"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

samedi 17 octobre 2020

Samedi soir (de deuil)

Samuel Paty, victime de l'islamisme



De quoi est donc faite cette religion, l'islam, qui pousse des hommes jeunes à perpétrer des attentats planifiés qui ont pour but premier, la décapitation d'un homme ? Est-elle inspirée par le Diable pour fanatiser ainsi et engendrer autant de haine pour l'impie ? Voilà bien longtemps que j'ai cessé de croire en la fable qui nous présente l'islam comme une religion d'amour et de paix.

Après avoir en 2012 assassiné des enfants dans la cour de récréation d'une école maternelle, puis des militaires chez eux, en 2015 des journalistes, des dessinateurs et des citoyens lambdas comme vous et moi, il ne se passe plus quelques semaines depuis lors, sans un attentat islamiste. Nous en sommes à 267 victimes depuis 2012 !

Il s'appelait Samuel Paty. Je ne sais rien de ses opinions politiques et c'est sans importance. Ce qui m'importe, c'est qu'il était un homme de convictions et qu'il tenait à mener à bien sa mission de professeur d'histoire au prix du risque que fait peser sur nous tous, la lâcheté de nos gouvernants depuis quatre décennies. Une lâcheté vis à vis de l'islamisation rampante de la société française qui risque bien d'emporter tout ce  en quoi nous croyons et que nous partageons.

Samuel Paty est un héros du quotidien, un obscur qui mérite tout notre respect pour avoir porté haut nos valeurs, celles de la France éternelle, héritées de sa souche judéo chrétienne et des lumières .

Depuis Victor Hugo, beaucoup pensent que les problèmes de la société française ne peuvent se résoudre que par l'éducation et l'école. C'est sans doute une des raisons pour laquelle, c'est un professeur d'histoire qui a été ciblé par les islamistes. Déstabiliser l'école, infiltrer les esprits dès le plus jeune âge  et détruire l'inconscient national,  pour finir de déstabiliser la société toute entière. 

Le projet final n'est pas comme semble le penser Macron, le séparatisme, mais bien, à terme, la conquête de la France dans son intégralité. Notre pays est infiltré de toutes parts : écoles, hôpitaux, justice, armée, associations sportives, jusqu'à notre police nationale et lorsque ce ne sont pas par les islamistes directement, c'est par les collabos, cette cinquième colonne qui gangrène la presse et les médias en général.

C'est une guerre, une vraie celle là et non pas une gaminerie comme celle contre la Covid. On ne gagne pas une guerre en laissant au quotidien s'infiltrer l'ennemi. Que les belles âmes continuent de défiler, de se rassembler, d'allumer des bougies, d'écrire des poèmes et de déposer des gerbes de fleurs. C'est peut être nécessaire pour les bisounours et c'est, bien sûr, encouragé par les enfumeurs du "pas d'amalgame". Mais s'en contenter, c'est la soumission garantie à l'islam d'ici quelques années.

La victoire contre cette idéologie totalitaire passe par un grand nettoyage dans les banlieues et dans toute la société en général. Elle passe par l'expulsion du territoire national des étrangers et des bi-nationaux fichés S, des imams aux discours de haine. Elle passe par la relégation et la déchéance de la nationalité française pour ceux qui œuvrent et collaborent avec l'ennemi. Enfin, il faut stopper l'immigration, sous toutes ses formes, le regroupement familial (récemment élargi par les macronnards) et supprimer le droit du sol en le remplaçant par le droit du sang. C'est là, le prix de notre salut et celui de la civilisation française.

En hommage à Samuel Paty mais aussi parce que notre Nation est aujourd'hui en deuil, écoutons le Requiem de Mozart, cette œuvre que Jean Raspail choisit pour bande sonore, si je puis dire, de son roman le Camp des Saints.  


C.Dragasès














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