"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

mardi 7 février 2023

Combat culturel

 





La gauche le déteste et ça lui réussit plutôt bien. Depuis le
début de l'année, journalistes et politiques multiplient leurs
attaques contre le premier long-métrage du Puy du Fou, «
Vaincre ou Mourir ». Sorti dans seulement 188 salles en
France ce 25 janvier, le film vient pourtant de dépasser les
100 000 entrées en une semaine. Une réussite alors que
partout dans le pays, les témoignages affluent de
spectateurs ayant parcouru jusqu'à 200 kilomètres pour
trouver une séance, souvent terminée sous les
applaudissements.

Le sujet, original dans le cinéma français, était tout trouvé
pour le Puy du Fou : raconter la guerre de Vendée pendant la
Révolution, via l'épopée de Charette, chef royaliste des
Vendéens. Une histoire d'honneur et de panache, dans le
camp des vaincus, massacrés par centaines de milliers. La
gauche s'indigne d'une « attaque contre la République »,
alors qu'elle a l'habitude d'encenser des films victimisant les
immigrés contre la République. La gauche dénonce une «
falsification historique », alors qu'elle se gave de fictions où
les Français sont effacés de leur propre Histoire...

Derrière ces postures, la gauche révèle surtout une peur
panique : perdre son monopole sur la culture. Après avoir
abandonné le réel et les classes populaires face à
l'immigration, seul un contrôle total de la narration, de
l'école aux médias, assure encore son influence. Le succès
du Puy du Fou et son projet cinématographique lancé par «
Vaincre ou Mourir » lui sont insupportables car ils échappent
à son pouvoir. Ils ouvrent la brêche face à la propagande, qui
a éloigné tant de Français de la fierté d'être eux-mêmes.

Voilà pourquoi j'encourage chacun d'entre vous à aller voir
ou revoir la magnifique épopée de Charette et à la
recommander à vos proches. Toutes nos actions arrachant
la culture aux griffes de la gauche rendront possible la
transmission de notre civilisation aux générations futures.


Eric Zemmour





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