"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

mercredi 26 juillet 2023

26 juillet

 


Le 26 juillet 2016, le Père Hamel était assassiné par les islamistes Adel Kermiche et Abdel Malik Nabil en plein office du matin dans l'église de Saint Etienne du Rouvray.

Sept ans plus tard, en ce 26 juillet 2023, aura lieu ce soir à 17H30 devant l'église de La Haye-Malberbe (commune de 1400 habitants dans l'Eure), une marche blanche en souvenir de Enzo, adolescent de 17 ans tué par des racailles dans ce village samedi dernier, d'un coup de couteau pour un simple regard.

Il faudra, un jour, établir la très (trop) longue liste (hélas non clause) de ceux qui furent les victimes du grand remplacement et que l'on a déjà oubliés, de Lola à Alban Gervaise en passant par les familles d'Annecy, Philippe le fleuriste de 72 ans, Philippe Monguillot, chauffeur de bus à Bayonne, Laura et Mauranne les deux cousines assassinées à Marseille gare Saint Charles par un clandestin, le 1er octobre 2017 et tant d'autres. 

Combien furent-ils, assassinés, meurtris dans leur chair à tout jamais. Combien de vies et de familles brisées ?

Pendant ce temps là, Macron veut répartir l'immigration de peuplement maghrébine et subsaharienne sur l'ensemble du territoire français, histoire de ne laisser subsister aucun havre de tranquillité, aucun espace de repli et que les moindres recoins de notre beau pays soient tous colonisés. C'est la dernière ineptie de notre petit génie. Comme l'écrit Laurent Obertone "la foudre de la violence gratuite peut tomber sur n'importe qui". Viendra un temps où les graveurs pourront inscrire sur les monuments aux morts de nos villages, de nouveaux noms, de ceux qui tombèrent dans cette drôle de guerre, celle de la substitution d'un peuple par un autre.  

"Nous disparaîtrons corps et âme de ce territoire comme les Gaulois.  Ils nous ont pas laissé vingt mots de leur propre langue. De nous, si le mot "merde" subsiste ça sera bien joli." écrivait Louis Ferdinand Céline.



C.Dragasès





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