Dans un premier temps, tous ces militants de gauche trahis vous donneraient au mieux envie de rire, au pire vous feraient pitié. Les pastèques d ' EELV malgré Notre Dame des Landes rallient leur maitre socialiste, uniquement cependant là où il veut bien d'eux et a surtout besoin d'eux. Ailleurs, comme en Bretagne, le domestique est éconduit.
Le Front de gauche, malgré Macron et le futur démantèlement du droit du travail, va à la soupe. Mélanchon qui n'existe quasiment plus politiquement au vu du score de dimanche, aura perdu en plus son honneur entre les deux tours, comme tout vulgaire renégat. Et oui, le camarade Mélanchon pour faire échec aux chemises brunes qui n'existent que dans ses fantasmes, se range aux cotés de ceux qui appellent à voter Estrosi et Bertrand. Heureusement Billancourt n'existe plus, sinon quel désespoir pour lui !
Non, finalement le militant de gauche ne me fait ni rire ni pitié, il a le sort qu'il mérite. Le réel l'avait déjà rattrapé en janvier puis le 13 novembre dernier, dimanche, il lui a présenté l'addition.
Au deuxième tour, au prix de tambouilles, de trahisons et de renoncements, les meubles seront peut-ête sauvés face à la droite patriote comme en Normandie, mais ce sera dans toute l'acception du terme, reculer pour mieux sauter. Encore cinq minutes Monsieur le Boureau, crient-ils tous ensemble, tous ensemble (comme dans les manifs).
Au deuxième tour, au prix de tambouilles, de trahisons et de renoncements, les meubles seront peut-ête sauvés face à la droite patriote comme en Normandie, mais ce sera dans toute l'acception du terme, reculer pour mieux sauter. Encore cinq minutes Monsieur le Boureau, crient-ils tous ensemble, tous ensemble (comme dans les manifs).
Continue à courir, camarade soixante huitard après ton vieux monde pendant que tes vieilles jambes te portent encore, mais comme le disait Baudrillard "le réel est plus fort que toi".
CD
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