation de la France et de la nation, nous permettent de douter de leur sincérité tant l'esprit collabo avec un nouvel occupant fait aujourd'hui florès dans de nombreuses familles politiques. 

Mes chers Compatriotes, l'appel du 18 juin, c'est le refus du renoncement et de la résignation. Voilà longtemps que le gaullisme n'avait pas été autant d'actualité. 

"A demain de Gaulle" écrivit Régis Debray en 1991. Demain est advenu. 

Vive la France !

C.Dragasès






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