"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

jeudi 8 mai 2025

Guerre des clans à la mairie

 



 Que la scène de ménage entre le maire et la première Dauphine ait tourné en guerre des clans, visiblement, en a surpris plus d'un. Et, bien mes chers Compatriotes, pas moi. Voici ce que j'écrivais le 30 novembre dernier sur ce blog:

" Même si sur le plan de la politique locale et surtout en matière d'urbanisme, je reste un adversaire résolu de Pascal Houbron, cela ne m'empêche pas de me réjouir de le retrouver, mes chers Compatriotes, à nouveau parmi nous et de constater qu'il a recouvré la plénitude de ses moyens. 

Le voilà prêt à reprendre ses fonctions de maire pour de nouvelles aventures, même si durant son absence, certains ont gouté (un peu trop) à l'ivresse du premier rang et à l'euphorie, parfois dangereuse et malsaine du pouvoir. Dans les milieux autorisés (rires), il se raconte qu'on le pousserait volontiers vers une sortie "prématurée"...

Personnellement, durant l'absence de Pascal Houbron, j'ai trouvé particulièrement inélégante, la manière dont la première Dauphine s'est employée à capter toute la lumière et celle avec laquelle, elle a transformé la page Facebook "Bihorel ma ville" en chronique mondaine de ses apparitions, une page qui pourrait maintenant se nommer "Avec moi, plus belle la ville". Un peu de retenue n'aurait pas nui à la décence.

Ces envieux et empressés feraient bien de se souvenir que dans le panier de crabes, c'est toujours le homard qui gagne.

Alors saluons son retour. ".


Qu'au Château, les portes claquent et que l'on commence à se balancer la vaisselle à travers la figure, ne me surprend guère.

Les félons, se sont vus trop beaux, trop tôt. Ils n'ont eu ni patience, ni décence en se partageant l'héritage comme des pilleurs de bas de laine, s'accaparant déjà, qui les petites cuillères, qui les tableaux avant que le maitre des lieux n'ait poussé son dernier souffle, c'est à dire, terminé son mandat.     

Mal leur en a pris ! Tel un centenaire entouré de ses pillards d'arrières petits enfants, le malade ainsi motivé a retrouvé de la vigueur et ceux qui se servaient déjà dans la cave à cigares, sirotaient les flacons de Cognac XXO et lorgnaient sur les bouteilles de Lafite Rothschild et autre Musigny, en sont pour leurs frais.

Après vingt cinq ans passés au Château, Pascal Houbron voulait se retirer en seigneur des lieux et avec le respect de ceux qu'il a "faits" et qui lui doivent leur poste. Les ingrats se sont comportés en sagouins.

Quant à la grenouille, qui depuis bientôt un an, se gonflait comme un bœuf, si elle n'a pas encore éclaté, ses ambitions et celles de ses morfalous, pourraient bien faire "pschitt".

Comme l'écrivait Jean de La Fontaine dans sa fable intitulée, "le Héron":


" On hasarde de perdre en voulant trop gagner "



C.D





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