Kamel Daoud, prix Goncourt 2024, extraits d'une de ses chroniques dans Le Point
L'immense courage de cette étudiante de l'Université des sciences de Téhéran, face à la dictature islamique, restera dans l'histoire. https://t.co/isTqgk60CP pic.twitter.com/IhoLNgWL9t
— sophia aram (@SophiaAram) November 3, 2024
Quand j’étais adolescente, et m’étonnais de la stupidité ambiante, les gens intelligents de ma famille me disaient que cela avait toujours été comme ça, et avec l’âge, je me suis rendu compte que non, ou plutôt j’ai trouvé la confirmation de ce que je savais déjà, que la stupidité était la conséquence de la modernité, que plus on était moderne et plus on était con. De fait, les gens des années 50 et 60 me paraissent infiniment moins stupides que leurs descendants, je ne savais même pas, à l’époque, que l’on pouvait atteindre de tels abîmes de connerie, ce qui prouve que l’on avait au moins raison sur un point, à ce moment-là, dans le tissu de bêtise dont on m’abreuvait: on n’arrête pas le Progrès. Pas plus que la charge d’un rhinocéros.
Dans les années 50 et 60, il y avait encore de sages paysans, de dignes artisans, des lecteurs avertis, des amateurs de bonne chanson et de musique classique, et même des profs de gauche qui ne persécutaient pas leurs élèves de droite. ce n’était pas encore l’enfer total. C’est seulement dans les années 70 que j’ai commencé à voir la France se transformer en bande dessinée de Lauzier et en Brésil sans la samba.
Laurence Guillon
Des dizaines de milliers de Britanniques ont répondu à l'appel de Tommy Robinson et défilent en ce moment dans les rues de Londres pic.twitter.com/AlpZBTVBnK
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) October 26, 2024
A écouter ABSOLUMENT ! Comment Macron et sa bande d'inspecteurs des finances bradent notre industrie et nos emplois. Le fric, le fric, toujours le fric !#sanofi #Doliprane pic.twitter.com/0vdBMQtGbg
— N. Dupont-Aignan (@dupontaignan) October 15, 2024
Le scandale : « La patronne d’Opella, qui possède Doliprane, Mme Julie Van Ongevalle, a touché un « management package » de 200 millions d’euros pour vendre aux fonds américain » : Montebourg ose le dire, l'affaire commence !
— Gilbert Collard (@GilbertCollard) October 22, 2024
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De nos jours, une actualité chasse l'autre. On a déjà tourné la page "Doliprane".
Pourtant, c'est de l'effondrement de la France dont il s'agit et des profiteurs qui se gobergent dessus.
"la peur n'a pas sa place à Bihorel" affirmait la première dauphine (maire par intérim) suite à l'agression dite du "Super U" de deux jeunes, le 15 septembre dernier et de demander "que l'éclairage public soit remis la nuit".
On ne peut que se féliciter que notre première dauphine souhaite revenir sur la décision imbécile prise par le conseil municipal (qu'elle avait approuvée) d'éteindre l'éclairage public la nuit. Je me souviens d'un membre de la majorité municipale, ironisant sur le fait que nous avions tous un téléphone portable capable de nous éclairer, si besoin était, dans l'obscurité des rues du "vieux Bihorel"...
Combien de voitures vandalisées, volées et combien de cambriolages auraient été ainsi évités si la majorité municipale n'avait pas voulu se donner une caution "écolo" et faire des économies de bouts de chandelles.
Cependant, rallumer toute la nuit serait tout aussi imbécile. Il existe des solutions intelligentes et multiples, adoptées par des municipalités qui réfléchissent et ne tombent pas dans la facilité.
Voici l'expérience (il y en a d'autres) de la commune d'Eysines, située dans la banlieue de Bordeaux, métropole, qui comme celle de Rouen, subit les délires écolos-socialos.
(extraits du Figaro du 25/10)
Il serait grand temps de donner à notre police municipale les moyens matériels et humains de remplir sa mission et notamment d'assurer une présence nocturne.
Et peut-être aussi, de demander au préfet d'arrêter de nous envoyer le trop plein de Kaboul, Constantine et Bamako.
C.D
"On est gouverné par des lascars qui fixent le prix de la betterave et qui ne sauraient pas faire pousser des radis.".
Le Président (1961) d'Henri Verneuil, dialogues de Michel Audiard.