Vous vous souviendrez sans doute de Mila, cette jeune fille qui fut la proie des islamo-gauchistes voici quelques mois et bien elle a enregistré une version d'un tube très en vogue en ces périodes électorales.
Ce n'est pas que j'apprécie particulièrement ce genre de chansonnette à la rime pauvre, mais bon, comme le dit Mélenchon lorsqu'on le questionne sur "Un flic tué, c'est un électeur du RN en moins" et autres slogans hostiles à la Police, "on a bien le droit de rigoler".
Alors, nous aussi mes chers Compatriotes, rigolons comme Jean Luc.
Et puis comme le disait Philippe Muray " toutes les occasions de se rendre antipathique aux progressistes sont bonnes ".
C.D
Mais voilà, la censure et la justice se sont montrées bien plus rapides que lorsqu'elles ont à statuer sur les rappeurs qui "niquent la France" et le clip n'est plus disponible, ce soir, en raison d'une réclamation juridique.
Deux poids, deux mesures, un peu comme Darmarnin qui dissout depuis des mois des associations "d'extrême droiiite", la dernière étant le GUD et ignore tous les "Black Blocs" et autres "antifas" comme la "Jeune Garde", nervis de Mélenchon, du NFP et du PS.
Alors, bon, retournons quelques années en arrière et à celui qui avait raison dès les années 80 et qui dans l'extrait ci dessous d'un débat face au communiste Lajoinie, remet les pendules à l'heure entre "collabos" et "résistants".
Voici ce que j'avais prévu publier en avril dernier avant de finalement renoncer face à l'inculture crasse de l'époque.
J'ai retrouvé cela dans mes archives. Une vision différente de celle des discours entendus lors de l'hommage à Missak Manouchian de la part de l'exécutif et des médias notamment quant au rôle joué par les communistes et la droite nationale en 1940.
Je vous laisse savourer ce court échange entre J. Le Pen et André Lajoinie sous le regard inquiet de Georges Marchais.
CD
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