"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

mercredi 13 janvier 2021

Et pendant ce temps là...

 Covid par-ci, covid par là, il est passé par ici, il repassera par là. Depuis quelques mois, je vous sens mes chers Compatriotes (et je ne m'exclus par forcement) comme des lapins pris dans les phares d'une voiture, complétement paralysés par la crainte de ce virus et par cette terreur molle orchestrée par le gouvernement et les médias.

Oh, loin de moi l'idée de sous estimer la dangerosité de l'épidémie, ni ses conséquences sociales, mentales et économiques mais pendant ce temps là, la terre ne s'arrête pas de tourner et les politiques de commettre leurs méfaits.



Oui, pendant ce temps là, les accidents industriels continuent et ne sont pas traités avec l'importance que l'on devrait leur accorder dans les médias. Lorsque début janvier, il est ressenti dans l'agglomération rouennaise des odeurs d'hydrocarbures, la préfecture communique que cela serait dû aux "feux de bois dans les cheminées".

C'est terrible à dire, mais de nos jours, les menteurs professionnels ne savent même plus mentir correctement lorsqu'il s'agit de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Le cabinet du préfet s'est couvert de ridicule en proférant ce mensonge de "feux de bois" qu'un enfant de quatre ans n'aurait pas osé inventer.

L'industriel ,lui, mettra près de dix jours à reconnaitre après l'avoir nié, que les odeurs venait bien d'un "incident" sur son site et sans les dénonciations des syndicalistes de l'entreprise, nous aurions ignoré qu'une fois encore, nous avions échappé de justesse à une nouvelle catastrophe industrielle chimique. Cela montre bien que dix-huit mois après "Lubrizol", rien n'a changé dans la prévention et les contrôles, que la population n'est pas plus en sécurité qu'à l'époque. Là encore, où sont les politiques ?
Qu'ont-ils mis en place depuis tout ce temps en matière de prévention et d'information des populations ? A Bihorel, quelles avancées en la matière ? Aucune ! On attend passivement la prochaine catastrophe. Aucune anticipation, rien. Demain les autorités seront encore dans la réaction et comme en septembre 2019, nous serons livrés à nous mêmes...




L'épidémie du Covid 19 a mis en lumière le "grand déclassement" de la France au niveau mondial et son incapacité à gérer la crise sanitaire (masques, tests, vaccination) est indigne d'un grand pays développé mais pendant ce temps là, le grand remplacement, lui aussi, se poursuit.

Impulsée par un Gérard Caseneuve alors ministre de François Hollande et collègue d'Emmanuel Macron, la politique de répartition des migrants dans nos belles provinces et de peuplement par celle-ci,  se poursuit. Le principe est de repeupler des campagnes qui furent vidées de leurs habitants pendant soixante ans pour les envoyer se faire exploiter dans les usines et se faire vider les poches dans les supermarchés des grandes villes.

Le but final de cette politique, est d'installer partout sur le territoire des migrants appartenant à d'autres civilisations que la nôtre afin que les générations de nos enfants et plus particulièrement celle de nos petits enfants aient le sentiment demain en les voyant que les grenouilles de minarets et autres barbus font partie intégrante de nos paysages et qu'ils ont toujours été là. La boucle du grand remplacement sera alors bouclée et Colombey-les-Deux-Eglises devenu Colombey-les-Deux-Mosquées.  

Si les frontières n'arrêtent pas les virus (surtout si on ne les ferme pas), les virus eux, ne stoppent pas la politique de remplacement des peuples européens sur leurs terres ancestrales par d'autres peuples venus d'Afrique et d'Orient. 




Et pendant ce temps là, mes chers Compatriotes, quid de nos libertés et de la démocratie ?
A coups d'ordonnances et de procédures accélérées, elles ressemblent de plus en plus à la peau de chagrin, chère à Balzac. La chaine avec laquelle les pouvoirs nous tiennent, semble se raccourcir de mois en mois. 
Mais qui s'en émeut ? Pas la somme de "déambulants approbatifs" (1) que semble constituer aujourd'hui le peuple français.


C.Dragasès



(1) Philippe Muray







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