Beaucoup d'hommages aujourd'hui, du clairon, de la trompette, des discours, des fleurs, des poèmes et même la Marseillaise que Cabu, Wolinski et les autres ont dû écouter en se marrant, là haut, mais pas trop non plus, par respect pour les policiers tués avec eux ce jour là et qui leur ont dit: "Oh, arrêtez les gars !".
Victimes de Charlie, de l'Hyper-casher, de Montrouge, on leur devait mieux, la république leur devait plus, puisque dix ans plus tard, non seulement rien n'a changé, mais tout à empiré. Les islamistes sont de plus en plus nombreux sur notre sol, la menace terroriste n'a pas baissé et le pire dans tout cela, c'est que la liberté d'expression pour laquelle les victimes des 7 et 8 janvier 2015 sont tombées, cette liberté n'a fait que reculer. Les dessinateurs, les professeurs s'auto-censurent et toute la société française avec. L'islamisme a gagné la bataille des esprits, peut être pas définitivement, mais vraisemblablement,
puisque la nouvelle génération qui baigne dans la doctrine multiculturaliste et diversitaire, trouve que ce n'est pas bien de se moquer des religions, remet en cause la laïcité et l'interdiction du port du voile et de l'abaya à l'école.
Hollande et Macron, par idéologie, par trouille aussi et parce qu'ils n'aiment pas la France, n'ont depuis le 7janvier 2015, fait qu'aggraver la situation. Ils ont trahi la nation et n'ont pas pas défendu nos libertés et surtout pas celle d'expression.
Le 7 janvier est un jour de défaite pour l'esprit, la culture et la civilisation française, bref pour la France.
Alors en hommage à Cabu et aux autres, je ne vais pas prendre ce qui nous arrive au sérieux et je vais en rire, avant que la loi islamique ne s'impose tout à fait dans mon pays, qui ne l'est déjà plus vraiment, et ne me l'interdise.
Une dernière chose, si les idées défendues par J.M. Le Pen dans les années 80, concernant l'immigration et nos frontières, avaient été mises en application, le massacre de Charlie Hebdo (parmi tant d'autres) n'aurait jamais été possible. Clin d'œil de l'Histoire, Cabu et Le Pen sont morts tous deux, un 7 janvier.
C.D
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