Barbus, burqas et maintenant burkinis, tout cela n'est ni plus ni moins que de l'affichage identitaire, communautariste, religieux et politique. L'épisode estival "burkini", n'est qu'un pas de plus dans la lente islamisation de notre pays, vers la soumission et la république islamique française.
Jean Pierre Chevènement est sans doute le dernier homme politique de gauche que j’apprécie et qui soit pour moi encore et toujours crédible. Le seul qui dans son camp porte les valeurs de la France. C'est un souverainiste, voilà qui le distingue de ceux qui ont bradé la France au mondialisme depuis 40 ans.
En le nommant à la tête d'une mission sur " l'islam de France", Hollande a une guerre de retard, comme toujours et c'est d'ailleurs sans doute volontaire. Une guerre de retard non pas sur la personne mais sur le but de la mission.
Aujourd'hui dans le contexte de guerre mondiale entre Occident et islam et de guerre civile sur le territoire national, le problème n'est plus d'organiser l'islam de France mais de dés-islamiser la France.
Récemment, sur un plateau de télévision française, un imam demandait "puisqu'il y a les cloches des églises, pourquoi n'aurait-on pas l'appel du muezzin ?".
A gauche, depuis longtemps, on a oublié qu' "il faut dire ce que l'on voit, mais surtout, voir ce que l'on voit", selon la phrase de Péguy.
Chevènement fera-t-il exception ? Saura-t-il répondre "non" à la question: sont-ils chez eux, chez nous ?
Avec tout le respect que j'ai pour lui, je crains que Chevènement n'ait pas cette lucidité.
Récemment, sur un plateau de télévision française, un imam demandait "puisqu'il y a les cloches des églises, pourquoi n'aurait-on pas l'appel du muezzin ?".
A gauche, depuis longtemps, on a oublié qu' "il faut dire ce que l'on voit, mais surtout, voir ce que l'on voit", selon la phrase de Péguy.
Chevènement fera-t-il exception ? Saura-t-il répondre "non" à la question: sont-ils chez eux, chez nous ?
Avec tout le respect que j'ai pour lui, je crains que Chevènement n'ait pas cette lucidité.
CD
(1) en référence à la phrase de Mitterrand « ils sont chez eux chez nous ».
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