Jeudi soir, à la 47ème minute, lorsque Antoine Griezmann s'est approché du ballon pour tenter son penalty, j'ai pensé à l'image de Michel Platini tenant la main de son copain Patrick Battiston allongé sur une civière.
Puis à la 72ème minute, à l'instant où Griezmann envoyait Neuer aux fraises pour la deuxième fois, s’effaçait le souvenir de Maxime Bossis, accroupi au point de penalty après avoir raté le sien et celui de cette grande saucisse de Hrubesch exultant après avoir réussi ce penalty qui privait la France de la finale du mondial espagnol.
La longue nuit de Séville 82 prenait fin, 34 ans après...
CD
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