C'est un vieux compagnon de route qui depuis la fin des années 80, accompagna mes soirs de mélancolie puis de nostalgie.
Reste l'œuvre d'un artiste sans concession, anar de droite, peu accommodant avec le système et rugueux avec le milieu de la chanson française.
Mourir à Orcival, la signature d'un esthète asocial et Puydômois qui savait que la terre d'Auvergne, elle, ne ment pas.
" ça me plait assez qu'on ne m'aime pas " se plaisait à affirmer J.L. Murat
Je n'aurais pas dit mieux...
C.D
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