Où passe l'argent du contribuable bihorellais ?

capture d'écran de P.N

 

L'action était annoncée et un groupe de Bihorellais a manifesté son mécontentement jeudi soir peu avant le conseil municipal. Hausse des impôts, baisse des services, cadre de vie qui se dégrade, insécurité grandissante, les motifs à Bihorel ne manquent pas.

Petit détail, qui n'en est pas un, si vous regardez l'évolution de notre taxe d'enlèvement des ordures ménagères, celle-ci sur un an augmente de près de 4%, alors que sur quatre collectes mensuelles des déchets verts, deux en 2024 ont été supprimées ! 

Concernant la sécurité ou plutôt maintenant l'insécurité (je reviendrai sur les agressions au Super U), les effectifs de notre police municipale qui, fut un temps, étaient montés à 6 policiers, sont redescendus à 4 et même à 2 sur la période estivale où pourtant les risques de cambriolages sont au plus haut. Notons que si la délinquance augmente fortement sur Bihorel (Bihorel est dans le Top 30 de l'insécurité pour les villes de 5.000 à 20.000 habitants), ce n'est pas la police municipale qui est en cause, mais l'insuffisance des moyens attribués à celle-ci par la municipalité afin d'assurer la sécurité des Bihorellais.

Enfin, notons que les économies d'électricité réalisées avec l'arrêt de l'éclairage nocturne de nos rues, n'ont pas été répercutées sur nos taxes foncières.

 Toujours plus d'impôts mais une dégradation des services dans tous les domaines...Où passe l'argent des contribuables et pourquoi est-il si mal géré ?

Une dernière chose: je salue l'initiative de ces Bihorellais qui se bougent, mais qu'ils se méfient comme de la peste de la minorité municipale socialo-écolo qui ne va pas manquer d'essayer de les récupérer. 

C.D

Dimanche

 

Joaquin Sorolla

L'enfant de chœur.

1897. Détail

Huile sur toile

Collection particulière

Eternelle

 

Vengés !

 

Avec l'élimination de Nasrallah, instigateur de l'attentat de l'immeuble Drakkar en 1983 à Beyrouth, les 58 parachutistes français assassinés ce jour là, sont enfin vengés.

Message de la famille

 

Mort de Philippine

 

Regardez cette vidéo.

L’ambassade de France au #Maroc @AmbaFranceMaroc se vante d’être un distributeur de VISA qui valide 90% des 1200 demandes par jours et s’excuse même pour les impatients.

C’est lunaire. #Philippine pic.twitter.com/qjzxSpvXF6

— Damien Rieu (@DamienRieu) September 25, 2024

C'est l'idéologie de gauche qui a tué Philippine

 

 

ENCORE un migrant, ENCORE un clandestin, ENCORE une OQTF non exécutée, ENCORE un criminel récidiviste, ENCORE un violeur laissé en liberté.
Si l’information est confirmée, #Philippine est ENCORE une petite Française que nos dirigeants ont livrée à un prédateur importé. pic.twitter.com/MYLqjzd1Ba

— Marion Maréchal (@MarionMarechal) September 24, 2024

 

Mairie de Bihorel, 18h30 jeudi 26 septembre

Au milieu de l'apathie générale, un habitant du Plateau des Provinces se lève et invite le contribuable Bihorellais à interpeler "nos" élus" jeudi soir à 18H30 devant la salle des mariages de la mairie de Bihorel où se tiendra le conseil municipal, et cela au sujet des montants exorbitants de la taxe foncière et réclamer une baisse du taux communal à Bihorel. 

Je vous invite également à visiter la page Facebook "Bihorel - Plateau des Provinces" où de nombreux habitants s'expriment sur leurs cadres de vie et ses dégradations. Il semblerait qu'au Plateau, on soit loin de "la commune le plus attractive de la métropole" (comme dans toute la commune en général), titre revendiqué par la majorité municipale...

Un seul bémol. Dans les commentaires des publications, on note fréquemment une certaine jalousie voire une animosité de la part des habitants du "Plateau" envers ceux du "vieux Bihorel". Cela ne date pas d'hier mais, si je puis me permettre un conseil aux Bihorellais du Plateau, ce n'est pas en déshabillant le vieux Bihorel que l'on habillera le Plateau. 

Ne pas se tromper de cible.

C.D

 

Egalité

 

  " Les hommes ne sont égaux que devant la loi et, peut-être, ontologiquement, devant un dieu terrible et tout-puissant, si lointain et si indifférent que leurs accomplissements et inaccomplissements ne lui seraient rien.

Ils sont égaux, peut-être, et encore, au premier vagissement, et plus sûrement au dernier râle, dans l'agonie, devant le mystère, face à la peur, au seuil de l'inconnu.

Mais dès qu'ils sont hommes, qu'ils sont et qu'ils font quelque chose, qu'ils assument leur humanité, ils sont inégaux.

J'avoue que je ne vois pas, que je n'ai jamais pu voir, comment l'égalité - autre que juridique, et, éventuellement, ontologique - était compatible avec la morale, et bien sûr avec l'esthétique : avec la beauté, avec l'art, avec la civilisation nous y revoilà.

Quelle égalité y a-t-il entre Laurent Ruquier et Yves Bonnefoy, entre Václav Havel et Mouammar Kadhafi, entre Enoch Powell et Harlem Désir ?

Si égalité il y avait entre ces personnages que tout sépare quant à l'intelligence, les accomplissements, la qualité humaine, la valeur pour leur peuple et pour l'humanité, il n'y aurait rien de plus décourageant pour l'âme et pour l'esprit, pour l'intelligence et pour la volonté, pour l'énergie et pour la vertu; car cette égalité signifierait qu'il ne sert à rien de peindre la chapelle Sixtine ou d'écrire la recherche du temps perdu, à rien de prononcer le discours du 18 juin 1940, de déposer une gerbe sur la tombe du Soldat inconnu le 11 novembre 1940, de monter l'attentat contre Hitler du 20 juillet 1944, à rien de ne pas tuer, de ne pas nocer, de ne déranger en rien ses contemporains ou de les exalter par son art et par son courage, tout cela ne servirait à rien, à rien, à rien, puisqu'on ne serait toujours que l'égal de Chevallier et Laspalès, de Julien Dray ou de Mohammed Merah.

C'est le renoncement, c'est la mort qui disent : ça m'est égal.

De l'égalité sortie de son lit on peut dire ce qu'Eschyle dans Agamemnon disait d'Hélène de Troie, la belle Hélène : « Elle a perdu les villes, perdu les vaisseaux, perdu les hommes. »

En France elle a perdu l'enseignement, détruit le système éducatif, mis à bas l'appareil de transmission culturel puisque la volonté de donner à tous la même éducation n'a assuré qu'une chose, que tous reçoivent la plus mauvaise, et que bientôt plus personne n'en reçoive aucune. ».

Renaud Camus

Poules mouillées

 

Les Français furent un peuple de conquérants, qui naviguèrent sur toutes les mers du monde et y implantèrent comptoirs et colonies. 

Ce peuple avec la Grande Armée marcha jusqu'à Moscou puis fit quatre années de guerre dans la boue et les tranchées et en sortirent victorieux. 

Leurs ennemis les surnommèrent "les Lions".

Aujourd'hui, c'est un peuple de pleutres qui, menés par les insignifiants qui les dirigent et décident pour eux, renoncent à tenir une foire à tout pour quelques gouttes de pluie prévues.

Décadence et naufrage d'un peuple...

C.D

ps: vous noterez le délai accordé aux participants pour se faire rembourser, délai qui expire à 16 heures, le jour même de l'annulation.

Salut les cocus !

 

Ah, comme ils se sont vus beaux, les cocos, les écolos, les islamo-gauchos, les bobo-socialos et ce soir, comme leur têtes de cocus font plaisir à voir !

Une mention spéciale à Olivier Faure qui, en savonnant la planche à Bernard Cazeneuve, a ouvert toute grande la porte de Matignon à Michel Barnier. Quelle vista !

Voilà les antisémites du NFP cornerisés et je m'en réjouis. Bien sûr, il leur reste la rue et tous les boutonneux et autres braillards se sont déjà donnés rendez-vous. A la SNCF, dans les salles de profs, dans les lycées et dans toute la fonction publique, on doit déjà passer son temps de travail à la préparation des banderoles.

Quant à l’européiste Michel Barnier, je jugerai sur pièces. L'homme a de la classe et de l'expérience, c'est un politique d'un autre temps, la différence de langage entre lui et Attal, lors de la passation de pouvoir en atteste. Il pratique la langue française comme la pratiquaient ceux qui m’ont élevé et instruit. Une parenthèse dans le « brebre » vulgaire du cercle mediatico-politique ?

Rien que cela constituerait un instant de soulagement et une courte pause sur le chemin du crépuscule. 

C.D