Voici le dernier message que le Père Jacques Hamel adressa à ses ouailles, vraisemblablement dans le bulletin paroissial daté de juillet 2016. Il y évoque l'été comme un temps de ressourcement, de lecture, de prière, un temps pour regarder son frère avec plus d'attention et surtout un moment propice à être encore plus à l'écoute de la parole de Dieu. Il nous adresse un message de paix, il nous parle d'amour, il nous demande de prier pour un meilleur vivre ensemble...
Que nous écrirait-il aujourd'hui, après avoir vécu le 26 juillet 2016, le terrible face à face avec le diable ? "Va-t-en Satan, va-t-en" furent ses dernières paroles, pendant qu'il repoussait avec ses pieds l'islamiste qui l'égorgeait. Le Père Jacques Hamel considérerait-il différemment l'avertissement que lançait aux chrétiens d'occident en 2014, l’Archevêque de Mossoul, Monseigneur Amel Shimoun Nona
« Vous aussi vous êtes en danger… Vous tomberez victimes d’un ennemi que vous aurez accueilli dans votre maison » ? Nous n'aurons pas la réponse.
Un an plus tard, rien n'a changé ou plutôt si, les choses ont empiré. Les grenouilles de minarets et les barbus pullulent de plus en plus dans nos rues. Les organisations musulmanes en France se font encore plus revendicatives et surtout l'islam et l'islamisme se repartissent mieux que jamais la tâche dans un même combat; celui de la conquête de la France et de l’établissement d'une république islamique.
L'islam pour cela s’appuie sur nos lois laxistes et sur les politiques libérales mises en place et bien évidemment, il n'y a pas plus "républicain" que lui. L'islamisme, lui, fait régner la peur dans certains quartiers, pratique l'anti-sémitisme, intimide les femmes et par les divers attentats, il nous signifie qu'il nous déteste, nous et ce que nous sommes et qu'il n'a qu'une intention: nous soumettre ou nous détruire.
Un an après, politiques et évêques français (peut-être pas tous...) font toujours l'autruche. Le grand rendez-vous national qui devait remettre le drapeau tricolore et l'église au centre du village a été manqué, alors c'est toujours plus de mosquées et de centres d'accueil pour migrants que l'on veut construire en France.
Je dois vous avouer mes chers Compatriotes que je n'ai guère été convaincu par l’homélie de Monseigneur Lebrun, pas plus que par le discours du cabot-chef Macron. Et puis je suis excédé par cette attitude qui consiste à considérer que cela n'a rien à voir avec l'islam et qui refuse de nommer les choses par leur nom. Le terrorisme est un moyen et c'est l'islamisme qui a tué le Père Hamel.
Mes chers Compatriotes, le Père Jacques Hamel nous demanderait-il toujours, en ce 26 juillet 2017 de prier pour un "meilleur vivre ensemble", lui qui dans ses derniers instants, alors que le sabre islamique lui tranchait la gorge, nomma si clairement son bourreau et savait en homme d’Église que l'on ne peut coexister avec Satan et ses disciples ?
CD
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