"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

samedi 11 octobre 2014

Bihorel échappe (provisoirement) à la faillite

Ainsi l’État français va-t-il donc bien verser, sauf mauvaise surprise, 493.000 euros de plus qu'initialement prévu à la commune de Bihorel, soit un total de 1.633.619 euros. (1)
Par conséquent, notre commune ne sera pas en faillite fin octobre. Enfin pas encore cette fois - ci, car les folles dépenses immobilières du maire lors de ses deux premiers mandats ne sont pas encore soldées et le pire est à venir.

A la lecture de l'accusé de réception du directeur général des services de Bihorel au courrier du directeur des relations avec les collectivités locales de la préfecture, on mesure combien le boulet passa tout près. Pour cela, citons le DGS de Bihorel, François Lemeille:
 "C’est enfin avec  plaisir  et soulagement  que je vous accuse, bien volontiers,  réception de votre courrier de notification  de la DGF 2014 CORRIGEE  de la ville de Bihorel " ...."Je  passe sur les angoisses du personnel ,  les démarches fastidieuses et  le long  temps  d’attente  chaque jour d’une réponse …". 
Voilà qui nous révèle, oh combien du coté du maire pendant ce quasi semestre, on a du serrer les fesses.

Effectivement, que de temps et d'énergie des agents municipaux gaspillés ou encore d'argent des contribuables jeté par les fenêtres à cause d'un projet (fusion) mu uniquement par l'arrivisme du maire. Si parfois l'état peut se tromper, il n'est pas nécessaire de lui fournir des occasions supplémentaires en compliquant la tâche d'une administration obligée de démêler les suites d'un projet guignolesque.

Le responsable de cette pagaille financière et de ce gâchis d’énergie, c'est Pascal Houbron.

Enfin, mes chers Compatriotes n'oublions pas le véritable scandale que constitue l'occultation de la situation pendant sept mois
par le maire et ses complices aux Bihorellais et à leurs élus des oppositions.

CD

(1) Le document de la préfecture:

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