Mes chers Compatriotes, deux braquages en quelques semaines, il ne fait décidément pas bon être commerçant à Bihorel. Après les tags sur les immeubles du vieux Bihorel (1), l'incendie de voitures dans les parkings souterrains du plateau des provinces (2), le braquage de la boulangerie près de la mairie (quel pied de nez au maire de la part des racailles), c'est maintenant au tour des commerçants de Kennedy de se faire violemment agresser. La dérive in-sécuritaire guette notre commune.
Pendant ce temps là, les auto-satisfaits de la majorité municipale restent assoupis dans leurs fauteuils, conséquence, sans doute, d'un excès de galette ingéré en janvier .
Ah, si Robert Ménard avait été Bihorellais, notre police municipale aurait un effectif (réduit à 1, aujourd'hui à Bihorel) un peu plus fourni et serait équipée d'un "nouvel ami", ce qui lui permettrait de patrouiller la nuit et aux heures d'ouverture et de fermeture près des commerces.
Mais voilà, nous avons des bisounours centristes fainéants qui ont pour chef un phraseur arriviste et si à Béziers, la peur a changé de camp, avec eux c'est "Bihorel, ville ouverte".
Finalement, les braqueurs et racailles de tous poils trouvent qu'il fait "bien vivre ensemble à Bihorel".
CD
(1) voir notre billet du 4 janvier 2015
(2) voir notre billet du 10 juillet 2014
SALE CON !!!!!!
RépondreSupprimerEnchanté, moi c'est Constantin .
SupprimerIl est vrai qu'il serait temps que la peur change de camp...
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