La mort de Jean Marie Le Pen a déclenché, hier soir, des scènes de liesse dans les poubelles de la société française et chez les petits singes haineux, déculturés au QI de bulot. Dans les bas fonds intellectuels où ils croupissent, l'engeance des antifas et de l'extrême gauche était en extase. En regardant les images de l'immonde célébration, je me suis souvenu de ces quelques lignes de Philippe Muray:
"Le Pen est la tête que revêt le réel lorsqu’on l’a laissé trop longtemps dehors, dans les ténèbres extérieures, et qu’il y a chopé la peste.
Le Pen est une occupation. Le Pen occupe tous les RTTifiés au chômage de tout depuis l’RTTernité. Le Pen les justifie. Le Pen donne à ces demi-soldes de l’Histoire l’impression de vivre puisqu’ils sont vigilants et en état d’alerte. Le Pen est le metteur en scène de leur désœuvrement.
Car le problème des anti-lepénistes n’est pas Le Pen ; il ne l’a jamais été ; le problème des anti-lepénistes c’est eux ; et ils attendent de Le Pen qu’il les aide à vivre ou à survivre ainsi ; car Le Pen, c’est toujours mieux que rien.
Car l’anti-lepénisme n’est pas une pensée, c’est une passion. L’anti-lepéniste déteste Le Pen, on ne saurait en douter ; mais il aime de manière passionnée l’état dans lequel le place cette détestation. Il y loge une part essentielle de son identité, la plus haute, la plus belle. Il peut alors faire l’étalage de son moi transfiguré par une si vaste colère."
Philippe Muray
Bien sûr, parmi la foule, figuraient les traditionnels drapeaux des partis de l'étranger et de l'anti-France.
C.D
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