Pour Pascal Houbron, l'appel du Général de Gaulle, c'était le 18 juin.....1945, bien évidemment ! |
Pascal Houbron aurait-il eu Georgius comme professeur d’histoire ?
Rappelons nous les paroles de la chanson :
Vous êtes premier en histoir' de France ?
Eh bien, parlez-moi d'Vercingétorix
Quelle fut sa vie ? sa mort ? sa naissance ?
Répondez-moi bien ... et vous aurez dix.
Monsieur l'Inspecteur,
Je sais tout ça par cœur.
Vercingétorix né sous Louis-Philippe
Battit les Chinois un soir à Ronc'vaux
C'est lui qui lança la mode des slips
Et mourut pour ça sur un échafaud.
Cancrelas Freluquet ? ... Présent !
Vous êt's le dernier ça me rend morose.
J'vous vois dans la class' tout là-bas dans l'fond
En philosophie, savez-vous quèqu'chose ?
Répondez-moi oui, répondez-moi non.
Monsieur l'Inspecteur,
Moi je n'sais rien par cœur.
Oui, je suis l'dernier, je pass' pour un cuistre
Mais j'm'en fous, je suis près du radiateur
Et puis comm' plus tard j'veux dev'nir député
Moins je s'rai calé, plus j'aurais d'valeur,
Je vous dis : bravo !
Mais je vous donn' zéro.
Moi qui trouvais que le Freluquet avait la tête à claques des premiers de la classe un peu besogneux et bien aujourd’hui, mes Chers Compatriotes, je dois confesser mon erreur. Il a dû plutôt passer sa scolarité au coin dans sa classe avec un bonnet d’âne sur la tête.
Après les erreurs historiques et les fautes de grammaire gravées dans le granit des stèles du souvenir et dénoncées ici même par Francis Lagneau (1), Pascal Houbron sans sourciller, nous invite à la commémoration de l’appel du Général de Gaulle du 18 juin…… 1945.
Si l’on suit le Freluquet, le Général attendit cinq ans après la défaite de juin 1940 pour prononcer son célèbre appel à la résistance, donc 40 jours après la fin de la guerre 39/45 !
On savait déjà que nous avions avec Pascal Houbron affaire à un arriviste incompétent en gestion communale mais aujourd’hui nous découvrons que c’est aussi un âne en histoire et un inculte de manière générale.
Le 26 juin, disons NON au crétin et à sa fusion !
Manu ad ferum
CD
(1) lire le commentaire de Francis Lagneau suite au billet "180 degrés pour passer de Bihorel à la commune nouvelle de Pascal Houbron"
Manu ad ferum
CD
(1) lire le commentaire de Francis Lagneau suite au billet "180 degrés pour passer de Bihorel à la commune nouvelle de Pascal Houbron"
Félicitations à vous... Jolie coquille, tout un symbole.
RépondreSupprimerAprès avoir réécrit l'Histoire de Bihorel, il s'attaque à l'Histoire de France
Cordialement
Quel con !!!
RépondreSupprimerPlus con, c'est pas possible, tu meurs !!!
Margot 4 ans:
RépondreSupprimerDis Loulou, c'est plus un parc ?, c'est un cimetière maintenant ?
Brigitte,
RépondreSupprimerLa petite Margot a 4 ans et il est de son age d’avoir ce genre d’étonnements et d’interrogations.
Cependant, il est du rôle des parents, enfin me semble-t-il, d’être dans le domaine de notre histoire (celle de la France) des passeurs de témoins comme ils se doivent de l’être dans tous les autres domaines de l’éducation de leurs enfants. Même si elle est un peu jeune pour le comprendre dès aujourd’hui, il serait bien demain que Margot sache que si des enfants peuvent jouer en 2011 dans un parc en toute tranquillité dans un pays libre, c’est parce que parmi les générations qui ont précédé la sienne, certaines se sont sacrifiées pour nous tous.
Je crois que c’est Ernest Renan (si je me trompe, les lettrés qui lisent ce blog me corrigerons) qui a écrit qu’une nation est plus constituée par ses morts que par ses vivants. Ceux dont on évoque sur ces stèles la mémoire, font partis de nous et appartiennent à notre passé collectif.
Le voisinage entre des enfants qui jouent et l’hommage rendu à ceux qui du plus humble au plus illustre ont écrit plusieurs pages de l’Histoire de France, non seulement ne me choque pas mais me parait utile à une époque ou décervelage et déculturation se disputent la primauté.
C’est pour cela qu’il est d’autant plus important que des crétins ne fassent pas graver n’importe quoi dans le marbre pour le léguer aux générations futures comme malheureusement c’est le cas sur ces stèles.
Bien à vous
CD