"A force de ne pas parler des choses, par élégance, on ne dit rien, et on l'a dans le cul !"

Louis Ferdinand Céline

jeudi 27 février 2025

Aphatie, le "nazificateur" de la France

 


Chien de garde de la bien-pensance et de l'anti-France, J.M.Aphatie, n'en est pas à sa première sortie de route. Voici quelques années, il avait déclaré " si j'étais président, je raserais le Château de Versailles... ".

Cette semaine, sans rire, Aphatie nous a expliqué que les nazis à Oradour-sur-Glane s'étaient inspirés de ce que les Français avaient commis en Algérie. 

Si une armée française a inspiré les nazis pour le massacre d'Oradour, ce n'est certainement pas l'armée du Roi Charles X en 1830, lors de la conquête de la province ottomane d'Alger (l'Algerie, d'ailleurs à cette date, n'existait pas encore).

Aphatie devrait plutôt regarder du coté de l'armée révolutionnaire et de ses "colonnes infernales" qui de mars 1793 à mars 1796 commirent le génocide vendéen en exterminant plusieurs dizaines de milliers d'hommes de femmes et d'enfants pour leur imposer la république. Là, effectivement en Vendée, les républicains et autres robespierristes commirent des dizaines "d'Oradour". 

Si les nazis se sont un jour inspirés des crimes d'une armée française, ce serait donc de ceux de l'armée de Robespierre, l'idole de LFI en général et de Mélenchon en particulier dont Aphatie est idéologiquement très proche ! Par conséquent, on peut en déduire que les nazis se seraient inspirés, non pas de l'armée française mais de l'armée de l'anti-France. Enfin, si vous voulez mon avis, les nazis n'ont eu besoin de personne, ni d'aucune source d'inspiration pour imaginer et perpétrer leurs crimes.

Aphatie aime à singer Pierre Desproges, en concluant ses tweets par le célèbre "Etonnant, non ? " du regretté humoriste. Mais Desproges avait une formule qui, à mon avis, habille assez bien J.M.Aphatie et qui à l'origine, fut destinée à Jacques Ségala.

Alors en paraphrasant Desproges, je dirais:

" De deux choses l'une : ou bien J.M. Aphatie est un con manipula

teur de l'Histoire et ça m'étonnerait tout de même un peu ou bien J.M Aphatie n'est pas un con manipulateur de l'Histoire et ça m'étonnerait quand même beaucoup ". 

Ce nuisible déteste tellement la France, qu'il devrait, lui-même, demander à être déchu de sa nationalité française.


C.D


 


Les heures sombres (parodie)

 










lundi 24 février 2025

Un sous-préfet à la Maison Blanche

 



A table, lorsque les grandes personnes parlent, les gamins écoutent.




Grêve de la faim

 


Soutien total









À Lino Sousa Loureiro, mort en héros anonyme en affrontant à mains nues un terroriste islamiste (de nationalité algérienne et sous OQTF) armé d'un couteau sur le marché de Mulhouse, samedi 22 février 2025




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vendredi 21 février 2025

" Dieu est mort "

 



Chacun se souviendra de la phrase de Nietzche "Dieu est mort " complétée presque un siècle plus tard par "Dieu est mort à Auschwitz" avant que Primo Levy (me semble-t-il) ne pondère " Ce n'est pas Dieu qui est mort à Auschwitz. C'est l'homme. Ou plutôt : l'idée que jusque-là on était en droit de se faire de l'homme.".

Dieu n'a pas stoppé les trains de la mort, Dieu n'a pas empêché le Zyklon B de se rependre dans les chambres à gaz, Dieu n'a pas éteint les brasiers des fours crématoires, Dieu n'a pas enrayé les armes de la "shoah par balle", pas plus qu'il n'a sauvé les Zecks des goulags communistes. Pourtant, n'est-il pas écrit " rien n'est impossible à Dieu". Alors pourquoi ?

J'ai souvent posé cette question à différents prêtres, leurs réponses furent quasi identiques: "Dieu était là, près de chacun, Il les tenait par la main et souffrait avec eux.".  Cette réponse n'a encore jamais mis fin à mon questionnement. Je me demande toujours pourquoi ?

Si Dieu fut capable d'arrêter le bras d'Abraham, alors pourquoi n'a-t-il pas sauvé de leurs bourreaux islamistes, Shiri, Kfir et Ariel Bibas ? Ma question risque de rester sans réponse encore très longtemps. A moins que Dieu ne soit mort pour de bon ? Je n'y crois pas.

J'ai peut-être une autre explication, qui indiquerait qu'à l'heure actuelle, dans cette époque si sombre, Dieu perde, momentanément, la bataille, cette bataille, qui depuis la nuit des temps, l'oppose au Diable. En 2025, le Mal, semble-t-il, prendrait à nouveau, le pas sur le Bien ?

Dans nos sociétés post-modernes, si Dieu est peu présent à l'esprit des occidentaux, le Diable lui a totalement déserté les consciences et ne hante plus les âmes des pousse-caddies. Pourtant, il est bien là, toujours tapi dans les zones sombres des époques successives.

Au vingtième siècle, il avait envahi les corps des Allemands, les transformant ainsi en pourceaux nazis ou ceux des communistes russes les transformant en pourceaux staliniens, "Vohkra" des goulags et de ses millions de morts.

Comment en 2025, à l'heure à laquelle nous apprenons que Kfir et Ariel Bibas, enfants de 4 ans pour l'un et huit mois pour l'autre, ont été assassinés à mains nues par leurs bourreaux islamistes du Hamas, ne pas comprendre que ce sont les mains du Diable en personne qui ont commis ces monstruosités. 

Aujourd'hui, le Mal est de retour à une grande échelle, à travers l'idéologie et les actes du terrorisme islamique et particulièrement dans ceux du Hamas. Ceux qui ont perpétré ces horreurs, sont l'incarnation du Mal et doivent être traités comme tels.

Reste la douleur que chacun ressentira en regardant la photographie de cette mère avec ses deux enfants, symbole de la vie et de l'espérance souillées par la face la plus sombre des hommes, bien au delà de toute humanité.

Shiri, Kfir et Ariel, je vais prier pour le salut de vos innocentes âmes, mais aussi pour que vos bourreaux islamistes et tous ceux qui, de par le monde et plus particulièrement ici en France, les soutiennent, aillent brûler en enfer.

Faute de vous avoir sauvés, Dieu vous doit au moins cela...  


 C.D

 




mercredi 19 février 2025




 " Le modèle de gouvernement de la chose publique qui s'est imposé est l'association de malfaiteurs ; derrière les risibles formes de la démocratie parlementaire, les seules forces agissantes sont des bandes qui se combattent et s'allient pour le pillage et la répartition du butin."


Piergiorgio Bellocchio, "La mutilation superflue" (1982) in "Nous sommes des zéros satisfaits", EDN, 2011.






mardi 18 février 2025

J.D Vance: le discours de Munich



 le Figaro a eu la bonne idée de publier la traduction intégrale (que je reproduis ici) du discours prononcé par JD Vance à Munich, la semaine dernière. A sa lecture, on comprend mieux pourquoi, en l'écoutant, les dirigeants européistes et l'oligarchie bruxelloise se sont retrouvés "éparpillés façon puzzle", comme le disaient les "Tontons", tant son contenu va à l'encontre de l'idéologie "davocratique" et "wokiste" des Macron / Van der Leyen.

Ce discours a le mérite de placer les nations européennes devant leurs responsabilités mais aussi, de remettre l'église au milieu du village et quelques pendules à l'heure, notamment en ce qui concerne un certain nombre de valeurs comme la démocratie, la liberté d'expression et le droit des peuples à disposer d'eux mêmes et à revendiquer la continuité historique sur leur propre sol. Puisse ce discours, qui sonne le tocsin, faire sortir de sa torpeur l'engeance européiste mais je n'y crois guère, et il revient aux peuples des nations européennes de prendre leurs responsabilités et de donner le coup de balai.

On rêverait qu'un homme politique français ait la moelle et les épaules pour prononcer un tel discours, mais aujourd'hui, mis à part le " Z " ou Philippe de Villiers, je ne vois personne. 

Avec le discours de Javier Milei à Davos, le mois dernier, celui de JD. Vance à Munich nous montre le chemin à suivre, sous peine de sortie de l'Histoire et d'une disparition définitive de l'Europe historique et millénaire. L'Histoire s'accélère et nous vivons un moment passionnant, celui du passage d'une époque à une autre.

C.D



Discours de JD.Vance, Munich / février 2025


  L’une des choses dont je souhaitais vous parler aujourd’hui concerne bien sûr nos valeurs communes. Vous savez, c’est un plaisir d’être de retour en Allemagne. Comme vous l’avez entendu tout à l’heure, je suis venu ici l’année dernière comme sénateur des États-Unis. J’ai rencontré le ministre des Affaires étrangères David Lammy et j’ai plaisanté sur le fait que nous occupions tous deux, l’an dernier, des postes différents de ceux que nous avons aujourd’hui. Il est temps pour chacun de nos pays, pour tous ceux d’entre nous qui ont eu la chance de recevoir le pouvoir politique de nos peuples, de l’utiliser avec sagesse afin d’améliorer leurs vies.

Je tiens à dire que j’ai eu la chance, durant mon séjour ici, de passer un peu de temps en dehors de cette conférence au cours des dernières 24 heures, et j’ai été très impressionné par l’hospitalité des habitants, même si, bien sûr, ils sont sous le choc de l’horrible attaque d’hier (le 13 février 2025, un demandeur d’asile afghan de 24 ans a perpétré un attentat à la voiture-bélier lors d’une manifestation à Munich, blessant 36 personnes, dont plusieurs grièvement, ndlr). La première fois que je suis venu à Munich, c’était avec mon épouse – qui m’accompagne aujourd’hui – lors d’un voyage personnel. J’ai toujours aimé la ville de Munich et j’ai toujours apprécié ses habitants. Je veux simplement dire que nous sommes très touchés, et que nos pensées et nos prières accompagnent Munich et toutes les personnes affectées par le mal qui a frappé cette belle communauté. Nous pensons à vous, nous prions pour vous et nous serons certainement à vos côtés dans les jours et les semaines à venir.


" Ce qui m’inquiète, c’est la menace venant de l’intérieur. C’est le recul de l’Europe par rapport à certaines de ses valeurs les plus fondamentales, les valeurs qu’elle partage avec les États-Unis d’Amérique

JD Vance


Nous nous réunissons à cette conférence, bien sûr, pour discuter de sécurité. En général, nous entendons par là tout ce qui a trait aux menaces extérieures à notre sécurité. Je vois que de nombreux grands chefs militaires sont réunis ici aujourd’hui. Mais tandis que l’administration Trump se préoccupe beaucoup de la sécurité européenne et pense que nous pouvons parvenir à un accord raisonnable entre la Russie et l’Ukraine – tout en considérant qu’il est important, dans les années à venir, que l’Europe prenne de façon significative en main sa propre défense – la menace qui m’inquiète le plus en Europe n’est ni la Russie, ni la Chine, ni celle d’aucun autre acteur extérieur. Ce qui m’inquiète, c’est la menace venant de l’intérieur. C’est le recul de l’Europe par rapport à certaines de ses valeurs les plus fondamentales, les valeurs qu’elle partage avec les États-Unis d’Amérique.

J’ai été frappé de voir qu’un ancien commissaire européen a semblé se réjouir récemment à la télévision du fait que le gouvernement roumain venait tout juste d’annuler une élection entière. Il a averti que si les choses ne se passaient pas comme prévu, la même chose pourrait se produire en Allemagne. Ces déclarations cavalières choquent nos oreilles américaines.

Depuis des années, on a répété que tout ce que nous financions et soutenions venait de valeurs démocratiques communes. Tout, de notre politique vis-à-vis de l’Ukraine à la censure numérique, est justifié au nom de la défense de la démocratie. Mais lorsque nous voyons des tribunaux européens annuler des élections et des hauts responsables menacer d’en annuler d’autres, nous devons nous demander si nous nous conformons à des normes suffisamment élevées. Et je dis «nous», parce que je suis profondément convaincu que nous sommes dans le même camp.


 " Quand je regarde l’Europe d’aujourd’hui, on ne sait plus très bien ce qu’il est advenu de certains vainqueurs de la guerre froide

JD Vance


Nous devons faire davantage que simplement parler de valeurs démocratiques. Nous devons les incarner. Dans la mémoire encore vive de beaucoup d’entre vous ici, la guerre froide opposait les défenseurs de la démocratie à des forces bien plus tyranniques sur ce continent. Et si l’on se remémore ceux qui, dans ce combat, censuraient les dissidents, fermaient les églises, annulaient les élections… Étaient-ils du bon côté ? Certainement pas. Et Dieu merci, ils ont perdu la guerre froide. Ils ont perdu parce qu’ils n’ont pas accordé de valeur et n’ont pas respecté les bienfaits extraordinaires de la liberté, que sont la possibilité de surprendre, de se tromper, d’inventer et de construire. En fin de compte, on ne peut pas imposer l’innovation ou la créativité, pas plus qu’on ne peut obliger les gens à penser, ressentir ou croire quelque chose en particulier. Nous considérons que ces dimensions sont liées. Et hélas, quand je regarde l’Europe d’aujourd’hui, on ne sait plus très bien ce qu’il est advenu de certains vainqueurs de la guerre froide.

Je regarde Bruxelles, où les commissaires ont mis en garde les citoyens qu’ils avaient l’intention de couper l’accès aux réseaux sociaux en période de troubles civils, dès lors qu’ils détecteraient ce qu’ils jugeraient être des «discours de haine». Je pense aussi à ce pays-ci, où la police a procédé à des descentes chez des citoyens soupçonnés d’avoir posté des commentaires antiféministes en ligne, dans le cadre de la «lutte contre la misogynie» sur internet.

Je pense à la Suède, où, il y a deux semaines, le gouvernement a condamné un militant chrétien pour avoir participé à des autodafés du Coran qui ont conduit au meurtre de son ami. Comme l’a noté de manière glaçante le juge en charge de l’affaire, les lois suédoises supposées protéger la liberté d’expression ne garantissent pas, et je cite, un «laisser-passer» pour faire ou dire n’importe quoi sans risquer d’offenser le groupe qui adhère à cette croyance.

Peut-être encore plus préoccupant, je pense à nos très chers amis du Royaume-Uni, où le recul des droits de conscience a mis en péril les libertés fondamentales, en particulier des croyants britanniques. Il y a un peu plus de deux ans, le gouvernement a inculpé Adam Smith Conner, un kinésithérapeute de 51 ans et vétéran militaire, pour le crime odieux de s’être tenu à 50 mètres d’une clinique d’avortement et d’avoir prié en silence pendant trois minutes, sans gêner qui que ce soit ni interagir avec quiconque, mais simplement pour avoir prié en silence. Après que la police britannique l’a repéré et lui a demandé la raison de sa prière, Adam a simplement répondu qu’il priait pour le fils qu’il aurait pu avoir avec son ex-petite amie, qui avait avorté des années plus tôt. Les officiers n’ont pas été émus. Adam a été jugé coupable d’avoir enfreint la nouvelle loi gouvernementale sur les «zones tampons» (“Buffer Zones Law”), qui fait de la prière silencieuse un crime, comme d’autres actes susceptibles d’influencer la décision d’une personne dans un rayon de 200 mètres autour d’un établissement pratiquant l’avortement. Il a été condamné à payer des milliers de livres de frais de justice.

J’aimerais pouvoir dire qu’il s’agit d’un cas exceptionnel, d’un exemple isolé d’une loi mal rédigée appliquée à une seule personne. Mais non. En octobre dernier, il y a quelques mois à peine, le gouvernement écossais a commencé à envoyer des lettres à des citoyens dont les habitations se trouvaient dans ces soi-disant «zones d’accès sécurisé», les avertissant que même la prière dans la sphère privée de leurs propres domiciles pourrait constituer une infraction à la loi. Évidemment, le gouvernement a encouragé les destinataires à dénoncer tout concitoyen soupçonné de crime de la pensée en Grande-Bretagne et dans toute l’Europe.


 " La liberté d’expression, j’en ai peur, est en retrait.

JD Vance


La liberté d’expression, j’en ai peur, est en retrait. Pour la comédie, mes amis, mais aussi par souci de vérité, je reconnais que parfois, les voix les plus promptes à réclamer la censure ne sont pas venues d’Europe mais de mon propre pays, où la précédente administration a menacé et fait pression sur les entreprises de réseaux sociaux pour qu’elles censurent ce qu’elle qualifiait de «désinformation». La désinformation, c’était par exemple l’idée selon laquelle le coronavirus provenait probablement d’un laboratoire en Chine. Notre propre gouvernement a encouragé des entreprises privées à faire taire des gens qui osaient énoncer ce qui s’est révélé être une vérité évidente.

Je me présente donc devant vous aujourd’hui, en livrant non seulement un constat, mais aussi une proposition. De la même manière que l’administration Biden a semblé prête à tout pour faire taire ceux qui exprimaient librement leurs opinions, l’administration Trump va faire précisément l’inverse, et j’espère que nous pourrons travailler en ce sens.

Il y a un nouveau shérif à Washington. Et sous la direction de Donald Trump, même si nous pouvons être en désaccord avec vos opinions, nous nous battrons pour défendre votre droit de les exprimer sur la place publique. À ce stade, bien sûr, la situation s’est tellement détériorée qu’en décembre, la Roumanie a tout simplement annulé les résultats d’une élection présidentielle sur la base de simples soupçons d’une agence de renseignement et sous l’énorme pression de ses pays voisins. D’après ce que je comprends, l’argument était que la désinformation russe avait contaminé les élections roumaines. Mais je demanderais à mes amis européens de prendre du recul. Vous pouvez penser que la Russie ne devrait pas acheter de publicités sur les réseaux sociaux pour influencer vos élections. Nous le pensons aussi. Vous pouvez même le condamner sur la scène internationale. Mais si votre démocratie peut être détruite avec quelques centaines de milliers de dollars de publicité numérique d’un pays étranger, alors c’est qu’elle n’était pas très forte. Je pense pour ma part, et c’est une bonne nouvelle, que vos démocraties sont nettement moins fragiles que ce que certains semblent craindre.

Je crois franchement qu’autoriser nos citoyens à s’exprimer librement les rendra plus fortes encore. Ce qui, bien sûr, nous ramène à Munich, où les organisateurs de cette conférence ont interdit aux parlementaires représentant des partis populistes, aussi bien de gauche que de droite, de participer à ces discussions. Là encore, nous ne sommes pas obligés d’être d’accord avec tout ou partie de ce qu’ils disent. Mais lorsque des responsables politiques représentent une part importante de la population, il nous incombe au moins de dialoguer avec eux.

Pour beaucoup d’entre nous qui sommes de l’autre côté de l’Atlantique, tout cela ressemble de plus en plus à d’anciens intérêts établis, qui se cachent derrière des mots hideux hérités de l’ère soviétique, tels que «désinformation» ou «mésinformation», parce qu’ils n’aiment tout simplement pas l’idée que quelqu’un avec un autre point de vue puisse exprimer une opinion différente ou, Dieu nous en préserve, voter différemment ou pire encore, remporter une élection.

Je suis sûr que vous êtes tous venus dans cette conférence sur la sécurité pour parler des moyens d’accroître vos dépenses de défense dans les années à venir pour atteindre un nouvel objectif. Et c’est une bonne chose, car comme le président Trump l’a clairement indiqué, il pense que nos amis européens doivent jouer un rôle plus important dans l’avenir de ce continent. Vous n’avez sans doute pas entendu parler de cette expression, le «partage du fardeau», mais nous pensons que ce qu’il y a d’important dans une alliance, c’est ce que les Européens prennent leurs responsabilités tandis que l’Amérique se concentre sur les régions du monde en grand danger.


 "Je crois profondément qu’il ne saurait y avoir de sécurité si l’on craint les voix, les opinions et la conscience de son propre peuple.

JD Vance


Permettez-moi aussi de vous poser la question : comment allez-vous pouvoir réfléchir à ces questions budgétaires si nous ne savons même pas ce que nous défendons en premier lieu ? J’ai beaucoup entendu parler, dans mes nombreuses et excellentes discussions avec les personnes réunies dans cette salle, de ce contre quoi vous devez vous défendre, et c’est évidemment important. Mais ce qui me paraît moins clair, et je pense que c’est aussi l’avis de nombreux citoyens en Europe, c’est la nature exacte de ce que vous défendez. Quelle est la vision positive qui anime ce pacte de sécurité, auquel nous accordons tous une si grande importance ?

Je crois profondément qu’il ne saurait y avoir de sécurité si l’on craint les voix, les opinions et la conscience de son propre peuple. L’Europe fait face à de nombreux défis. Mais la crise à laquelle ce continent est aujourd’hui confronté, la crise que nous affrontons tous ensemble je le crois, est née de nos propres choix. Si vous fuyez devant vos électeurs, l’Amérique ne pourra rien faire pour vous. Pas plus que vous ne pourrez aider le peuple américain qui m’a élu, moi, et a élu le président Trump. Vous avez besoin de mandats démocratiques pour accomplir quelque chose de valeur dans les années à venir.

N’avons-nous pas appris que des mandats faibles produisent des résultats instables ? Pourtant, tellement de choses de valeur peuvent être accomplies grâce aux mandats démocratiques que l’on obtient lorsqu’on est davantage à l’écoute de la population. Si vous voulez maintenir des économies compétitives, bénéficier d’une énergie abordable et de chaînes d’approvisionnement sécurisées, vous avez besoin de mandats solides pour gouverner, car il faut faire des choix difficiles pour obtenir tout cela.


 " Parmi tous les défis urgents auxquels les nations ici représentées font face, je ne crois pas qu’il y en ait de plus pressant que les migrations de masse

JD Vance


Bien sûr, nous savons bien tout cela. En Amérique, on ne peut pas gagner un mandat démocratique en censurant ou en emprisonnant ses opposants. Qu’il s’agisse du chef de l’opposition, d’un modeste chrétien priant chez lui ou d’un journaliste tentant de faire son travail. On ne peut pas non plus remporter un mandat en ignorant sa population sur des questions fondamentales, comme de savoir qui a le droit de faire partie de notre société.

Et, parmi tous les défis urgents auxquels les nations ici représentées font face, je ne crois pas qu’il y en ait de plus pressant que les migrations de masse. Aujourd’hui, près d’une personne sur cinq vivant dans ce pays est née à l’étranger. C’est bien sûr un record historique. D’ailleurs, le chiffre est le même aux États-Unis, où c’est également un record historique. Le nombre d’immigrés entrés dans l’UE, en provenance de pays qui n’en sont pas membres, a doublé rien qu’entre 2021 et 2022. Et, bien sûr, il a continué d’augmenter depuis.

Nous connaissons la situation. Elle ne vient pas de nulle part. C’est le résultat d’une série de décisions conscientes prises par des responsables politiques à travers le continent et le monde, durant toute une décennie. Nous avons vu les horreurs engendrées par ces décisions hier même dans cette ville. Et évidemment, je ne peux en parler sans penser aux victimes de ce drame terrible, qui passaient alors une belle journée d’hiver à Munich. Nos pensées et nos prières les accompagnent et les accompagneront toujours. Mais pourquoi cela est-il arrivé ?

C’est une histoire terrible, une histoire que l’on a trop entendue en Europe et hélas trop aux États-Unis aussi. Un demandeur d’asile, souvent un jeune homme dans sa vingtaine, connu de la police, qui fonce dans une foule avec une voiture et fait voler en éclats une communauté unie. Combien de fois devons-nous subir ces revers épouvantables avant de donner une nouvelle direction à notre civilisation commune ? Aucun électeur sur ce continent ne s’est rendu aux urnes pour ouvrir les vannes à des millions d’immigrés sans contrôle. Car vous savez pour quoi ils ont voté ? Au Royaume-Uni, ils ont voté pour le Brexit. Que l’on soit d’accord ou pas, ils ont voté pour cela. Et un peu partout en Europe, de plus en plus, les électeurs votent pour des responsables politiques qui promettent de mettre fin à l’immigration incontrôlée. Il s’avère que je partage beaucoup de ces inquiétudes, mais vous n’êtes pas obligés d’être d’accord avec moi.


 " Je suis convaincu qu’ignorer les gens, mépriser leurs préoccupations ou, pire, fermer les médias, annuler les élections ou les tenir à l’écart du processus politique ne protège en rien

JD Vance


Je pense simplement que ces gens tiennent à leur foyer, à leurs rêves. Ils se soucient de leur sécurité et de leur capacité à subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs enfants. Et ils sont intelligents. Je crois que c’est l’une des leçons les plus importantes que j’ai apprises depuis que je suis entré, il y a peu de temps, en politique. Contrairement à ce que vous pouvez entendre dans les montagnes non loin Davos, les citoyens de toutes nos nations ne pensent pas être des animaux instruits ou des rouages interchangeables d’une économie mondiale. Il n’est donc guère surprenant qu’ils ne souhaitent pas être déplacés à leur guise, ni systématiquement ignorés par leurs dirigeants. Et c’est précisément la fonction de la démocratie d’arbitrer ces grandes questions dans les urnes.

Je suis convaincu qu’ignorer les gens, mépriser leurs préoccupations ou, pire, fermer les médias, annuler les élections ou les tenir à l’écart du processus politique ne protège en rien. C’est au contraire le moyen le plus sûr de détruire la démocratie. S’exprimer et donner son avis, ce n’est pas interférer dans une élection. Même quand il s’agit de personnes influentes de l’extérieur de votre pays. Croyez-moi, je dis cela avec humour, si la démocratie américaine a survécu à dix années de remontrances de Greta Thunberg, vous pouvez sans doute survivre à quelques mois d’Elon Musk. Mais aucune démocratie, ni américaine, ni allemande, ni européenne, ne survivra au fait de dire à des millions d’électeurs que leurs réflexions et leurs préoccupations, leurs aspirations et leurs appels à l’aide ne sont pas valables ou n’ont même pas à entrer en considération.

La démocratie repose sur le principe sacré selon lequel la voix du peuple compte. Il n’y a pas de place pour des «pare-feu». Soit on respecte ce principe, soit on ne le respecte pas. Le peuple européen a une voix. Les dirigeants européens ont le choix. Et je suis résolument convaincu que nous n’avons aucune raison d’avoir peur de l’avenir.

Écoutez ce que votre peuple vous dit, même si cela vous surprend, même si vous n’êtes pas d’accord. Ainsi, vous pourrez affronter l’avenir avec certitude et confiance, en sachant que la nation vous soutient. Et c’est là d’où la démocratie tire pour moi sa magie. Pas dans ces édifices de pierre ou dans ces magnifiques hôtels. Pas même dans les grandes institutions que nous avons bâties ensemble en tant que société.

Croire en la démocratie, c’est comprendre que chacun de nos citoyens a de la sagesse et une voix. Et si nous refusons d’entendre cette voix, même nos combats les plus fructueux n’aboutiront pas à grand-chose. Comme l’a dit le pape Jean-Paul II, à mes yeux l’un des défenseurs les plus extraordinaires de la démocratie en Europe ou ailleurs, «n’ayez pas peur». Nous ne devrions pas craindre notre peuple, même quand il exprime des opinions différentes de celles de ses dirigeants. 

Merci à tous. Bonne chance à vous tous. Que Dieu vous bénisse.


JD Vance






 



« Le décolonialisme n'est lui-même qu'un colonialisme en sens contraire : il s'agit, après la colonisation d'autrefois, de coloniser en sens inverse grâce à l'immigration de masse. La dénonciation du "racisme systémique" débouche ainsi sur une systématisation du racisme. On est en pleine mystification. [...]

On aura compris que le vrai problème est en fin de compte qu'il existe encore des Blancs. D'où le projet d'en finir une fois pour toutes avec le "racisme postcolonial" en recourant à l'utopie de l'hybridation universelle et à la destruction planétaire de la "blanchité" (catéchisme décolonial à base de leucophobie obsessionnelle). Pour paraphraser Joseph de Maistre, on pourrait dire que cet antiracisme-là n'est pas le contraire du racisme, mais le racisme en sens contraire. [...]

L'indigénisme est assurément une subversion de la société, mais absolument pas une subversion du système dominant. La pensée décoloniale fait déjà le jeu du Capital en affirmant que les problèmes sociaux ne sont que le paravent des problèmes ethniques. En dernière analyse, la lutte contre la "domination postcoloniale" apparaît comme un excellent moyen de détourner l'attention de la lutte des classes et de l'exploitation des hommes - de toutes races - par le système capitaliste. »


Alain de Benoist, "Pour une critique positive de l'indigénisme", dans la revue "Eléments".





lundi 17 février 2025

Future ?

 







Il parait que c'est la "future" de Bihorel.
Enthousiasmant, non ?


Le meilleur moyen de ne pas avoir à rallumer, eut été de ne jamais avoir pris la ridicule et préjudiciable décision (pour les Bihorellais) d'éteindre. Ce fut une ânerie de plus de la part de la majorité municipale. Combien de cambriolages, de voitures vandalisées, volées ou incendiées auraient été ainsi évités, sans parler des agressions ? Combien de temps va-t-il vous falloir pour obtenir que l'éclairage municipal soit rétabli ? L'affaire traine depuis octobre, c'est aussi rapide que si l'on avait affaire à la bureaucratie soviétique ! Une autre ânerie de la majorité municipale, parmi tant d'autres, c'est d'avoir soumis Bihorel à la Métropole et à ses technocrates, on en voit les conséquences, vous ne maitrisez plus rien.

Par ailleurs, si vous rallumez, rallumez intelligemment, il existe des dispositifs qui permettent d'éclairer, s'ils détectent une présence humaine, cela allègera la douloureuse, car payé par la municipalité ou par la métropole, le retour de l'éclairage sera financé par le contribuable. Alors, palabrez entre vous, mais rallumez toute la nuit pour la sécurité de tous !
Enfin, je tiens à préciser, que la minorité / opposition municipale n'aurait pas mieux fait !  


C.D






jeudi 13 février 2025

Grenoble, une mairie de "gauche"

 

L'humour d'Eric Piolle, maire "pastèque" de Grenoble


 Le fameux "sentiment d'insécurité" a encore frappé et cette fois pas de main morte, si j'ose dire.

A Grenoble, une racaille est entrée dans un bistrot, armée d'une Kalashnikov et a balancé une grenade, oui je répète, une grenade, blessant une douzaine de personnes dont le pronostic vital est engagé pour certaines.

Grenoble, c'est la ville administrée par Eric Piolle un écolo du genre "pastèque", celui là même qui refuse d'installer des caméras de surveillance dans sa ville, d'armer sa police municipale et qui déclarait sans rire voici quelques jours,  qu'il s'en foutait des fusillades...Grenoble, en dix ans de gestion "écolo-pastèque" est devenue un Marseille bis, dans laquelle le "sentiment d'insécurité" a connu une croissance exponentielle et pour cause, les "narcos" et racailles y font la loi.

Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux, Rennes, Nantes, Grenoble, (1) toutes des municipalités de gauche et toutes devenues des villes coupe-gorges, paradis des racailles, des narco-trafiquants et des antifas qui, tous, y agissent sous l'œil bienveillant des élus du Nouveau Front Populaire. Laxisme, immigration et volonté de détruire la France, oblige !

Je me souviens d'une scène de cinéma, où deux porte-flingues,  pour se changer les idées, allaient faire une partie de pêche dans un lac. N'ayant aucune prise au bout d'une heure, l'un d'eux s'impatiente et balance une grenade dans le lac. Il s'en suit une pêche "miraculeuse" et le truand de conclure "la pêche ça détend".

C'était de l'humour cinématographique dans les années 70, mais avec la pastèque Piolle, à Grenoble en 2025, la grenade apaise la métropole.


C.D


(1) Rouen et sa métropole, dirigée, elle aussi, par le même type d'engeance, doit figurer dans le Top 10 de la catégorie.




Message des parents d'Elias adressé aux parlementaires

 



" Elias aurait dû avoir 15 ans le 14 février 2025.

Elias n’aura jamais 15 ans…

Né à Paris le 14 février 2010, Elias a été agressé à Paris le 24 janvier 2025 alors qu’il sortait, comme chaque vendredi, de son entrainement de football, au stade Jules Noël à PARIS 14ème.

Elias a été agressé avec une violence inouïe par deux mineurs décomplexés qui déambulaient en toute liberté ensemble, l’un armé d’une machette l’autre d’une hachette.

Si le motif de l’escroquerie de ces deux jeunes était de récupérer le téléphone d’Elias, ils ne se sont pas arrêtés là.

Loin de s’en contenter alors pourtant qu’Elias avait remis spontanément son téléphone portable terrorisé à la vue des armes de ses agresseurs, il a reçu un profond coup de machette et non un « simple coup de couteau » comme il a pu être écrit.

La plaie a été d’une telle profondeur qu’elle reflète le comportement de toute-puissance de ces deux mineurs.

Elias a été intentionnellement frappé, avec une machette qui a entrainé une plaie transfixiante thoracique avec des plaies artérielles et cardiaques, engendrant une dégradation immédiate de son état clinique. Elias n’avait aucune chance de s’en sortir malgré la prise en charge du SAMU, des équipes de chirurgie, d’anesthésie et de réanimation de l’hôpital Necker.

Elias est mort à Paris le 25 janvier 2025.

Notre fils est mort, notre chagrin est immense, notre vie est détruite.

Nous souhaitons que notre intimité soit préservée. Celle de notre famille, celle des amis d’Elias et de ses coéquipiers.

Il y a les questions auxquelles l’enquête, l’instruction, le procès répondront. Nous respectons le travail d’ores et déjà accompli et à venir. Nos avocats, Maître Johanna OSTROWKA épaulée de Maître Nicolas GOUTX, nous accompagnent et font le nécessaire.

La quête de vérité nous anime, comme tous, face à cette montée en puissance des violences commises par des mineurs, sur des mineurs.

De nombreuses questions jaillissent, alors même que certaines réponses nous semblent inaudibles.

Comment deux adolescents armés, interdits de contacts entre eux par la justice, connus défavorablement des services de police et judiciaires pour des faits similaires, ont-ils pu en toute impunité, poursuivre leurs exactions ?

Comment justifier l’appréciation clémente de la justice qui les a laissés placés sous un contrôle judiciaire inapplicable et inappliqué ?

Comment justifier une justice éducative face à des jeunes de plus de 16 ans qui refusent de respecter leurs obligations découlant de leur placement sous contrôle judiciaire et qui se vantent de commettre des infractions pénales de manière réitérées et habituelles.

Comment un procès prévu en novembre 2024 peut-il être reporté en juin 2025, en ayant connaissance du caractère dangereux de ces individus et de la réitération d’infractions de type vol, escroquerie avec violences, port d’arme… laissés en liberté ?

Elias est décédé. Elias n’est pas un « simple fait divers », un de plus.

Elias est mort en raison d’une impunité dans laquelle se sont sentis deux mineurs malgré une prise en charge éducative et pénale. Certes, d’autres avant lui ont été tués dans des circonstances similaires.

La mort d’Elias démontre que l’Etat n’a pu su protéger ses citoyens.

Face à un tel déchainement de violences ayant entraîné intentionnellement la mort, la justice devra se montrer ferme et garante de la sécurité à laquelle nous devons tous prétendre.

Un jeune doit pouvoir rentrer chez lui en toute sécurité, que ce soit après l’école ou après une activité extra-scolaire, une sortie…

Ne laissons pas des mineurs réitérer librement leurs actions et mettre en danger notre société, nos valeurs.

Il est temps que les pouvoirs publics, de concert avec tous les protagonistes en charges de la protection de l’enfant, prennent les mesures nécessaires et adéquates garantissant également la protection de tous avant qu’ils puissent être dénommées « victimes », et cessons de protéger par des mesures uniquement éducatives les mineurs auteurs d’infractions, particulièrement dans les cas les plus graves.

Si la justice doit être éducative, elle doit demeurer également répressive et protectrice des droits de chacun.

Toute modification législative qui poursuivrait cet effort est à saluer.

Nous ne demandons pas aux représentants des partis politiques, aux magistrats, de ressusciter les disparus.

Nous leurs demandons de protéger les vivants. ".


Paris / France - février 2025






mercredi 12 février 2025

Jobards

 



"Si c’était par la force des mots, on serait sûrement Rois du Monde. Personne pourrait nous surpasser question de gueule et d’assurance. Champions du monde en forfanterie, ahuris de publicité, de fatuité stupéfiante, Hercules aux jactances."


Louis-Ferdinand Céline





lundi 10 février 2025

"Ce pays, il est à nous ! " (Mélenchon)

 




La ruralité accueillant le traitre Mélenchon et sa "nouvelle France"


(Photographie: Jean Gabin dans la Horse / 1970)







dimanche 9 février 2025

Recours

 




 Ils sont quelques uns. En vérité, on peut les compter sur les doigts d'une  seule main, ceux capables de sauver la France de l'effacement. Philippe de Villiers est l'un d'eux et peut-être même, aujourd'hui, le plus apte. 

Le salut, viendra-t-il du boccage vendéen ?






samedi 8 février 2025

Samedi soir (A Nœud Coulant)

 






 une interprétation qui nous confirme, mais nous le savions déjà, que L.F.C était bien meilleur à l'écrit qu'à l'oral (je plaisante).







Jour de Crunch

 


Le XV de la Rose contre le XV de France, cela s'appelle le "Crunch" et c'est toujours un match (combat ?) particulier.

Pour nous Français, il s'agira, une fois encore, de venger Jeanne D'Arc et de prendre notre revanche sur la bataille d'Azincourt et les Bleus de 2024 sauront être à la hauteur de leur glorieux ainés.

A suivre aujourd'hui sur France 2, stade de Twickenham à 17h45


Allez les Petits ! (Roger Couderc) 





vendredi 7 février 2025

Lorsque l'on donne le mauvais exemple...

 





Résistance intellectuelle

 





Voilà plus d'une vingtaine d'années que je ne manque quasiment jamais un livre de l'historien Jean Sévilla. Ma première lecture fut "Historiquement correct" avec son sous-titre "Pour en finir avec le passé unique". Je recommande chaudement, la lecture de cet ouvrage à tous ceux qui ne se satisfont pas de l'Histoire "officielle" que nous distillent les bien-pensants ou pire encore, les déconstructivistes (type Pascal Boucheron) et ce, depuis les années cinquante.

Et bien évidemment, je vous conseille son dernier livre "Les habits neufs du terrorisme intellectuel" qui n'est autre que la nouvelle et augmentée édition du "Terrorisme intellectuel" datée de 2004. Un ouvrage qui vous donnera les clefs nécessaires afin de mieux décrypter les méthodes utilisées par la gauche pour discréditer tous ses contradicteurs, enfermer idéologiquement le peuple français  et éliminer tous discours et analyses qui sortiraient des limites morales et politiques, qu'elle a elle-même fixées.

Pour aller un peu plus loin, en suivant ce lien, vous pourrez découvrir la bibliographie de Jean Sévilla  


Mes chers Compatriotes, je vous souhaite de bonnes lectures.


C.D




  

dimanche 2 février 2025

Le parti de l'étranger

 



Les échanges se durcissent, le ton monte. Le traitre Mélenchon cherche la confrontation entre eux et nous. Le peuple français canal historique semble anesthésié et apathique. Alors, le chef de la 5ème colonne, y parviendra-t-il ?

Dans le doute, soyez prêts !

C.D


"Comme les hommes sont quelquefois méchants, mettez-vous en état de faire du mal, seulement afin qu'on n'ose pas vous en faire."


Marivaux


 



samedi 1 février 2025

Samedi soir (Avec Marianne)

 




Les jolies femmes de notre jeunesse partent une à une. Après Françoise Hardy et Anouk Aimée l'an passé, c'est Marianne Faithfull qui, à son tour, est partie rejoindre toutes les égéries des sixties et seventies au paradis des Stars.

A la parution de ce 33 tours, j'avais tout juste 20 ans et je l'ai écouté en boucle pendant un bon moment.

So long Marianne, comme le chantait Leonard Cohen...

C.D 





La sépulture de J-M Le Pen profanée

 



En profanant ce qu'il y a de plus sacré, ceux qui ont commis cela, se sont placés en dehors de l'Humanité. Il est aisé de deviner leur idéologie et qui sont ceux qui les inspirent.

Barbares et terroristes, ils iront brûler en enfer.


CD