"Ce sont vous et vos enfants qui iront faire la guerre", menaçait Macron, en cas de victoire du RN.
C'était il y a huit ans.

(Et désolé pour ce sommet d'atrocité oratoire) pic.twitter.com/TUsIwx4mwp

— Laurent Obertone (@LaurentObertone) November 24, 2025

Comment  les Français ont-ils pu élire, par deux fois, président de la république, pareil fou furieux ?

Quel peuple de trouillards et de rampants, sommes nous devenus, pour avoir été ainsi subjugués par cet esbroufeur que le système nous a vendu ?

Souvent, j'ai honte de la majorité de mes compatriotes qui, par leurs choix imbéciles, déshonorent et détruisent la France.

C.D 

 

« Être un loup, c'est ma loi naturelle, mon instinct premier. J'en avais marre de tous ces communistes à l'époque, avec leurs pancartes pleurnichardes.

Marchais et sa clique ont castré des régiments de moutons en leur promettant des réfrigérateurs et des couvertures chauffantes. 

Et ça marche ! Pauvre France ! Ces fous parlent de justice et d'égalité sociale pour une vie soi-disant meilleure. Mon œil ! On vous a juste engourdis avec des congés payés, on vous a rendus mous, sans fierté, avilis par la certitude de toujours devoir manger tant que vous criez assez fort pour énerver tout le monde. Mon œil, camarades, gardez vos moutons ! »

Albert Spaggiari, « Les égouts du paradis. Sans haine, sans violence et sans arme », Albin Michel, 1978.

Samedi soir (de première neige)

 

Glucksmann, un soporifique à coté de la plaque

 

 Raphael Glucksmann, c'est l'égérie de la gauche bobo-woke des métropoles, trottinette et "Velib", se la jouant "intellectuel" du type N.M.Rossignol. 

Loin des préoccupations des gueux se déplaçant en voiture diesel "Crit'Air 4" (voire 5), que les membres du Gluck Gluks Klan méprisent ou ignorent totalement puisque les beaufs sont peu connectés et qui plus est, sentent la France rassie, aiment l'accordéon, le saucisson et le rouge couillu (j'en fais partie), laissant les vins "nature" aux étiquettes "inclusives" et "arc en ciel" aux blasés hautains et  cocaïnés des métropoles. 

Bref, ce n'est pas avec Glucksmann que la gauche va raccrocher les wagons avec la France périphérique de nos belles provinces. Glucksmann a le charisme d'un tas de neige qui fond, a des idées sur tout mais pas de solution aux problèmes des Français puisqu'il ne les a pas identifiés, ou pire, avec ses délires "universalistes" ne fera que les amplifier.  

Son débat avec (contre?) E.Zemmour devait lui servir de "crash test". Et bien, pour s'être ramassé, je confirme, il s'est ramassé. 

C.D

Libre !

 

 Tout patriote se réjouira de la libération (enfin ! ) de Boualem Sensal .

Il reste à éclaircir les zones d'ombre des tractations dans cette partie à trois (sic). 

Remercions l'Allemagne, sans laquelle la France des "socialo-macronards", n'est plus en mesure de faire libérer ses ressortissants, injustement emprisonnés.

Voilà, une énième humiliation de la France dont la voix à l'international est devenue inaudible depuis 2012. Au pays de Talleyrand, la diplomatie française n'existe plus. Reste à l'Elysée, un président fantôme qui a remercié Tebboune, le preneur d'otages.

Nous ne pourrons nous réjouir totalement qu'après la libération du journaliste Christophe Gleizes. Macron qui n'est plus à une génuflexion près, doit rencontrer ce weekend, Tebboune "le Ravisseur". Et lorsqu'il s'agit de jouer les paillassons avec l'Algérie, personne n'est meilleur que l'acteur de l'Elysée. Restons confiant.

C.D  

 

Ni oubli, ni pardon

 

Islamisation et partition du territoire

 

L'immigration, une chance pour la démocratie...

MMA

 

Samedi soir

 

13 novembre

 

Les victimes de l'islamisme, ce jour là, se nommaient : 

Stéphane Albertini, Nick Alexander, Jean-Jacques Amiot, Armelle Anticevic-Pumir, Anne-Laure Arruebo, Thomas Ayad, Guillaume Barreau-Decherf, Halima Ben Khalifa Saadi Ndiaye, Hodda Ben Khalifa Saadi Ndiaye, Alva Berglund, René Bichon, Chloé Boissinot, Emmanuel Bonnet, Maxime Bouffard, Quentin Boulenger, Ludovic Boumbas, Véronique de Bourgies, Élodie Breuil, Ciprian Ionut Calciu, Claire Camax, Nicolas Catinat, Baptiste Chevreau, Nicolas Classeau, Manuel Colaco Dias, Precilia Correia, Cécile Coudon Peccadeau de L’Isle, Marie-Aimée Dalloz, Nicolas Degenhardt, Elsa Delplace, Alban Denuit, Vincent Detoc, Fred Dewilde, Asta Diakite, Romain Didier, Lucie Dietrich, Elif Doğan, Fabrice Dubois, Romain Dunet, Thomas Duperron, Justine Dupont, Mathias Dymarski, Saleh Emad Elgebaly, Germain Ferey, Romain Feuillade, Grégory Fosse, Christophe Foultier, Julien Galisson, Suzon Garrigues, Mayeul Gaubert, Cédric Ginestou, Matthieu Giroud, Cédric Gomet, Nohemi Gonzalez, Juan Alberto González Garrido, Stéphane Grégoire, Anne Guyomard, Pierre-Yves Guyomard, Stéphane Hache, Thierry Hardouin, Olivier Hauducoeur, Frédéric Henninot, Pierre-Antoine Henry, Raphaël Hilz, Mathieu Hoche, Djamila Houd, Amine Ibnolmobarak, Pierre Innocenti, Michelli Gil Jaimez, Nathalie Jardin, Marion Jouanneau, Milko Jozic, Jean-Jacques Kirchheim, Hyacinthe Koma, Nathalie Lauraine, Marie Lausch, Guillaume Le Dramp, Renaud Le Guen, Gilles Leclerc, Christophe Lellouche, Cécile Martin, Antoine Mary, Cédric Mauduit, Claire Maîtrot-Tapprest, Charlotte Meaud, Emilie Meaud, Isabelle Merlin, Fanny Minot, Yannick Minvielle, Cécile Misse, Lamia Mondeguer, Marie Mosser, Justine Moulin, Quentin Mourier, Christophe Mutez, Hélène Muyal-Leiris, Victor Muñoz-Kielemoës, Romain Naufle, Bertrand Navarret, Christopher Neuet-Shalter, Lola Ouzounian, David Perchirin, Aurélie de Peretti, Franck Pitiot, Lăcrimioara Mariana Pop, Caroline Prenat, Sébastien Proisy, François-Xavier Prévost, Manuel Pérez, Anna Pétard-Lieffrig, Marion Pétard-Lieffrig, Richard Rammant, Valentin Ribet, Matthieu de Rorthais, Estelle Rouat, Thibault Rousse Lacordaire, Raphaël Ruiz, Madeleine Sadin, Kheir-Eddine Sahbi, Lola Salines, Patricia San Martin, Hugo Sarrade, Djalal Sebaa, Maud Serrault, Sven Alejandro Silva Perugini, Valeria Solesin, Fabian Stech, Ariane Theiller, Eric Thomé, Guillaume Valette, Olivier Vernadal, Stella Soanirina Yasmine Verry, Luis Felipe Zschoche.

Ni oubli, ni pardon

11 novembre

 

"Un  film fantomatique à l’Abel Gance devrait montrer des poilus de 14  errant dans la France d’aujourd'hui, qu’ils voient pour quoi, ils ont tant  souffert.".

Renaud Camus

Aujourd'hui, des individus comme Macron et Hollande devraient battre leurs coulpes, faire pénitence en s'agenouillant devant un monument aux morts et leur demander pardon, pour avoir détruit ce pour quoi, ces soldats avaient accepté de faire le sacrifice suprême : la France. 

Puisse, à l'image d'une Eglise catholique renaissante, "la république, notre Royaume de France" (C.Péguy) suivre la même voie.

C.D

Une certaine idée de la France

 

La France narrée par le général de Gaulle …

Si cette vidéo vous met la larme à l’œil …

Si cette vidéo réveille en vous une sourde nostalgie…

Si cette vidéo exacerbe en vous l’amour de votre pays …

Cherchez pas…

Vous n’êtes rien d’autre qu’un raciste et un islamophobe… pic.twitter.com/lWsDnHH7IV

— Jean MESSIHA (@JeanMessiha) November 6, 2025

 Voilà 55 ans aujourd'hui, disparaissait le dernier des grands Français. En ce 9 novembre 1970, Georges Pompidou, président de la république, déclarait:

" Le Général de Gaulle est mort, la France est veuve".

Elle l'est restée depuis. Sans doute en ce jour funeste de 1970, après une décennie "gaullienne", se réenclencha la spirale du déclin qui datait de Waterloo et qui nous mena aux décombres et au crépuscule de la France en ce début de 21ème siècle. 

          

           Charles de Gaulle fut le dernier à faire briller et respecter les trois couleurs de la France dans le monde entier. Qui écrira le prochain chapitre, s'il doit y en avoir un ? 

« Puisque tout recommence toujours, ce que j'ai fait sera, tôt ou tard, une source d'ardeurs nouvelles après que j'aurai disparu. » (Mémoires de guerre). Puisse-t-il, une fois encore, avoir été un visionnaire. 

C.D

 

« Vous ne voyez pas que le reste du pays considère New York comme une bande de gauchistes, de communistes, de juifs, d'homosexuels et de pornographes ? 

Il m'arrive de penser comme ça, et pourtant j'habite ici. ».

Woody Allen

Oléron & Mathis

 

« Le Camp des saints n'est pas une prophétie ni un pamphlet, mais une parabole, née de mon imagination, car à l'époque la question des flux migratoires ne se posait pas. La véritable cible du roman, ce ne sont pas les hordes d'immigrants sauvages du tiers-monde, mais les élites politiques, religieuses, médiatiques, intellectuelles du pays qui, par lâcheté, trahissent leurs racines, leurs traditions et les valeurs de leur civilisation. » 

Jean Raspail

Mathis tué par une racaille multirécidiviste 

 

Le ciel new-yorkais s'assombrit comme un 11 septembre

Novembre

 

Novembre commence mal et continue en pire.

Il s’ouvre sur la fête des Morts, journée austère et désolée, et continue par des pluies noires, la boue, la brume, le froid, la nuit, à peine coupés, les années indulgentes, par le soleil jaune de la Saint-Martin.

Les chrysanthèmes pourrissent et les souliers prennent l’eau. L’homme se ratatine sur lui-même, se rétrécit et se bande comme un ressort. Il lui en vient un nouveau dynamisme, qui se traduit par un immense besoin de choucroute et de chasse au loup.

Alexandre Vialatte, Almanach des quatre saisons – Novembre

Samedi soir

 

 

Joyeuse et Pieuse fête de la Toussaint