"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

mercredi 28 décembre 2011

Bihorel va nous manquer.



Mes Chers Compatriotes,

Triste année que 2011 pour Bihorel, pour les démocrates, pour la république et pour les défenseurs des libertés fondamentales. Triste enfin pour tous les maires batisseurs de notre commune, d'Alfred Caron à Jean Fréret.
La fusion s'est faite dans la honte et le déshonneur. La cicatrice est profonde et ne se refermera pas de sitôt. L'histoire jugera et punira les responsables de cette trahison. 

Bihorel va nous manquer, alors en guise "d'au revoir" à notre commune, écoutons Gabriel Fauré.


Vive Bihorel libre !
CD

samedi 24 décembre 2011

Noël

Howa Ali, Mogadiscio 2011

Mon âme est abattue au-dedans de moi, aussi je pense à toi. Psaume 42, 7

mercredi 21 décembre 2011

Les 55 dernières minutes.

Plusieurs décisions insignifiantes furent adoptées (notre photo) par les BVAB, ponctuées de bêlements ironiques entonnés par les Bihorellais, une manière de montrer leur estime à la majorité municipale.

55 petites minutes, les dernières ! C’est ce qu’aura duré l'ultime conseil municipal de la ville de Bihorel. Un conseil triste et morne. Comme d’autres présents ce soir là, j’attendais un dernier soubresaut, une courte rémission juste avant la fin, qui aurait pu prendre la forme d’un discours de sortie d’un élu avec du panache. Mais rien de tout cela, on s’ennuya ferme du début à la fin. Les quelques Bihorellais présents semblaient être là, comme l’on assiste à une mise en bière. On regarde le mort avec résignation même si l'on n’y croit pas encore.
Les autres dans le public (je n'appelle plus les freluquistes « Bihorellais », ils se sont déchus, eux-mêmes, de cette qualité) arboraient l’air des imbéciles béats devant leurs idoles. Les niais ont toujours été fascinés par les crapules. Ainsi, étaient-ils une petite dizaine, occupant le premier rang, formant un imaginaire rempart entre les voyous élus de la majorité municipale et les Bihorellais fiers de l’être. 
Pascal Houbron tenta de conclure dans le brouhaha, cette dernière séance en évoquant, sans rire, sa confiance en la démocratie. Bizarre comme les plus beaux des concepts, énoncés par certaine bouche, en sortent salis.

Bois Guillaume - Bihorel, Hôtel du Parc
Mes chers Compatriotes, à l’Hôtel de Ville, rebaptisé dans la commune nouvelle "Hôtel du Parc", en souvenir d'un "glorieux" épisode de l'histoire de France, les élus collabos de BVAB s'affaireront pendant les fêtes, afin que tout soit prêt pour l'arrivée de l'occupant Bois Guillaumais dès le 1er janvier 2012. Pour accueillir le nouveau maire, ils répéteraient même l'adaptation d'un chant venant des années 40:  " Renard, nous voilà !".


Vive Bihorel Libre !
CD

mercredi 7 décembre 2011

Bihorel: une commune bananière.

Information sur le panneau de la mairie, complétée par des promeneurs (copyright M. Coruble)

Pas sûr que le Bihorel dirigé par Pascal Houbron soit le meilleur endroit pour une campagne d'affichage, encourageant les citoyens à s'inscrire sur les listes électorales et à faire preuve de civisme. C'est même en cette fin d'année, le plus mauvais exemple que l'on puisse choisir dans toute la république française.
En 2011, le freluquet et ses berniques nous ont montré que l'on pouvait très bien se passer de l'avis des électeurs, s'assoir sur le résultat d'un référendum et, d'une oukase, éliminer ses opposants élus au suffrage universel. Il suffit pour cela d'avoir la complicité du législateur, du représentant de la république et une grosse dose de mépris pour les Bihorellaises et les Bihorellais.

Avec "Bien Vivre à Bihorel", nous sommes plus proches de la Russie de Poutine que de la démocratie athénienne. Pour vous en convaincre, relisez avec attention le texte "un beau projet devient réalité" rédigé par l'écrivain en bâtiment de la majorité municipale en dernière page du Bihorel Mag. Dans ce texte, il nous explique que ceux qui se sont opposés à la fusion, n'ont pas leur place dans le nouveau conseil municipal. Avec Pascal Houbron, la démocratie, c'est simple comme un coup de fil au Préfet.
Minoritaires dans les urnes avec seulement un tiers des suffrages ayant approuvé leur projet de fusion, les BVAB n'en constitueront pas moins dans la nouvelle commune, plus de 80% de la représentation bihorellaise (21 sur 25 sièges). Une nouvelle commune qui se fera donc sans les deux tiers des Bihorellais. Normal, ceux-ci étaient contre la fusion, alors ils n'y auront pas leur place. Une logique freluquienne qui fait de Bihorel une commune bananière. Triste fin !

Mes chers Compatriotes, que celles et ceux d'entre vous qui ne sont pas encore inscrits sur les listes électorales, courent le faire toutes affaires cessantes. Le bulletin de vote reste encore notre plus sûr moyen de donner au freluquet, lors des prochaines élections, ce qu'il mérite : une bonne raclée...Électorale, bien évidemment !

Vive Bihorel libre !
CD


Cliquez sur l'image pour l'agrandir

jeudi 1 décembre 2011

La presse confirme: la chienlit, c'est bien lui !


Article paru dans le Bulletin de l’arrondissement de Rouen, relatant le dernier conseil municipal (en date) à Bihorel, que je vous invite à lire (cliquez ci dessus) ou à vous procurer chez votre libraire préféré. 
Article beaucoup plus fidèle au déroulement de cette soirée que chez les fayots de Paris Normandie.

Manu ad ferum, Vive Bihorel Libre !
CD 

dimanche 27 novembre 2011

T.S.F : Tout Sauf le Freluquet.

Paris Normandie du 25 novembre 2011(cliquez sur l'image pour l'agrandir)

Mes Chers Compatriotes,


Les véritables raisons de la fusion Bihorel / Bois Guillaume commencent à remonter à la surface. Ici, sur ce blog, nous n'avons jamais douté que Pascal Houbron bazardait la commune de Bihorel à celle de Bois Guillaume dans l'unique but de servir sa carrière politique. Le soucis de l’intérêt général est quelque chose d’étranger au freluquet. Dire que c'est Pascal Houbron en personne, qui accusait, lors du conseil municipal du 29 septembre dernier, ses opposants de ne penser qu'à leurs intérêts personnels!


En annonçant sa candidature à la candidature sur la 2ème circonscription, Pascal Houbron nous explique-t-il l'intérêt de voter Nouveau Centre plutôt qu'UMP? Avance-t-il des idées, voire un projet? Non. Alors que chaque jour, une part croissante de la population française s'enfonce un peu plus dans la misère, Pascal Houbron nous parle cuisine électorale. Nous retrouvons bien là l'intrigant, l'amateur de tambouille politicienne, qui se comporte en marchand de tapis au service de ses ambitions. "Si nous décidons de ne présenter personne dans la 2e (sous entendu à la place ou face à Françoise Guégot NDLR), cela passera par un accord avec une contrepartie".
Traduit du langage freluquien, cela signifie: si je ne peux pas prendre de l'oseille comme député, il faudra me donner un moyen d'en prendre ailleurs. Mais compte tenu des services rendus (la fusion), Pascal Houbron compte bien voir tomber devant lui, tous les obstacles sur la route, qu'il pense devoir le mener jusqu'au Palais Bourbon.


Celui qui, à Bihorel le 4 juillet 2011, s'est assis sur le suffrage universel, n'a depuis, plus aucune crédibilité pour le solliciter en 2012 comme candidat à la députation ou à quoi que ce soit d'autre. Ce genre de politicien est nuisible à la démocratie, aux Français et à la France. Notre bulletin de vote doit être notre "Flitox". 
Les états majors des partis de droite et du centre qui décideront des investitures pour les législatives de 2012, feraient bien de se souvenir des deux fessées infligées au freluquet à Bihorel (élections régionales et référendum sur la fusion) et que pour les prochains scrutins, ce sera tout, sauf le freluquet.

T.S.F : Tout Sauf le Freluquet, pourrait bien devenir le slogan d'une anti ou contre campagne à celle de Pascal Houbron dans la course à la députation dans la 2e circonscription.

Vive Bihorel Libre (et revanchard) !

CD

vendredi 25 novembre 2011

Au conseil municipal, la chienlit, c'est lui !

Fantomas avait, à sa manière, informé les citoyens sur les panneaux Decaux de la tenue du conseil municipal

Écrire sur le dernier conseil municipal, une fois encore vous rapporter ma perception, ce que j'en ai retenu, sans me répéter parce que je me sens quelque part comme un critique de théâtre qui assisterait encore et toujours à la représentation de la même mauvaise pièce. Fred Duval a raison, comme chez d'autres, la lassitude me gagne. Fred avec Marcan ont résumé sur ce blog dans les commentaires (et je les en remercie) l'essentiel de cette soirée du 21 novembre. Une soirée qui s'est mal terminée pour moi, non pas dans la salle des mariages de la mairie mais une fois rentré chez moi. J'ai trouvé mon vieux chien très mal en point et la nuit s'est prolongée à la clinique vétérinaire de garde. Mon viel ami est mort le lendemain. Alors croyez moi, Houbron et ses freluquettes, comme le disait Edith « rien à cirer ». C'est que, pour citer Raymond Devos « mon chien, c'est quelqu'un » et eux, les bvab, ne sont personne.

Pourtant je vais continuer à noircir des pages de blog pour vous raconter un spectacle, d'ailleurs auquel vous devriez vous même venir assister. Nous étions aussi nombreux lundi soir à la mairie que devant le monument aux morts, le 11 novembre dernier ou le 11 novembre de l'année précédente et sans doute celui de l'année prochaine. Ceux qui voudraient tout savoir par le menu, n'auront qu'à venir la prochaine fois. Vous verrez, écouter Gérard Dantan annoner comme un cancre qui ne maîtrise pas la lecture, un texte qu'il semble ne pas comprendre, présentant une résolution que le conseil doit adopter, est un moment délicieux, tout comme écouter Christiane Bazin, nous expliquer que la commune doit s'endetter encore un peu plus pour mener à bien les projets immobiliers du freluquet ou les voir adopter une nouvelle taxe et renier encore un peu plus leur promesse de paradis fiscal qu'aurait du devenir la nouvelle commune. Tout cela se répète, conseil après conseil, les BVAB n'ont même plus le courage de lever le bras pour confirmer qu'ils votent « oui » pendant que le freluquet quitte à peine des yeux ses dossiers pour compter les votes positifs de ses inféodés. Il est tellement sûr de lui comme il l'était avec Renard de la fusion au point d'avoir commencé les travaux d'agrandissement, dès le mois d'avril de cette année, de la mairie de Bois Guillaume pour y accueillir la « nouvelle commune », soit en plein « débat public » et trois mois avant la consultation des populations et le vote des deux conseils municipaux. Alors, lorsqu'Houbron ose une fois encore se draper des habits de la légalité, du respect, de la bonne foi, du bon sens près de chez vous et de la défense de Bihorel, on ne peut que lui crier « menteur » et lorsqu'il menace d'évacuer lui même les agitateurs des derniers rangs, s'esclaffer de rire et lui dire pour la prochaine fois « quand tu veux, cousin ».

La dignité il fallait la chercher parmi les opposants et dans la manière avec laquelle Guillaume Avisse et Firouze Djoubri Michel (malgré de ridicules et naïfs remerciements de l'élue verte) quittèrent définitivement un conseil municipal dont l'oukase d'Houbron signée par le préfet les a éliminés. 
Dignité et pugnacité aussi chez un Jean Claude Ravenel qui l'espace de ce conseil, se transforma en matador, plantant banderille sur banderille (stèles, emprunts, subventions) dans le séant d'un freluquet aux naseaux fumants, s'empourprant de rage. Jean Claude, ce lundi vous avez eu les oreilles, nous comptons tous sur vous pour finir le travail la prochaine fois. Ceux qui assistèrent à cette corrida ont encore mieux compris, pourquoi, Renard et Houbron ont demandé au préfet de les débarrasser d'un tel opposant.
La partie la plus « active » a bien failli se jouer dans les prolongations post conseil, jamais je n'ai senti à ce point que cela allait (enfin) dégoupiller. Tout est parti d'une histoire de censure. Il semblerait que le texte d'une liste d'opposition destiné à l'espace « expression » de la quatrième de couverture du prochain Bihorel mag ait été censuré. A l'heure actuelle rien ne le confirme ou l'infirme car les élus des oppositions n'ont pu avoir le nouveau numéro alors qu'une péronnelle non élue de BVAB, sans doute pour se donner l'air important que prennent les Marylines des standards, l'agitait ostensiblement. Une nouvelle façon pour le freluquet de prouver son attachement au respect de la démocratie.

Faire « un bon article » voilà ce que m'a demandé lors de ces fameuses prolongations Jérôme Larue (élu BVAB, je précise, car personne ici ne doit le connaître). J'ai d'abord été surpris puisque ne l'ayant jamais entendu prendre part aux débats depuis le début de cette mandature, j'avais fini par en conclure que Dieu ne lui avait pas fait la grâce du don de la parole. Son existence au conseil municipal s'était limitée jusque là, à « nicasser » avec sa voisine et à plonger son regard dans le décolleté de celle ci. De ce fait la réponse à la question « à quoi sert un Jérôme Larue dans un conseil municipal » s'imposait : à rien. Mais je suis injuste avec Jérôme Larue, car depuis qu'il est élu BVAB et siège au conseil municipal, il a pris une décision importante et durable qui a modifié le paysage de notre commune : il s'est rasé la moustache. Que voulez vous à Madrid, ils ont les « indignés » à Bihorel , nous avons les « insignifiants ».

Mes Chers Compatriotes, vous allez recevoir dans vos boites à lettres, l'organe de la désinformation et de la propagande freluquiste: Bihorel Mag. Vous savez que sur ce blog, nous nous occupons de la ré-information alors soyez nombreux à signer la pétition initiée par un démocrate bois guillaumais et que je relaie ici (voir lien en tête de ce blog). Les chiffres montrent que vous êtes peu nombreux parmi les lecteurs de ce blog à oser vous opposer publiquement à cette forfaiture et à ce déni de démocratie que constituent la fusion et l'élimination de quatre conseillers municipaux des oppositions bihorellaises. Diantre, engagez vous !

Vive Bihorel Libre !


CD

mardi 15 novembre 2011

Pétition des habitants indignés de Bihorel et Bois Guillaume

Cliquer sur l'image pour l'agrandir

       Mes Chers Compatriotes,

Rien ne serait pire que tombent dans l'oubli, la forfaiture et le déni de démocratie que constituent la fusion entre Bihorel et Bois guillaume ainsi que l'élimination de la moitié des élus des oppositions bihorellaises. C'est sur cet effet du temps qui passe que comptent Pascal Houbron et Gilbert Renard afin de poursuivre, impunément, leurs carrières politiques.

Des Bihorellais et des Bois Guillaumais ont décidé d'unir leurs efforts en rédigeant  une pétition. Ils la proposent aujourd'hui à tous les citoyens de Bihorel et de Bois Guillaume, opposants à la fusion ou partisans choqués par les méthodes utilisées pour la faire passer en force contre l'avis des populations. 
Mais cela va bien au delà. Elle s'adresse à tous les républicains et démocrates convaincus, de droite comme de gauche. C'est pour ces raisons que j'ai décidé de la relayer et de la signer des deux mains.
Alors, d'où que vous soyez mes chers Compatriotes, en signant cette pétition, c'est la démocratie avant tout, que vous défendrez.

Vive Bihorel libre !
CD

ps: vous pouvez signer électroniquement cette pétition en cliquant sur le lien en tête de ce blog, qui vous emmènera vers le site "mesopinions.com" où elle est hébergée. Sur ce même site, vous pourrez, si vous le souhaitez, la télécharger au format PDF pour l'imprimer et la faire signer autour de vous. Vous pouvez également imprimer l'image ci dessus. Nous vous communiquerons, sous peu et ici même, où adresser les pétitions imprimées.

vendredi 11 novembre 2011

Classe 13

mon grand-père en permission à Doudeville en 1917, arborant fièrement sa croix de guerre
Cet homme est loin d'être pour moi un soldat inconnu. Il s'agit de mon grand-père. Incorporé en 1913 pour effectuer son service militaire, il ne sera démobilisé qu'en janvier 1919. Je crois que l'on peut écrire qu'il fut un survivant. Bataille de la Somme, bataille de la Marne, le chemin des Dames, Verdun et le fort de Douaumont. Cet épisode le marqua particulièrement. Lorsque j'ai eu 13 ou 14 ans, il me montra un jour son "déblayeur de tranchée" en me parlant des combats au corps à corps dans l'obscurité des couloirs du fort. "On ne savait plus qui on transperçait, camarade ou ennemi", me confia-t-il.

Quelques mois plus tard, sur un lit d’hôpital, vivant ses derniers instants dans les délires qui précèdent la mort, mon grand-père revécut des moments de sa guerre, donnant des ordres, demandant que l'on prévienne l'artillerie de modifier ses tirs et criant à ses camarades de sauter dans la tranchée.
Cinquante cinq ans après l'armistice de 1918, marqué à tout jamais, mon grand père est mort, lui aussi, pendant la grande guerre. 

CD

mardi 8 novembre 2011

So long "Smoking Joe"


C'était en 1971. Sur mon transistor de marque "Optalix", j'avais veillé tard pour suivre les 15 rounds entre Frazier et Ali retransmis par RTL sur les grandes ondes. Je me souviens avoir mimé le célèbre crochet gauche de Joe Frazier. Ce soir là, il avait réussi l'impensable: battre Mohamed Ali !


Le lendemain matin dans la cour de récré du Collège Albert Camus, situé dans le quartier de la Sablière à Rouen, c'était l'unique sujet de conversation. Je me rappelle que certains avaient même poussé la reconstitution un peu loin...
Joe Frazier perdra les deux combats suivants contre Ali et prendra une correction en moins de deux rounds contre Georges Foreman, mais Joe eu sa revanche. Je ne sais pas trop pourquoi, mais il est toujours resté une idole pour moi et si quelques années après je me suis acheté une paire de gants, travaillé au sac (rien à voir avec Pasqua) et eu envie de monter sur un ring, c'est grâce à lui.

Joe Frazier est mort hier, 7 novembre, à Philadelphie. Il avait 67 ans. Le cancer l'a vaincu en 2 mois.
So long Joe.

CD


samedi 5 novembre 2011

"Je suis un candidat patriote"




Jean-Pierre Chevènement a officialisé ce samedi soir au journal télévisé de France 2 sa candidature à l'élection présidentielle de 2012. Dans une interview au «Parisien» - «Aujourd'hui en France», l'ancien ministre, président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), dessine les axes de sa future campagne. 

Le Parisien: Vous êtes donc candidat ? 
Jean-Pierre Chevènement
: Oui. J’ai beaucoup réfléchi, écouté. Et je suis candidat à l’élection présidentielle pour faire bouger les lignes. Ma candidature se veut pédagogique à l’égard des citoyens mais aussi des autres candidats. Ceux qui nous dirigent ne sont malheureusement pas préparés à faire face aux secousses très fortes qui sont devant nous. 

La crise que traverse le pays a-t-elle été l’élément déclencheur ? 
Assurément car cette crise est sous- analysée. Voilà vingt ans, j’ai pris position contre le traité de Maastricht que tous ceux qui nous dirigent ont soutenu. Le vice est dans la conception de la monnaie unique : on ne peut pas transférer la souveraineté monétaire de 17 pays très différents par leurs structures économiques, leurs langues et leurs options politiques à un aréopage de banquiers centraux, irresponsables et obnubilés par l’inflation. Après hier, le défaut partiel de la Grèce, aujourd’hui l’Italie, demain l’Espagne, ce qui nous menace, c’est une récession généralisée ! Nicolas Sarkozy ne nous offre qu’une austérité à perte de vue : son horizon est le maintien du triple A . La souveraineté populaire a été transférée aux agences de notation ! Quant à François Hollande, il promet de réduire le déficit budgétaire à 3 % du PIB en 2013 sans remettre en cause la logique actuelle de la monnaie unique. Pour sortir de l’impasse, la solution consiste à donner à la Banque centrale européenne les mêmes prérogatives que la Banque centrale américaine afin qu’en rachetant les titres de dette des Etats, elle puisse casser la spéculation et doper la croissance. 

Etes-vous le candidat de la fin de l’euro ? 
L’abandon de la monnaie unique au profit d’une monnaie commune n’est pas un tabou pour moi, si l’Allemagne persiste dans son refus d’étendre les missions de la Banque centrale. La monnaie unique, qui méconnaît les réalités nationales, a creusé un gouffre entre une Allemagne industrielle et excédentaire et les économies du sud de l’Europe, déficitaires et en voie de désindustrialisation. Si la Grèce et surtout l’Italie devaient un jour faire défaut, ce serait le début d’un processus de dissociation de la monnaie unique. Il faudrait alors préparer le passage le plus harmonieux possible de la monnaie unique à une monnaie commune. Celle-ci utilisable dans les échanges extérieurs coexisterait avec des monnaies nationales réservées aux transactions intérieures.

Quels sont les points clés de votre programme ? 
Nos dirigeants sont comme ceux de 1940 : ils ne sont pas préparés à faire face à des événements qu’ils ne comprennent pas, car ils sont la conséquence des choix faits par eux il y a vingt ans. Quatre repères d’intérêt vital pour la France et pour la République motivent ma candidature. D’abord une monnaie moins chère : l’euro, surévalué de 25 %, écrase notre compétitivité. Notre base industrielle, sans laquelle nous ne pourrons maintenir une protection sociale efficace, a rétréci de moitié depuis trente ans. Deuxièmement, la croissance plutôt que la récession. Troisièmement, la sauvegarde de notre souveraineté budgétaire et fiscale : notre dissuasion nucléaire elle-même peut être menacée par des restrictions budgétaires. Enfin, une France forte est nécessaire pour construire une Europe européenne appuyée sur les nations. L’Europe n’est pas mûre pour une fédération qui serait aujourd’hui un espace essentiellement disciplinaire : le « saut fédéral » que certains préconisent à droite comme à gauche serait un saut dans le vide, sans élastique et sans retour. Ce qu’il faut, c’est une Europe européenne à forme confédérale. 

Le projet socialiste vous paraît-il à la hauteur de l’enjeu ? 
Il y a quelques bonnes idées mais il est irréalisable dans un contexte de croissance réduite à 1 %, et encore… Son défaut est de ne pas chercher une issue progressiste à la crise de l’euro. 

François Hollande a-t-il les épaules pour diriger le pays dans un contexte de crise grave ? 
L’expérience, cela s’acquiert… François Hollande est un homme fin et intelligent. Mais, en fidèle héritier de Jacques Delors, il a été pour le traité de Maastricht, puis pour la Constitution européenne. Je ne suis pas candidat contre François Hollande. Je veux aider la gauche et la France à se mettre à la hauteur des défis. Cela ne peut se faire autrement que sur la place publique : il faut un dialogue ouvert et franc. Je tiendrai un discours de vérité pour éviter toute déception ultérieure. 

Le candidat socialiste a déjà mis en garde contre les risques d’éparpillement de la gauche…
Nous n’en sommes pas là. Ma voix manquerait si on ne l’entendait pas s’élever aujourd’hui. Je ne suis motivé que par le souci de servir le pays dans une période critique. Pourquoi la voix de Mme Joly serait-elle légitime et pas la mienne ? 

Un nouveau 21 avril 2002 est-il possible ? 
En 2002, déjà, j’ai mis en garde contre l’omnipotence des marchés financiers, j’ai proposé une politique industrielle, le redressement de l’Europe, des repères clairs pour l’école, la sécurité, l’intégration : je n’ai eu le tort que d’être en avance sur les événements. Ceux qui, depuis des décennies, ont fait le lit du Front national par leur ralliement au néolibéralisme essaient de renverser les rôles pour me faire porter le chapeau. Une voix républicaine doit s’élever pour proposer une politique conforme à l’intérêt national. Elle fera barrage au Front national. 

Le patriotisme n’est-il pas un peu vieux jeu ? 
Non. Le patriotisme, c’est l’amour des siens, le nationalisme, c’est la haine des autres. La nation est le cadre irremplaçable de la démocratie et de la souveraineté. Je suis un candidat patriote, ce qui ne m’empêche pas de vouloir redresser l’Europe. 

En cas de victoire en 2012, seriez-vous prêt à participer à un gouvernement de gauche et des écologistes ? 
Je ne demande rien pour moi-même. Je veux débattre, y compris avec les écologistes. Qui sait que la fermeture du tiers de notre parc nucléaire coûterait 250 Mds€ et renchérirait de 40 % la facture d’électricité pour les Français ? Pour un contrat de gouvernement, il faudrait surmonter des divergences très importantes. Ce n’est pas ma perspective. 

Quel type de campagne allez-vous mener ? 
J’irai dans les usines. L’avenir de la France passe par sa réindustrialisation. La reconquête de l’électorat ouvrier, cela me paraît essentiel. Les couches populaires se reconnaîtront dans ma campagne. 

Avez-vous vos 500 parrainages ? 
Beaucoup de maires m’ont promis de me soutenir. J’ai déjà à peu près la moitié de mes parrainages. Je crois en la dynamique de ma campagne. 

Vous étiez ministre en 1981, vous êtes candidat à l’élection présidentielle trente ans plus tard : n’est-ce pas la campagne de trop ? 
Dans une période de crise, les Français ont besoin d’un homme d’expérience et de caractère. Le renouvellement, je le ferai autour de moi en défendant les intérêts de notre jeunesse sans la flatter à travers un « jeunisme » démagogique. 


Propos recueillis par Eric Haquemand 
------ 
Source : LeParisien.fr

lundi 17 octobre 2011

vendredi 14 octobre 2011

Blanc benêt et benêt blanc

Dimanche, parmi les "impétrants"  (coté droit), faites votre choix.....!

Mes Chers Compatriotes, courage !

Dans 48 heures, 72 au maximum avec les analyses de lundi, nous serons enfin délivrés de la propagande faite autour des primaires du parti unique.

Ce deuxième tour, me rappelle celui des présidentielles de 1969 (année érotique) qui vît "s'affronter", Georges Pompidou et Alain Poher. Cela fut palpitant et avait inspiré à Jacques Duclos (l'idole du Front de Gauche de l'époque), sa célèbre formule "c'est blanc bonnet et bonnet blanc".

La version 2011, ce serait plutôt "blanc benêt et benêt blanc".
CD

ps: Gébé, le regretté dessinateur, ne m'en voudra pas, là où il est, de lui avoir emprunté son dessin qui fit la "une" du numéro 169 de Charlie Hebdo, daté du lundi 11 février 1974  (archives personnelles).

dimanche 9 octobre 2011

Festif, Démocratique et Convivial.


Sérieusement, serait-il vraiment raisonnable de leur confier les clefs de la France en mai 2012 ? N'avons nous pas déjà, assez de problèmes avec le pouvoir actuel ?
CD 

lundi 3 octobre 2011

A Bihorel, la Banque Postale fait sa Pub avec le Freluquet !


Pas facile de décoller ces affiches là, non plus, puisqu'elles sont collées à l'intérieur du panneau JC Decaux situé sur la place de l'église mais aussi et surtout devant la mairie. Belle performance de notre ami anti-freluquiste anonyme !

Mes Chers Compatriotes, prenez en de la graine.

Manu ad ferum
CD

samedi 1 octobre 2011

Et Marianne, en eut la nausée.

La démocratie?  Rien à foutre !

Posée sur la cheminée de la salle du conseil municipal, la statue de Marianne est là qui nous regarde. Depuis des décennies, elle observe parfois en souriant, parfois en fronçant le sourcil, les échanges entre majorité et opposition et la manière dont le maire conduit les affaires communales. Jusqu’à la fin du 20ème siècle, bon an, mal an, tout s’était bien passé et elle était plutôt fière de ses représentants.
Marianne a commencé à s’inquiéter lorsque Bihorel s’est donné pour maire un jeune freluquet arriviste. Marianne eut alors un mauvais pressentiment, un peu comme si le « malin » investissait la place. Encadré, le jeune impétueux fut ramené plusieurs fois à la raison par sa propre majorité et sa première mandature se termina sans trop de dégâts apparents.
C’est en février 2010, lors du vote du PLU, que Marianne a commencé à se sentir salie. Son mauvais pressentiment se réalisait. Elle ne comprenait pas comment le maire pouvait faire adopter contre l’avis de la population exprimé lors de l’enquête publique, un PLU largement rejeté.
Mais le pire l’attendait. C’est depuis le 26 juin dernier, pendant la lecture par le maire des résultats du référendum sur la fusion et l’interprétation qu’il en fit, que Marianne a la nausée. Le 4 juillet fut presque pour elle, un coup de grâce. Ce jour là, le voleur de commune et ses berniques votèrent la disparition de Bihorel contre l’avis des deux tiers de la population. Marianne eut toutes les peines du monde a retenir ses hauts le cœur devant une pareille trahison des principes qu’elle incarnait et que le maire était sensé faire respecter. Cette nuit là, dans l’obscurité d’une salle du conseil municipal revenue au calme, Marianne eut du mal à trouver le sommeil, revivant inlassablement l’instant du vote. 
La photo en tête de ce billet représente Augusto Pinochet. Certains diront que la comparaison est excessive. Certes, il y a loin entre une commune et une nation, entre un freluquet et un généralissime. Houbron n’a pas non plus parqué ses opposants dans le stade du GCOB. Il s’est contenté de les faire éliminer arbitrairement par le préfet.
Mais ce qu’ils ont en commun, ce sont les gênes des ennemis de la république et de la démocratie. Le Freluquet, n’a-t-il pas, tellement excédé par les accusations d’avoir utilisé ses amis politiques pour faire adopter la loi du 16 décembre 2010 et influé sur le préfet pour que ce dernier élimine 4 élus des oppositions, lâché jeudi soir, que c’était lui attribuer beaucoup plus de pouvoir qu’il n’en avait réellement et que s’il avait eu vraiment ce pouvoir, les choses se seraient passées encore très différemment. Tout un programme ! Croyez moi, mes Chers Compatriotes, tout est une question d’époque mais surtout de circonstances.    
  
Marianne sait qu’au 1er janvier 2012, des mécréants viendront la retirer de sa cheminée pour la remiser dans un placard perdu dans les combles ou dans la cave de l’ex-mairie de Bihorel. Mais elle sait aussi qu’il n’est pas besoin d’attendre cette date pour que Bihorel soit un territoire disparu de la république. Alors ce soir du 29 septembre, lorsque « l’homme qui n’aime pas Bihorel » et les élus de BVAB entrent dans la salle du conseil municipal, Marianne sent monter en elle, la même nausée qu’en juin dernier. Une nausée qui ne la quittera pas de la soirée tant elle verra un Pascal Houbron, jeter ce qui restait encore des oripeaux de la république et de la démocratie à Bihorel, au fond du caniveau.

Oui, la démocratie, il n’en a vraiment rien à faire comme lorsqu’on l’interroge sur le financement des stèles, sur l’éviction de 4 conseilleurs municipaux d’opposition (pour lesquels il n’aura pas un seul mot) ou sur les emprunts toxiques qui vont coûter (très) cher au contribuable bihorellais. Ricanements et mépris, voilà, ce que le Freluquet fournira pour toute réponse. L’essentiel pour lui est acquis. Au 1er janvier la fusion se fera, le reste : rien à foutre !

Début de conseil tendu, où les BVAB se contentèrent de regarder leurs chaussures. J.C.Ravenel ouvrit les hostilités en relançant le débat sur le financement des stèles. Houbron se contredira par rapport au dernier conseil, Hamster Jovial (merci Gotlib) alias François d’Hubert confirmera qu’une partie de l’argent venait bien de fonds publics.
Ce financement n’a jamais été voté par le conseil pas plus que l’autorisation de les construire sur des terrains communaux. Quelque chose me dit que tout cela va se terminer au tribunal devant un juge qui voyant arriver le Freluquet s’exclamera : « encore vous ! ».

Les emprunts toxiques donnèrent l’occasion à l’un de mes fidèles lecteurs, Maurice Buisson, de faire étalage de toute sa science en la matière. Ce fût un moment délicieux d’entendre Maurice user de termes techniques financiers (pibor, ribor) et de voir Houbron et Christiane Bazin (adjointe aux finances) boire la tasse, leurs yeux lancer des SOS, puis manquant d’air, les voir couler à pic, n’ayant rien compris au brillant exposé de Maurice. Confirmation nous fut ainsi donnée qu’avec les BVAB, les finances de la commune sont aux mains d’incompétents.
  
Les interventions de Benoit Pétel et de Claude Taleb, ne purent que faire regretter que ces deux là marchent au « courant alternatif » et qu’entre deux conseils municipaux, on ne les entende pas plus pour mener une fronde « anti-freluquiste ». Leurs efforts pour ramener un peu de décence dans le débat qui les opposait à Houbron furent vains. Ce dernier poussa l’outrecuidance jusqu’à les accuser de n’être guidés que par leurs intérêts personnels. Quel voyou, ce Freluquet ! Il abuse de ses pouvoirs pour livrer avec son PLU, Bihorel aux promoteurs avant de vendre notre commune à Gilbert Renard, histoire de mettre de l’huile dans sa carrière politique et le voilà qui se pose en moralisateur. 
Un autre moment fut pour moi aussi somptueux qu’un verre de Cazetiers*. Le camarade Léon toucha juste, lorsqu’il expliqua à Houbron que sa carrière politique était cramée, que non seulement on le poursuivrait dans toutes les réunions de campagne qu’il tiendrait pour lui pourrir la vie, mais aussi, et c’est là que ça fit mal, lorsque l’élu régional sous-entendit qu’il userait de toute son influence pour rendre le freluquet tricard. A cet instant, Houbron  blêmit.

La fusion, quand à elle, commence à produire ses premiers dégâts. Je ne reviendrai pas sur les victimes collatérales que sont nos 4 élus des oppositions éliminés arbitrairement du conseil municipal du Bois Guillaume élargi. Nouvelle victime, immédiate, elle aussi, c’est le contribuable bihorellais. Rappelez-vous, mes Chers Compatriotes, la propagande freluquiste qui n’était pas à un mensonge près, nous avait annoncé des baisses d’impôts conséquentes, la « commune nouvelle » étant appelée à devenir quasiment une sorte de paradis fiscal en matière de taxe foncière et d’impôts locaux.
Cela c’était avant le vote du mois de juin mais jeudi soir, une des premières décision prise en vue de la création de la « commune nouvelle » fut la suppression de l’exonération de deux ans de la taxe foncière pour les constructions nouvelles (y compris les agrandissements). Comme me faisait remarquer un ami, « j’ai l’impression que l’on a pas fini de s’enfiler les suppositoires les uns derrière les autres ». 
Malgré tout cela, j’ai passé une excellente soirée parce que les Bihorellais présents eurent l’élégance de cette dérision qu’ont les hommes qui savent rirent jusque dans les cimetières et nous avons beaucoup ri et beaucoup tourné en dérision. Et puis, Marianne eut ce soir là, le sourire, le temps d’une « Marseillaise » chantée (sans fausse note, bravo M. Coruble) par des Bihorellais parqués au fond de la salle. Elle pensa que tout n’était peut être pas encore perdu, mais que ses enfants, à Bihorel comme dans la France entière, feraient bien de se réveiller, s’ils ne veulent pas être emportés avec elle et la démocratie.

Manu ad ferum
CD

Ps : je propose dores et déjà que nous nous rendions au premier conseil municipal de la «commune nouvelle » pour y  brandir le portrait de nos 4 élus évincés arbitrairement.

* Cazetiers : premier cru de Gevrey Chambertin, situé près du Clos Saint Jacques. Les puristes et connaisseurs locaux me reprocheront sans doute de ne pas avoir précisé "d'en haut". Voilà qui est fait.  

dimanche 25 septembre 2011

Conseil Municipal, jeudi 29 septembre à 20H30mn

Le voleur de commune et son complice
Mes Chers Compatriotes,

L’atmosphère nauséabonde qui règne actuellement en France (affaires Karachi, DSK, Guérini etc..), de régime décadent, de république finissante et de démocratie de façade, n’épargne pas Bihorel. L’apothéose sur notre commune eut lieu le 4 juillet dernier lorsque le maire et ses berniques votèrent la fusion contre l’avis des deux tiers des Bihorellais.

Le 1er janvier 2012, la mairie de Bihorel deviendra une coquille vide. Pouvoir et centre de décision auront alors déserté le lieu. Le conseil municipal se tiendra dorénavant dans la mairie de la toute puissante Bois Guillaume et avec l’élimination des élus des listes « Vive Bihorel », « J’aime Bihorel » et d’un tiers de ceux de « Bihorel avec vous », c’est plus de la moitié d’entre nous qui ne sera plus représentée au conseil municipal. 
Par le suffrage universel, nous leur avions pourtant donné, lors des élections de 2008, mandat jusqu’en 2014, mais la bande de voyous de Freluquet&cie ose tout !

La fusion ne peut être juridiquement remise en question. Sur le plan légal, il n’y a pas de faille, les scélérats ont bétonné leur affaire, même si c’est la république des copains qui le leur permet (cf loi du 16 décembre 2010).

Soyons en conscients, le conseil municipal de ce jeudi 29 septembre (l’ordre du jour est quasiment entièrement consacré à la fusion voir ci-dessous) est l'une des dernières occasions d’exprimer à Pascal Houbron et aux élus de Bien Vivre à Bihorel,  nos remerciements pour leur trahison du résultat du référendum du 26 juin 2011.
Pour avoir échangé avec vous à ce sujet, mes Chers Compatriotes, sur le "off" de ce blog, je sais que vos souhaits sont divers et variés. Certains veulent brandir des affiches, d’autres scander des slogans ou renverser les tables, entarter le Freluquet, j’en passe et (surtout) des meilleures !

Mes Chers Compatriotes, il vous reste maintenant à transformer vos paroles en actes. Si vous n’agissez pas le 29 septembre, vous resterez des citoyens frustrés jusqu’à la fin de vos jours. 
Les politiques nous ont abandonné au milieu du gué, alors, à l’image de nos ancêtres qui jadis prirent la Bastille, jeudi prochain, osez et lâchez-vous !  

Manu ad ferum
CD
Ordre du jour, Conseil du 29/09 (cliquez sur l'image pour agrandir)



Les Finances de Bihorel intoxiquées?


Dans le cadre de "la bonne gestion qui est la nôtre", le Freluquet et ses berniques nous auraient-ils menti (à l'insu de leur plein gré), concernant leur inconséquence en matière d'emprunts et d'endettement de notre commune?
Je relaie ici un lien transmis par "Maurice76" (du crédit agricole, peut être ?) menant à une étude publiée par le journal "Libération" à ce sujet.
Il semble qu'à Bihorel, le placard ne soit pas exempt de "rats crevés" et si l'on en croit le rapport, la note à payer par ce cochon de contribuable (vous et moi, mes Chers Compatriotes) serait assez salée !

Pour en savoir plus, cliquez sur: 



Manu ad ferum
CD


Initiative Citoyenne.

Création Michel Coruble

A l'initiative de Michel Coruble, hier matin devant le panneau d'affichage de la mairie, se sont rassemblés quelques Bihorellaises et Bihorellais qui voulaient ainsi exprimer leur attachement au respect de la démocratie en général et du résultat du référendum sur la fusion du 26 juin 2011 en particulier. 
Rappelons que ce jour là, 67 % des électeurs bihorellais ont dit "NON" au projet du Freluquet et de sa bande de voleurs de commune, ce qui ne les a pas empêché une semaine après d'adopter la fusion au mépris de l'esprit républicain et démocratique.

Cette initiative citoyenne de ce samedi 24 septembre sur la place de l’Église, tranche avec le mutisme général des responsables politiques locaux, mutisme que les Bihorellaises et Bihorellais supportent de plus en plus mal.

Enfin notons que les affiches collées à cette occasion et de manière tout à fait légale sur le panneau d'expression devant la mairie, ont été arrachées dans l'heure par les félons freluquistes.

Manu ad ferum
CD

ps: Conseil Municipal, jeudi 29 septembre. Ce sera le sujet de notre second billet dominical.