"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

mardi 5 novembre 2024

Kamel Daoud

 



Kamel Daoud, prix Goncourt 2024, extraits d'une de ses chroniques dans Le Point





dimanche 3 novembre 2024

 





 

vendredi 1 novembre 2024

Bonne fête de la Toussaint

 












En cours d'installation près de chez vous

 




  Les femmes afghanes ont interdiction de parler entre elles, de conduire une voiture, de faire de la gym et du sport en général, de chanter, d'avoir un portable, de se promener, de regarder un homme qu'elles ne connaissent pas etc...C'est le ministère "du vice et de la vertu" (je ne plaisante pas) qui en a décidé ainsi en Afghanistan. 

Silence planétaire de catacombes mais aussi dans l'univers des intellectuels français, chez les néo-féministes, dans la petite coterie des artistes subventionnés, chez les politiciens de gauche et de tous les collabos qui soutiennent le port du voile en France, ce prosélytisme islamique.  

Je ne veux pas de cela pour mes filles, mes petites filles, mes arrières-petites filles et pour toutes les futures fillettes, filles et femmes en France.
Musclons-nous intellectuellement et culturellement (entre autres). Nous sommes ici chez nous depuis 1.500 ans, imposons et faisons respecter notre civilisation et notre culture.

Si nous ne réagissons pas collectivement, le présent des femmes afghanes représente l'avenir des Françaises. C'est un devoir pour chaque Français et pour la France de faire écho à l'appel au secours des Afghanes.

C.D










jeudi 31 octobre 2024

Le retour de l'esprit Charlie (Pasqua)

 



  L'esprit "Charlie" Pasqua serait-il de retour ? Trois vols "charter", c'est un début timide mais un début qui va dans le bon sens et surtout il s'agit là d'un signal envoyé et d'une inversion de tendance. 

"Des progrès mais maintenez vos efforts", comme on l'écrivait, jadis, sur les bulletins trimestriels des élèves de bonne volonté.

C.D







mercredi 30 octobre 2024

Sarah Knafo dans Face à l'Info

 












 Quand j’étais adolescente, et m’étonnais de la stupidité ambiante, les gens intelligents de ma famille me disaient que cela avait toujours été comme ça, et avec l’âge, je me suis rendu compte que non, ou plutôt j’ai trouvé la confirmation de ce que je savais déjà, que la stupidité était la conséquence de la modernité, que plus on était moderne et plus on était con. De fait, les gens des années 50 et 60 me paraissent infiniment moins stupides que leurs descendants, je ne savais même pas, à l’époque, que l’on pouvait atteindre de tels abîmes de connerie, ce qui prouve que l’on avait au moins raison sur un point, à ce moment-là, dans le tissu de bêtise dont on m’abreuvait: on n’arrête pas le Progrès. Pas plus que la charge d’un rhinocéros. 

Dans les années 50 et 60, il y avait encore de sages paysans, de dignes artisans, des lecteurs avertis, des amateurs de bonne chanson et de musique classique, et même des profs de gauche qui ne persécutaient pas leurs élèves de droite. ce n’était pas encore l’enfer total. C’est seulement dans les années 70 que j’ai commencé à voir la France se transformer en bande dessinée de Lauzier et en Brésil sans la samba.


Laurence Guillon







dimanche 27 octobre 2024

Réagir ou périr (3)

 





 

samedi 26 octobre 2024

Samedi soir (dans les 70's)

 










Doliprane

 





 



 



De nos jours, une actualité chasse l'autre. On a déjà tourné la page "Doliprane".

Pourtant, c'est de l'effondrement de la France dont il s'agit et des profiteurs qui se gobergent dessus.





vendredi 25 octobre 2024

1292

 



1292 ans que la menace persiste.






Bihorel, bouge-toi !

 

  "la peur n'a pas sa place à Bihorel" affirmait la première dauphine (maire par intérim) suite à l'agression dite du "Super U" de deux jeunes, le 15 septembre dernier et de demander "que l'éclairage public soit remis la nuit".

On ne peut que se féliciter que notre première dauphine souhaite revenir sur la décision imbécile prise par le conseil municipal (qu'elle avait approuvée) d'éteindre l'éclairage public la nuit. Je me souviens d'un membre de la majorité municipale, ironisant sur le fait que nous avions tous un téléphone portable capable de nous éclairer, si besoin était, dans l'obscurité des rues du "vieux Bihorel"...

 Combien de voitures vandalisées, volées et combien de cambriolages auraient été ainsi évités si la majorité municipale n'avait pas voulu se donner une caution "écolo" et faire des économies de bouts de chandelles.

Cependant, rallumer toute la nuit serait tout aussi imbécile. Il existe des solutions intelligentes et multiples, adoptées par des municipalités qui réfléchissent et ne tombent pas dans la facilité.

Voici l'expérience (il y en a d'autres) de la commune d'Eysines, située dans la banlieue de Bordeaux, métropole, qui comme celle de Rouen, subit les délires écolos-socialos.

(extraits du Figaro du 25/10)





Enfin croire, que rallumer la nuit l'éclairage public, suffirait à régler les problèmes d'insécurité dans notre commune, serait illusoire.

Il serait grand temps de donner à notre police municipale les moyens matériels et humains de remplir sa mission et notamment d'assurer une présence nocturne.

Et peut-être aussi, de demander au préfet d'arrêter de nous envoyer le trop plein de Kaboul, Constantine et Bamako.

C.D







 

Figaro du 25 octobre 2024


pas mieux...




mardi 22 octobre 2024

Radis pour 2025

 



 "On est gouverné par des lascars qui fixent le prix de la betterave et qui ne sauraient pas faire pousser des radis.".


Le Président (1961) d'Henri Verneuil, dialogues de Michel Audiard.