La nuit islamique tombe sur Kaboul et sur toutes les femmes Afghanes dans une indifférence quasi totale. On entend guère ces jours-ci les "MeToo" et autres harpies féministes de foire du Trône.
L'Occident écrit la plus lâche page de son histoire de ce début de vingt et unième siècle en Afghanistan dont l'écriture avait déjà commencé avec l'abandon des chrétiens d'Orient et celui des Arméniens au Haut-Karabagh.
CD
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