Après une telle semaine où le crépuscule de la France s'est encore un peu (beaucoup) obscurci, difficile de faire un samedi soir à la hauteur des circonstances et de l'Histoire.
Bien évidemment, nous éviterons de tomber dans la cucul-ture, comme les masses hébétées, qui malgré les drames d'Incarville, de l'incendie de la synagogue rouennaise, et des "évènements" de Nouvelle Calédonie, se laisseront anesthésier, ce soir, par les spectacles de rue de "Viva Cité" à Sotteville les Rouen, orchestrés par la gauche métropolitaine "bibliothèque rose" qui expliquera à une plèbe consentante et ébahie que le socialisme, sauce "Gluck-Glucks- Klan" est toujours et plus que jamais, l'avenir de l'Homme dans une Union européenne "arc en ciel".
Non, ce soir, je resterai près, par la pensée et la prière, des familles des deux agents pénitentiaires, de la communauté juive rouennaise qui a vu son lieu de culte dévasté par un islamiste algérien en situation irrégulière et sous OQTF et des milliers de Caldoches qui vivent, ce soir, dans la peur, victimes du racisme antiblanc et de l'abandon d'une république petit bras, incapable d'être digne de la grande Histoire de France.
Alors, en de telles circonstances, il faut se rassembler autour de symboles qui incarnent la civilisation et la culture française. Nous fêtons aujourd'hui, le centenaire de la naissance de l'un des (sinon le) plus grands pianistes français, né le 18 mai 1924, Samson François, qui reste, c'est mon avis, l'indépassable interprète de l'œuvre pour piano de Maurice Ravel que je tiens pour le plus grand compositeur français.
Alors, passons ce samedi soir, en compagnie des deux maitres. Cette musique savante là, illustre et incarne la France éternelle.
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