Mes chers Compatriotes, il vous a sans doute suffi de circuler dans les rues de Bihorel, pour vous apercevoir qu'il faut avoir suivi une école de slalom pour éviter de casser une jante, de fausser le parallélisme du train avant de sa voiture ou de s'étaler au guidon de sa bicyclette, tant les nids de poule y sont de plus en plus nombreux.
A titre d'exemple, empruntez donc l'avenue du Maréchal Juin ou la rue Alfred Caron et vous deviendrez un champion du zig zag.
Dans le "Mensuel" numéro 9 de mars 2013, la météo et les conditions hivernales sont avancées pour toute explication. Mais voilà, la mairie nous prend pour des nigauds.
En fait, la dégradation de l'état de la voirie à Bihorel s'est amorcée depuis plusieurs années et les raisons sont à chercher ailleurs que dans le dégel.
En fait, la dégradation de l'état de la voirie à Bihorel s'est amorcée depuis plusieurs années et les raisons sont à chercher ailleurs que dans le dégel.
Pour s'en convaincre il suffit de consulter le compte administratif de la
ville (lien ci dessous) pour l'année 2012 et plus précisément la page 38 (section
investissement-détail des dépenses) compte 1211 (en bas de page), « voierie
urbaine et réseaux divers ».
Vous pourrez y lire que sur les 1.732.428 euros de crédit ouvert, seuls 756.287 euros ont été utilisés, soit un taux de réalisation de 43% et vous en déduirez que c'est près d’un million d’euros qui n'a pas été employé à rénover et entretenir la voirie.
L’état délabré de nos rues, caniveaux et trottoirs à Bihorel doit donc beaucoup plus au dilettantisme dans la gestion et l'administration de la commune de Gilbert Renard et de sa bande de félons qu’aux rigueurs de l’hiver.
Mes chers Compatriotes, la prochaine fois que vous flinguerez un amortisseur de votre voiture, voilerez une roue de votre vélo dans un nid de poule ou que vous vous tordrez une cheville sur un trottoir défoncé, souvenez-vous en !
CD
(https://dl.dropbox.com/u/55627851/CA%20-%20Ville.pdf)
Vous pourrez y lire que sur les 1.732.428 euros de crédit ouvert, seuls 756.287 euros ont été utilisés, soit un taux de réalisation de 43% et vous en déduirez que c'est près d’un million d’euros qui n'a pas été employé à rénover et entretenir la voirie.
L’état délabré de nos rues, caniveaux et trottoirs à Bihorel doit donc beaucoup plus au dilettantisme dans la gestion et l'administration de la commune de Gilbert Renard et de sa bande de félons qu’aux rigueurs de l’hiver.
Mes chers Compatriotes, la prochaine fois que vous flinguerez un amortisseur de votre voiture, voilerez une roue de votre vélo dans un nid de poule ou que vous vous tordrez une cheville sur un trottoir défoncé, souvenez-vous en !
CD
(https://dl.dropbox.com/u/55627851/CA%20-%20Ville.pdf)
Réparations durables, dépassements de températures durables, développement durable.
RépondreSupprimerVoilà un adjectif bien commode pour enfariner le citoyen (nos deux compères, le leader maximo et le leader minimo en sont des spécialistes).
Moi je reprendrais bien aussi "du râble" si un lièvre se présente.
Maitre FOLACE
Dans la série "voirie en folie", après le feuilleton des feux au croisement de la rue Herbeuse et de l'avenue du Maréchal Juin (3 mois pour remplacer l'armoire électrique...), nous avons maintenant celui des feux au croisement des rues de Verdun et du Docteur Caron... 3 semaines que les feux sont en grève et pas le début du commencement d'une solution.
RépondreSupprimerEt pendant ce temps-là, on apprend dans le Paris-Normandie de mercredi dernier que Gilbert, notre Gilbert, anime les débats de la CREA par son côté tatillon !!!
On ne le savait pas tatillon Gilbert, il nous avait habitué à plus d'approximations. Dans l'analyse d'une certaine consultation notamment...
Raymond
Lors d'une réunion concernant la fusion, je me souviens que Freluquet avec un air réjoui se flattait d'une bonne gestion avec un million en caisse : les voila nos trous dans les chaussées et nos trottoirs défoncés.
RépondreSupprimerQuestion : Mais où est donc passé cet argent ?
Réponse : A Bois Guillaume, pour réparer les rue de Bois Guillaume et accessoirement payer les amendes correspondant au déficit de logements sociaux.
Doublement voleur le freluquet !