Depuis quelques temps, le Freluquet distille par voie de presse une douce musique
d'ambiance en direction des oreilles des électeurs. Musique, de celles qui endorment votre
vigilance dans les supermarchés pour tenter insidieusement d'atteindre
votre inconscient de consommateur.
Nous connaissons tous, mes chers Compatriotes, l'histoire de ce voleur qui un jour s'introduisit par effraction dans une maison pour la piller et qui au moment de débrancher la télévision pour l'embarquer, faillit s'électrocuter. Vous souvenez vous de ce qu'il advint ? Et bien c'est le voleur qui porta plainte contre les propriétaires parce que l'installation électrique n'était pas aux normes.
Ainsi aujourd'hui, c'est le pyromane qui crie au feu, le voleur de commune qui prend la posture de la victime et répand avec l'aide d'une presse complice, pour ne pas dire aux ordres, l'idée que les Bihorellaises et Bihorellais penseraient que la dé-fusion est un énorme gâchis dont la responsabilité incomberait à quelques-uns, opposants motivés par de bas intérets personnels et politiques. Je ne reprendrai pas ici ce que mon ami Michel Coruble a brillamment exposé et développé dans son billet. Je me contenterai d'y ajouter un élément à mes yeux primordial.
Les voleurs de commune, non contents de s'être une première fois déjà attaqué à l'un des piliers de la République Française et de la démocratie en s'asseyant sur le suffrage universel le 4 juillet 2011, récidivent en 2014.
Cette fois-ci c'est à la justice française qu'ils s'attaquent en détournant et dénigrant la décision des juges, juges qui ont prononcé l'annulation de la fusion. Qui pourrait croire que cette décision de la justice française fut prononcée pour servir les intérêts de quelques Bihorellais ? Répandre cette idée, c'est diffamer la justice et les juges !
Cette fois-ci c'est à la justice française qu'ils s'attaquent en détournant et dénigrant la décision des juges, juges qui ont prononcé l'annulation de la fusion. Qui pourrait croire que cette décision de la justice française fut prononcée pour servir les intérêts de quelques Bihorellais ? Répandre cette idée, c'est diffamer la justice et les juges !
Non, si les voleurs de communes ont perdu au tribunal, c'est que leur fusion était cousue de mensonges et que les juges ont voulu rendre leur bien aux 66% de Bihorellais qui s'étaient opposés à cette aventure, rétablissant ainsi, comme je l'écrivais ici même le 18 juin 2013, le pacte républicain.
Fusion, dé-fusion, ce sont bien les voleurs de commune, les responsables. En annulant la fusion, la justice française a dit le droit. Alors, mes chers Compatriotes, dans les jours et semaines qui viennent, lorsque vous entendrez Houbron faire campagne, n'oubliez pas que le "gâchis", c'est lui !
Manu ad ferum
CD
Information: vœux de l'ex-maire, jeudi 19h au foyer municipal. Soyons nombreux !
En effet quel gâchis de ne pas avoir écouter les habitants, quel gâchis d'avoir tripatouiller les chiffres d'un scrutin, quel gâchis d'avoir "fourguer" sa commune en échange d'un soutien pour un poste de député, quel gâchis cette incompétence bien révélée par le Tribunal, quel gâchis l'emploi de nos impôts vers d'autres destinations que celle de notre territoire, quel gâchis de ne pas respecter ceux qui vous ont élu...
RépondreSupprimerEt cela ne vaut que pour les deux ans écoulés, avant cette période nous avons :
quel gâchis l'affaire "malheureuse" du Chapitre, quel gâchis le PLU, quel gâchis les condamnations payées avec nos impôts, quel gâchis les préemptions de la place de la mairie...
Il est grand temps d'arrêter les frais !
Oui, mais pour les arrêter, on aura besoin de tout le monde, de tous les talents pour déconstruire leur stratégie de communication et pour déjouer tous leurs mensonges parce que, si il y a un domaine où ils excellent, c'est bien celui de l'enfumage ; ils sont les rois dans l'emploi du monoxyde de carbone : c'est sans couleur, sans odeur et ça vous endort définitivement... Ils disposent de la presse, de tous les moyens de communication de la municipalité et en face... en face, il y a ce blog et quelques autres peut-être. Alors, même unis, ce n'est pas gagné ! Et si on veut vraiment assainir l'espace public en mars prochain, il faut que d'ici-là, on mène tous le travail de conviction sur les marchés, chez les commerçants et dans tous les lieux publics... Que ça écrive, photocopie, distribue, débatte ; qu'on se sente tous responsables. Sinon, ils finiront par faire croire à une majorité que les coupables sont ceux qui ont permis de rétablir le "pacte républicain" et que les victimes sont ceux qui l'ont mis à mal un certain soir du 4 juillet 2011 en s'asseyant sur le résultat du suffrage universel. Au boulot !
SupprimerGérard Lambert
Si la dé-fusion s'est vraiment faite sans effusion, pourquoi ils l'ont écrit au pluriel ?
RépondreSupprimerC'est vrai qu'ils n'ont pas été jusqu'à vérifier sur place... mais à leur décharge, on avait "omis" de les inviter le premier de l'an à sabler le champagne devant la Mairie désannexée avec tous celles et tous ceux - et ils étaient nombreux - qui préfèrent la démocratie à la barbarie.
Gégé.