"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

vendredi 14 juillet 2017

La "france" de Macronus magnus n'est pas la mienne




De la musique de Claude Debussy en ce 14 juillet, lui qui si patriote durant les années de la première guerre mondiale, se fit appeler Claude de France, une France bien plus proche de la mienne que ne l'est ou le sera la "france" de Macron, que j'écris ici avec un "f" minuscule à dessein. 
J'ai du mal à m'enthousiasmer en ce premier 14 juillet d'un quinquennat qui verra ma France perdre le peu de souveraineté qui lui restait encore, le remplacement de son peuple de souche irrémédiablement engagé, sa culture fruit de 15 siècles d'histoire disparaitre dans la vase du multiculturalisme et l'irréversible islamisation de celle qui fut la fille ainée de l’Église.
Macron envoie tous les signes politiques qui nous confirment qu'une "élite", du moins se pense-t-elle ainsi, va poursuivre le sabordage qu'elle orchestre depuis quatre décennies de notre pays et de notre civilisation. La globalisation et le mercantilisme qui l'accompagnent, auront bientôt triomphé, ici comme ailleurs, de l'âme et de l'histoire des peuples.
En ce 14 juillet 2017,  j'ai mal à ma France et je laisse les feux d'artifices et autres "grandioses" manifestations, ces "panem et circenses" de notre temps à une population ébahie mais trahie.  
Macron avait deux possibilités ; copier les postures du Général ou raisonner et agir selon la pensée gaullienne. 
Devinez, mes chers Compatriotes, celle qu'il a retenue ?

CD  



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