Lorsque je vois Macron faire des moulinets devant Poutine, je pense qu'il est heureux pour lui, que le ridicule ne tue pas et je m'inquiète que ce soit "un puceau de l'horreur" (L.F.Céline) qui soit aux commandes de la France dans une époque aussi dangereuse. Si la patrie a besoin de tous, elle a surtout besoin d'un chef, et non pas d’un chefaillon qui s’ admire dans son miroir en lui demandant « dis moi que je suis le plus fort » et qui ajoute la honte au ridicule.
Lorsque j'écoute Bayrou et son élocution de centriste "dort en chiant" (désolé, je n'ai pas trouvé plus châtié), je me dis que la chute de notre pays n'est pas arrivée à son terme et qu'il va falloir supporter encore pendant deux ans, les humiliations et le spectacle du désastre avant un hypothétique rebond, et cela à condition que ces veaux de Français s'intéressent encore à autre chose qu'à leur caddie, à l'âge de la retraite et à la prochaine destination pour leurs vacances...
Les occasions d'être fiers d'être Français sont rarissimes en ces temps obscurs, alors ne boudons pas notre plaisir. La victoire historique du XV de France, samedi en Irlande, est une raison de se réjouir, certes éphémère et qui ne changera pas la laide face du monde d'aujourd'hui, mais cette victoire prouve que cette partie là du peuple français est toujours vivante et que l'Ovalie est un exemple à suivre par tous les Français qui ont d'immenses défis à relever dès aujourd'hui.
Allez les petits !
C.D
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