Quelle joie, mes chers Compatriotes, d'aller voter dimanche ! Oh, je ne me déroberai pas au devoir de tout bon Français, j'irai glisser l'enveloppe dans l'urne même si voilà bien longtemps que ce n'est plus là que ça se joue. Mes dernières illusions à ce sujet se sont envolées en 2005 ou plus précisément en 2007 avec le traité de Lisbonne, voté par la gauche et la droite et faisant rentrer par la fenêtre parlementaire, ce que le peuple avait refusé de laisser passer par la porte référendaire. Tout le monde connait cette histoire, enfin ceux qui ont un peu de culture et qui savent lire, c'est à dire de moins en moins de "Français".
Quelle enthousiasmante alternative se présentera à nous dimanche: opter pour la peste rouge islamofasciste ou pour le choléra mondialiste ? Dans notre circonscription opter pour l'islamogauchiste LFI, chimiquement pur, qui s'oppose à la sortante, une "progressiste" au charisme d'un tas de neige qui fond ?
Que choisir, mes chers Compatriotes ? Les "mélenchonneries" communautaristes menant à la "nouvelle France", avec son racisme anti-blanc , son cortège de "wokistes" et de décoloniaux, ses listes de suspects et l'épuration qui ira avec, sans oublier ses aberrations économiques ? Ou bien les "macronneries" qui demain vont livrer ce qui reste de "France" à la bureaucratie bruxelloise, aux marchés et aux GAFAM ? Dans un cas comme dans l'autre, la perdante sera la France et son peuple historique.
La destruction de la France et de notre civilisation ne passera pas par mon vote. Alors, dimanche prochain, j'avais tout d'abord pensé mettre un bulletin blanc dans l'urne et puis je me suis ravisé. Sur mon bulletin, figurera le nom d'Alban Gervaise; ce médecin militaire catholique égorgé aux cris de "Dieu est grand" devant ses enfants à la sortie d'une école catholique à Marseille. Le silence médiatique et politique est resté assourdissant concernant cette affaire. Alan Gervaise cumulait un quadruple handicap: il était blanc, catholique, n'avait pas forcé de barrage de police et son assassin était un clandestin. Et puis, en période électorale, n'est-ce pas, il ne fallait pas faire le jeu de qui vous savez...
En y réfléchissant bien, mes chers Compatriotes, le destin d'Alban Gervaise pourrait bien être le notre dès demain. Raison de plus pour que son nom reste présent dans la mémoire nationale.
Dimanche 19 juin 2022, sera un triste dimanche pour la France, un de plus ! Mais pour nos descendants, dès lundi matin, nous devrons reprendre le chemin de la Reconquête, même si parfois, Rossinante commence à fatiguer...
C.Dragasès
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