"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

jeudi 2 mai 2024

Conquêtes et offensives

 



Chaque jour, la république se trouve affaiblie par les coups que lui donnent l'islam et ses alliés, idiots utiles, de Méchencon et son orchestre. Un évènement parmi d'autres, ce directeur d'école menacé de mort pour avoir souhaité mener l'expérimentation du port de l'uniforme dans l'établissement scolaire qu'il dirige. Cette homme, devant les menaces, a décidé de ne plus se rendre sur son lieu de travail et renonce à accomplir sa mission de directeur d'école et d'instituteur. Après les assassinats de Samuel Paty et Dominique Bernard, on ne peut que le comprendre, d'autant plus que ceux qui nous gouvernent, continuent, face à l'idéologie menaçante, à jouer les autruches et se montrent d'une faiblesse inadmissible qui frise la lâcheté quant ce n'est pas de la collaboration pure et simple. 

Nous assistons à une quotidienne conquête islamo-gauchiste de territoires physiques mais aussi sur le plan des mœurs et culturel par rapport à une république en position à "quatre pattes" et pantalon sur les chaussures, tournant le dos à l'envahisseur au lieu de lui faire face, torse bombé et glaive brandi. 


C.D



ps: on aurait pu écrire la même chose concernant sciences-po, la Sorbonne, le lycée Maurice Ravel, les revendications islamistes dans le football français, l'antisémitisme galopant, le licenciement de Jean Michel Achilli, liste non-exhaustive.

 





mercredi 1 mai 2024

1er mai

 





"Autant que nous aurons un cœur celtique et chrétien, nous ne cesserons d'aimer cette fée dont nous avons fait une sainte".

Maurice Barrès





Le mois de Marie

 




❝La Seine a gelé cette année-là. Je suis né en mai. 
C'est moi le printemps.❞


Louis-Ferdinand Céline, Mort à Crédit, 1936.





mardi 30 avril 2024

Camerone

 

prothèse du Capitaine Danjou, héro de Camerone


 « Honneur et Fidélité »


  «  Ils furent ici moins de soixante

    Opposés à toute une armée.

    Sa masse les écrasa.

    La vie plutôt que le courage

    Abandonna ces soldats Français

    À Camerone le 30 avril 1863 ».



Cette année, la Légion rend hommage aux légionnaires qui ont combattu en Indochine pour les 70 ans de la bataille de Diên Biên Phu. 





lundi 29 avril 2024

Barbarie importée

 




Voici une douzaine d'années, c'est à dire juste avant le début du fléau hollando-macroniste, qui aurait imaginé qu'au cœur de Châteauroux, un bon gamin de chez nous se ferait assassiner au couteau par un sauvage d'Afgan du même âge et soi-disant "refugié" ?  

Châteauroux fait penser à la "douce France", ce "cher pays" que chantait Charles Trenet "aux maisons sages, bercé de tendre insouciance". Mais cela, c'était "avant". Depuis les fossoyeurs de la France ont réparti la vermine partout et cette barbarie importée a gangréné les moindres recoins de notre pays. Nos enfants, femmes et sœurs n'y sont plus en sécurité nulle part, les hollando-macronistes ont volontairement pourri la France qu'ils veulent détruire, avec son peuple et sa culture.

Le grand remplacement n'ira pas à son terme sans un bain de sang. J'ai souvenir d'un bistrot de campagne dans lequel le patron avait fixé sur le mur derrière le bar, un panneau en bois où était représenté une arme de chasse sous laquelle était gravé:

" Chez nous, en cas de problème, on ne fait pas le "17". On décroche le "12".

Le sursaut viendra des profondeurs du pays, pas des métropoles boboïsées et LFIslamisées.

C.D



Mathis, 15 ans, victime de l'idéologie hollando-macroniste









vendredi 26 avril 2024

La possibilité d'une plage

 




 Sans doute, s'en passa-t-il des évènements à la surface de cette planète cette semaine, mais voyez-vous, mes chers Compatriotes, ma priorité, ce fut ces jours derniers de ramasser des coquillages sur la plage du Prieuré à Dinard.

Le reste n'est que l'écume des vagues. 


C.D 






samedi 20 avril 2024

Non, je ne regrette rien …

 



« – Si on chantait ? Dit le colonel.

Il avait enlevé son masque et respirait l’air frais, par la portière, avec les mimiques réjouies d’un gastronome comblé. Le camion grimpait allègrement, dans les vignes, la petite départementale sinueuse. A chaque tournant, le Village brun, là-haut, se rapprochait.

– Mon Dieu ! Que cela sent bon ! Reprit-il. On ‘est de nouveau chez nous. Il ne s’est rien passé. Alors ! Qu’est-ce qu’on chante ?

– La Marseillaise, peut-être…, proposa comiquement le secrétaire d’État.

A l’intérieur du camion, l’armée fut prise de toux violente, gloussements et hoquets divers. Entre hussards et commandos de marine, un concours à qui rirait le plus fort. Qu’on ne croie pas qu’ils se forçaient, non. Pas d’affectation amère. Une franche rigolade, simplement. Délivrés de tout, ils se marraient.

– Ce que j’en disais, fit le ministre, c’était plutôt pour tâter le moral du peuple…

Ils se regardèrent tous deux et rirent encore une fois de bon cœur.

– Bon ! Marseillaise, aux accessoires ! conclut Dragasès. Capitaine, qu’est-ce que vous proposez de mieux ?

– Le Boudin, dit l’officier de commando. C’est con comme tout, mais ça parle. Et au moins tout le monde connaît les paroles.

– Le boudin, apprécia le colonel, le boudin… Nous sommes la plus étrangère des légions étrangères, étrangère à tout. Alors le boudin, en effet… Mais je me demande si ce serait tellement de circonstance ? Le boudin, ça se mérite et quant à faire Camerone, aujourd’hui, on ne peut pas dire que c’était réussi ! Peut-être demain, là-haut… Je crois que je tiens une meilleure idée.

S’assurant d’un œil malicieux que tout le monde écoutait, il s’éclaircit la voix comme un chanteur de dessert, prit son souffle et entonna :

Non, rien de rien

Non, je ne regrette rien

Ni le bien qu’on m’a fait

Ni le mal, tout ça m’est bien égal

Non, rien de rien

Non, je ne regrette rien

Tralala, tralala,

Aujourd’hui, je me fous du passé !


– Qu’en pensez-vous dit-il en terminant. Pas mal, non ? C’est un vieux truc. Je ne me souviens plus très bien des paroles, mais le principal y est. Vous ne connaissiez pas ? (…)

A gueuler comme des perdus, les veines du front à éclater, le cou gonflé, le visage écarlate, ils firent plus de bruit qu’une armée catholique victorieuse, chantant le Te Deum sous la nef d’une cathédrale. Dans les tournants, le camion vacillait, puis titubait sur les lignes droites, ses doubles roues mordaient joyeusement les talus. Joignant le geste à la parole, le hussard chauffeur lâchait le volant en cadence et jouait des mains et des bras comme un cabot qui sort ses tripes dans un mauvais tour de chant. L’officier de commando martelait le tableau de bord avec ses poings. Au « rien de rien », tout le plancher du camion vibrait sous les crosses des fusils. Si l’on peut analyser les sentiments profonds de ces braillards, on y trouve d’abord l’ivresse du clan. La tribu, au complet, célèbre son unité. Si peu nombreuse qu’elle se compte, elle emmerde le reste du monde. Mais on y décèle également quelque chose comme de l’angoisse. »


Jean Raspail. Le Camp des saints. 1973.




vendredi 19 avril 2024

Postérité

 



Cher freluquet,

Cher fossoyeur de Bihorel,

Mon cher petit marquis,


En post-scriptum de la lettre ouverte que je vous adressai ici même, le 5 avril dernier, je m'engageai à vous faire une proposition, afin que la marque que vous laisserez dans l'histoire de Bihorel, soit un peu plus reluisante que celle, à ce jour,  de votre piteux bilan.

Je vous propose donc, qu'en la qualité de maire de Bihorel, vous suiviez l'exemple d'un de vos homologues, Patrick Mangin, maire de Saint Maurice aux Forges (Meurthe et Moselle) qui a fait don de la totalité de ses indemnités de maire, afin d'aider au financement de la restauration et sauvegarde de l'église de son village.

Faites en de même ! Faites don de la totalité de vos indemnités de maire de Bihorel afin de permettre la restauration de l'église Notre Dame des Anges, qui jusqu'ici, n'a pas beaucoup bénéficié de vos largesses depuis votre première élection.

Vous ne serez pas sans le sou. Il vous restera votre salaire de postier, vos indemnités de conseiller régional auxquelles il convient d'ajouter celles de la métropole et celles de votre participation à diverses instances.

Et quel geste admirable, vous feriez là ! Quelle classe cela aurait ! Vous rentreriez par la grande porte dans l'histoire de notre commune, devenant pour l'éternité "celui qui sauva N.D.A". Votre réputation ne serait plus celle d'un "fossoyeur" mais deviendrait, bien au contraire, celle d'un conservateur, que dis-je, de sauveur de notre patrimoine. Vous susciteriez l'admiration de nos anciens, de vos contemporains et de générations de futurs Bihorellais. 

Si vous acceptiez ma proposition, je m'engage à faire, ici même, votre éloge et à vous tresser des louanges et mieux encore, à vous ficher la paix, en un mot, à ne plus être un petit cailloux dans votre chaussure. J'en prends l'engagement devant mes chers Compatriotes !

Alors, c'est à vous de décider. Soit pour toute postérité, un jour peut-être, la commune de Bihorel donnera votre nom à un nouveau bac à sable inauguré au parc de l'Argilière, ou bien, en acceptant ma proposition, les Bihorellais reconnaissants vous dresseront une statue en majesté à coté de celle d'Alfred Caron, dont enfin, vous vous serez montré le digne successeur. 

Pensez-y ! Que sont quelques dizaines de milliers d'euros en regard de la gloire éternelle ?

Cher freluquet, cher fossoyeur de Bihorel, mon cher petit marquis, veuillez agréer l'expression de ma considération choisie.

C.Dragasès


ps:

- pendant que vous y serez, faites un petit don pour la restructuration du presbytère. 

- concernant les modalités de votre donation pour notre église, je vous laisse voir cela avec Monsieur le Maire de Saint Maurice aux Forges (Meurthe et Moselle). Lien utile ci dessous.

Meurthe-et-moselle/ce-maire-donne-ses-indemnites-d-elu-pour-sauver-l-eglise-de-son-village





Sotteville les Rouen, 19 avril 1944. Souvenons-nous

 




LE 19 AVRIL 1944, LE CENTRE-VILLE DISPARAISSAIT SOUS LES BOMBES

Je vous recommande de visiter le site de "Sotteville au fil du temps".

https://sottevilleaufildutemps.fr/2024/04/19/le-19-avril-1944-le-centre-ville-disparaissait-sous-les-bombes/