Mes chers Compatriotes,
Le jeudi 8 juin 2015, au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, je vous invitais, dans un billet publié sur ce blog, à méditer l'avertissement que nous adressait en aout 2014, l'Archevêque de Mossoul, Monseigneur Amel Shimoun Nona dans un entretien accordé au journal italien Corriere de la Sera.
« Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens européens et occidentaux, souffrirez dans un futur proche », a crié l’archevêque à ses frères chrétiens d’Occident. « S’il-vous-plaît, il faut que vous compreniez. Vos principes libéraux et démocratiques n’ont aucune valeur ici. Vous devez reconsidérer la réalité du Moyen-Orient, car vous accueillez un nombre croissant de musulmans. Vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faut prendre des décisions courageuses et dures, y compris en allant à l’encontre de vos principes. Vous croyez que tous les êtres humains sont égaux, mais ce n’est pas une chose certaine. L’Islam ne dit pas que tous les êtres humains sont égaux. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. Si vous ne comprenez pas cela rapidement, vous tomberez victimes d’un ennemi que vous aurez accueilli dans votre maison. ».
Bien sûr, certains m'objecteront que le tueur d'Annecy est "chrétien" mais je leur répliquerai que j'aimerais bien que l'on me produise son certificat de baptême, tant il circule de faux chrétiens d'orient à qui les associations immigrationnistes ont inculqué le vade mecum nécessaire pour profiter de la bonne auberge européenne et plus particulièrement française.
Depuis Charlie Hebdo et l'avertissement de l'Archevêque de Mossoul, une décennie s'est presque écoulée et avons-nous vu les choses changer ? Nos frontières sont elles mieux gardées et la submersion migratoire en cours, mieux contrôlée ? On peut sans crainte affirmer que c'est tout l'inverse qui s'est produit et que les portes et fenêtres sont toujours plus grandes ouvertes. Ainsi, en dix ans, c'est peu ou prou, cinq millions d'immigrés qui sont arrivés sur le sol français.
Attaques quotidiennes au couteau (120/jour), viols de femmes de 70, 80 ans et plus, montée de l'antisémitisme, explosion de la délinquance en tous genres, trafics de drogues, terrorisme, le bilan est sans appel. L'immigration "chance pour la France" s'est transformée en cauchemar pour les Français qui, aux trois quarts, veulent que l'on maitrise et stoppe ces flux toujours plus importants d'arrivée sur le territoire français, d'individus générateurs d'insécurité et d'endettement supplémentaire, car l'immigration coûte fort cher à la communauté nationale.
Je m'adresserai maintenant, aux responsables de l'association "au cœur de Bihorel " ainsi qu'aux membres et adhérents de celle-ci en tous cas à ceux qui souhaitent voir remplacer l'actuel presbytère par un collectif apportant de la mixité "sociale", terme novlangue incluant la mixité ethnique, dans Bihorel village.
Le futur collectif sera situé entre un square, son aire de jeux pour enfants et une école élémentaire. Après Annecy, a-t-on encore le droit de réaliser ce genre d'implantation ? En cas de drame, la responsabilité d' " au cœur de Bihorel " serait pleine et entière et j'ajouterai à l'intention des militants pro-migrants et clandestins qui grenouillent au sein de cette association, que la vie de nos enfants n'a pas à payer le prix de leur idéologie.
J'en appelle également au maire de Bihorel, afin qu'à l'instant de décider quel projet sera retenu pour se substituer à notre presbytère, il est en tête ce que j'ai exposé plus haut. En cas de drame, sa responsabilité, elle aussi, serait engagée. Alors, qu'à l'instant de signer, il opte pour un projet de réhabilitation ou pour un projet de logements de standing mais qu'il ne soit pas celui qui aura introduit le ver dans le fruit.
Enfin, et il le sait aussi bien que moi, les habitants du quartier ne veulent pas de mixité et encore moins qu'elle leur soit imposée sans consultation par une association, qui, si elle est légale, n'a aucune légitimité pour cela.
Les Bihorellais ne veulent pas pour Bihorel, d'un futur à la " Rouen Saint Sever".
C.Dragasès
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