Affligeant sur le fond, un naufrage sur la forme. Avec ses airs de speakerine des années 60, Pécresse a déclamé telle une actrice de la comédie française d'avant guerre, un discours d'une indigence intellectuelle qui disputait la primauté de la médiocrité à ceux d'Annie Dingo. Il est clair que Valérie Pécresse n'a pas la taille candidate à la présidence.
Ce dimanche, dans un zénith de Paris plein comme un œuf, nous avons eu droit à une prestation digne d'un club de théâtre de classe de cinquième. Tout sonnait faux. La droite molle et ses supplétifs "islamocentristes" ne s'en relèveront pas.
Qu'il semble loin le temps des discours de Nicolas Sarkozy écrits par Henri Guaino. Et c'est tant mieux car ils ne furent jamais traduis en actes.
Place à la Reconquête !
CD
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