"Là où il y a une volonté, il y a un chemin" disait Luther. Cette phrase le maire de Petit Quevilly semble l'avoir faite sienne et quelques mois après sa fermeture pour travaux, la piscine de cette commune rouvre après une réfection quasi-totale et ce pour 5 millions d'euros largement financés par l'ensemble des collectivités locales.
Et à Bihorel, où en est la réflexion des "culs de plomb" de la majorité municipale au sujet de notre piscine "Transat" qui depuis plus de cinq ans, laissée à l'abandon, tombe en ruine ?
Apathie, "jm'enfoutisme", paresse intellectuelle ont toujours caractérisé les différentes mandatures de notre petit marquis qui ne semble s'activer que lorsqu'il s'agit d'abattre des arbres comme sur la place de l'église ou de faire le bonheur (et les profits) des promoteurs immobiliers.
Pilotée, sans ambition ni dynamisme, sans volonté et sans vision, Bihorel se trouve aujourd'hui dans une impasse et à la traine dans la métropole.
C.Dragasès
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