"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

vendredi 11 novembre 2022

Des vainqueurs de Verdun aux nabots d'en marche

 

Défilé des morts sous l'arc de triomphe - Georges Scott (1876/1943)


Si la grande Histoire , à juste titre, a retenu le 11 novembre 1918 comme un jour de victoire du grand peuple français, la petite histoire elle, retiendra le 11 novembre 2022 comme un jour de défaite et de trahison, celles des nabots qui nous dirigent aujourd'hui et d'une république qui chaque jour trahit un peu plus la France et les Français.

En laissant les portes et fenêtres grandes ouvertes à l'immigration clandestine, d'une maison qui n'avait déjà plus de toit, le pouvoir en place trahit la mémoire et les sacrifices des poilus de 14/18 tout en lançant un message clair aux passeurs trafiquants d'esclaves du 21ème siècle: venez, nous ne nous opposerons pas.

Quelle offense faite à nos soldats qui défendirent mètre par mètre le sol français,  l'indépendance et les frontières nationales, tout cela pour qu'un siècle plus tard des nabots, le pantalon sur les chaussures, regardent arriver l'invasion migratoire partie d'Afrique comme on regarde passer les trains.

Mais où sont donc les Français ? Une partie semble résignée et beaucoup d'autres sont des incultes pour qui le Chemin des dames doit être le surnom d'une rue où tapinent des dames de petite vertu. Le 11 novembre ? Une bonne occasion d'aller chez Leroy Merlin, Decathlon ou Ikéa puisque c'est ouvert.

Bihorel n'est pas en reste. A la messe ce matin célébrée en l'église Notre Dame des Anges en mémoire de tous les morts pour la France, nous étions une petite soixantaine. Si le maire, comme à son habitude, était présent ce qui l'honore (non, non, je n'ai rien à lui demander), je n'ai guère reconnu que deux ou trois conseillers municipaux et en tout cas aucun de ceux sensés "rajeunir" la majorité municipale. Pour eux, sans doute Verdun appartient-il à la préhistoire et leur ait aussi éloigné que Tolbiac et Iéna, si par chance, ces noms illustres leur évoquent autre chose que celui d'une station de métro. Des mécréants et des cancrelas. 

Seul espoir en ce jour: la petite lumière rouge qui scintillait au fond du cœur de notre église.

C.Dragasès

















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