- Bon alors puisque t'es d'accord, ou est-ce que je le fais prendre ce papier, toujours à Joinville, j't'envoie un mec cette semaine....
- Et à quoi je le reconnaitrais....
- Un beau brun avec des p'tites bacchantes, grand, l'air con....
- Ca court les rues les grands cons....
Oui mais celui-là c'est un gabarit exceptionnel, si la connerie se mesurait il servirait de Mètre étalon, il serait à Sèvres....
Le cave se rebiffe (1961) / Grangier / Audiard / Gabin / Françoise Rosay
Il y a bien longtemps que je suis passé par ici... Je vois que nous avons toujours quelques références communes... J'aime bien la seconde partie de ce dialogue, du côté de Joinville :
RépondreSupprimer- C'est marrant que vous m'ayez reconnu tout de suite.
- On m'avait un portrait parlé, je ne pouvais me tromper.
Voilà une visite qui fait plaisir !
Supprimer"le cave se rebiffe", heureusement, à l'heure d'Omar Sy, il reste encore quelques fondamentaux culturels auxquels se référer.
Vous savez, il y a bien longtemps qu'il ne se passe plus grand chose ici. Rossinante est fatiguée et les moulins à vent trop nombreux.
Les Bihorellais sont des veaux, c'est leur coté "Français". Ils regardent les trains passer et meuglent seulement si leur petit pré carré est concerné... Mais trop tardivement pour échapper à l'abattoir.
Cher Raymond, à la revoyure !