"la peur n'a pas sa place à Bihorel" affirmait la première dauphine (maire par intérim) suite à l'agression dite du "Super U" de deux jeunes, le 15 septembre dernier et de demander "que l'éclairage public soit remis la nuit".
On ne peut que se féliciter que notre première dauphine souhaite revenir sur la décision imbécile prise par le conseil municipal (qu'elle avait approuvée) d'éteindre l'éclairage public la nuit. Je me souviens d'un membre de la majorité municipale, ironisant sur le fait que nous avions tous un téléphone portable capable de nous éclairer, si besoin était, dans l'obscurité des rues du "vieux Bihorel"...
Combien de voitures vandalisées, volées et combien de cambriolages auraient été ainsi évités si la majorité municipale n'avait pas voulu se donner une caution "écolo" et faire des économies de bouts de chandelles.
Cependant, rallumer toute la nuit serait tout aussi imbécile. Il existe des solutions intelligentes et multiples, adoptées par des municipalités qui réfléchissent et ne tombent pas dans la facilité.
Voici l'expérience (il y en a d'autres) de la commune d'Eysines, située dans la banlieue de Bordeaux, métropole, qui comme celle de Rouen, subit les délires écolos-socialos.
(extraits du Figaro du 25/10)
Enfin croire, que rallumer la nuit l'éclairage public, suffirait à régler les problèmes d'insécurité dans notre commune, serait illusoire.
Il serait grand temps de donner à notre police municipale les moyens matériels et humains de remplir sa mission et notamment d'assurer une présence nocturne.
Et peut-être aussi, de demander au préfet d'arrêter de nous envoyer le trop plein de Kaboul, Constantine et Bamako.
C.D
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